Hugo Et Ponge

| |Gauthier :« Tout ce qui est utile est laid. » | |Hugo :  le poète est « une âme de cristal (...) une âme aux mille voix (...) Le poème s'adresse à la sensiblité, non au savoir (...) à l'imagination, non à la logique | |(...). L'espace et le temps sont au poète. Que le poète aille où il veut, en

Problématique : Comment l’idéal est-il perçu par Baudelaire à travers ce poème ? Phrase d’accroche : Le principe de mouvement d'élévation du poète qui vit dans un monde de duel permis par le langage poétique, est repris au XIX° siècle par Victor Hugo […], dans le poème Elévation . Situé après l'Albatros, qui montre la chute du poète et le malaise qui le prend à vivre chez les hommes du commun, voilà le poème inverse. I/ L’extase de l’élévation 1) l’ascension (1ère strophe) 1ère

aux humains. Il considère que le poète, donne au lecteur un nouveau point de vue sur les objets du quotidien, humains, choses qu'il décrit dans ses poèmes. Et que les choses étranges, presque secrètes sont souvent sous nos yeux. Tout comme Francis Ponge dans « le Cageot » l'objet du quotidien devient un personnage attachant : « Tout neuf encore, et légèrement ahuri d'être dans une pose maladroite » ou Baudelaire dans « Les Petites Vieilles » ils nous rend témoins de la jeunesse de ses petites vieilles

est un moyen privilégié de l’expression du « moi ». Les auteurs, par leurs écrits, parviennent à exprimer leurs sentiments personnels premièrement grâce à leurs émotions amoureuses. Le poème lyrique « Elle était déchaussée » écrit en 1866 par Victor Hugo en est une première  preuve. Dans cet écrit, l’auteur, interne, nous décrit amoureusement les actes et le physique d’une jeune fille proche d’une rivière. Cette dernière à l’air d’être chez elle dans la nature, elle apparaît comme enfoncée dans celle-ci

stade d’étrangeté où il subsiste chez le commun des mortels. Chaque art à les moyens de saisir ces singularités, par des couleurs, des notes, des traits ; le poète s’empare du langage comme matière universelle qui permet d’évoquer des sensations : Ponge dans son poème ‘L’orange’ joue en effet sur nos représentations de cet objet et en appelle à nos souvenirs en convoquant les cinq sens pour le décrire : « Mais ce n’est pas assez avoir dit de l’orange que d’avoir rappelé sa façon particulière de parfumer

capable de métamorphoser le réel, de déchiffrer les symboles et d’accéder à l’univers des idées. Cette conception du poète médiateur du sacré, et voyant privilégié, fut celle de la Pléiade (XVIème siècle), reprise ensuite par les poètes du XIXème siècle, Hugo, Théophile Gautier, Baudelaire et Rimbaud qui assimile même le poète à Prométhée. B. La poésie engagée La poésie engagée et philosophique, moins proche de nous, tient cependant une place notable à l’époque. Les prises de position religieuse

Bac blanc : avril 2012 - Séries Technologiques Objet d'étude : la poésie Regards de poètes sur eux-mêmes au XIXe siècle Corpus : • Document A : Victor Hugo, Les Rayons et les ombres, 1840. • Document B Théophile Gautier, « Le Pin des Landes », Emaux et Camées, 1852. • Document C Charles Baudelaire, « L'Albatros », Les Fleurs du mal, 1857. • Document D : Arthur Rimbaud, « Ma Bohème », Poésies, 1870. Questions (6 points) 1. À travers une étude de ces différents textes, expliquez quelle

poétique. Tu étudies Le pont Mirabeau ? Regarde aussi : ♦ Le pont Mirabeau : le texte ♦ La colombe poignardée et le jet d’eau : commentaire ♦ La Loreley, Apollinaire (analyse) ♦ Saltimbanques, Apollinaire (analyse) ♦ Soleils couchants, Victor Hugo (poème sur la fuite du temps) ♦ Les mains d’Elsa, Aragon : analyse ♦ Heureux qui comme Ulysse, Du Bellay : analyse Recherches ayant permis de trouver cette analyse du pont Mirabeau de Apollinaire : sous le pont mirabeau, le pont mirabeau analyse

|- L’homme engagé : | |du XVIème siècle à nos jours. | |HUGO, Discours sur la misère, 1849. | | |- L’homme et l’infini : |- La condition féminine (DM)

se limite pas à cela : Parmi les autres fonctions de la poésie, on peut trouver : o la critique et la dénonciation : poésie engagée (Les Châtiments de V. Hugo, Les Tragiques de D’Aubigné …). o La simple description, sans exprimer obligatoirement des sentiments (description de la ville, de paysage, d’objets – cf Ponge- …). Ces descriptions peuvent d’ailleurs être imaginaires et/ou proposer une autre vision, un regard neuf sur le monde (ré enchanter le monde etc …) … o