Hugo L âme En Fleur

Victor Hugo est un poète, un romancier, un dramaturge. Il est sans aucun doute l'un des plus grandes célébrité de la littérature française. Née dans l'époque romantisme, soit au du XIXe siècle. Tout au long de son recueil les contemplations, Victor Hugo aborde les thématiques du romantismes. En effet, dans le poème Un soir que je regardais le ciel situer dans le deuxième livre du recueil, soit Âme en fleur, Victor aborde le thème de la nostalgie d'un amour perdu, nous y voyons une méditation douloureuse

faustienne entre le bien et le mal L’intrigue de Ruy Blas doit beaucoup au mythe de Faust. Hugo la bâtit en bonne partie en s’inspirant du Premier Faust de Goethe (1808), traduit en français en 1828 par Gérard de Nerval. Il reprend et adapte les principaux éléments constitutifs du thème, mais les inscrit dans une perspective tout à fait autre. Faust passe un marché avec le diable : en échange de son âme (donc de sa damnation éternelle), celui-ci lui procurera tous les plaisirs terrestres :

mais enrichie de 35 nouveaux poèmes. « L’invitation au voyage » est un poème célèbre de la première partie du recueil intitulé « Spleen et Idéal ». Ici, Baudelaire décrit un lieu privilégié, idéal dans lequel il rêverait d’emmener sa bien-aimée, son âme-sœur. LECTURE DU POEME Pour répondre à la problématique, mon analyse se fera en trois parties : Tout d’abord, nous étudierons le pays imaginaire dont rêve Baudelaire ; Ensuite, nous verrons l’aspect amoureux de ce pays ; Et

Mélancholia, Victor Hugo  Comment Victor Hugo dresse-t-il un tableau réaliste ? Victor Hugo dresse une peinture réaliste pour nous montrer les conditions de vie des enfants de l’époque et son indignation sur ce sujet. Dans un premier temps Victor Hugo commence en posant trois questions auxquelles aucune réponse ne sera donnée. Ce sont donc des questions rhétoriques afin d’attirer l’attention du lecteur. Il met l’accent sur les enfants, ces « doux êtres pensifs » qui ont perdu leur

voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Pierre de RONSARD   (1524-1585) Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise aupres du

sensorielles ou spirituelles qui peuvent redonner un sens à notre monde moderne si « confus ». [* Symbolisme : Nathan 2de, p. 43] Cf. lettre de Baudelaire à Arsène Houssaye : influence d’Aloysius Bertrand (Hatier 1ère p. 196) Le rôle du poète chez Victor Hugo, et encore chez Baudelaire, est d’être réceptacle du divin, de recueillir, de saisir intuitivement les mystérieuses correspondances entre le temporel et l’éternel, le fini et l’infini, le « Ciel » et la « Terre », d’écouter ce que Dieu, à travers par

Chêne et le Roseau » Jean de La Fontaine Pg 9 Biographie Pg 10 Le Romantisme « Le Lac » Méditations poétiques, Alphonse de Lamartine Pg 11 Biographie Pg 13 « Aux arbres » Les Contemplations, Victor Hugo Pg 14 Biographie Pg 15 « A une fleur » Alfred De Musset Pg 16 Biographie Pg 18 « Brumes et pluies » Baudelaire Pg 19 Biographie Pg 20 « La Bonne chanson » Paul Verlaine Pg 21 Biographie Pg 22 La Poésie en Liberté «  Automne malade » Guillaume

Ce poème extrait du recueil Les contemplations de Victor Hugo fait partie du courant littéraire le romantisme. De prime abord, «Aux arbres» contient l’un des principaux thèmes du romantisme soit le lyrisme. Celui-ci exprime son ressentiment face à une société qui ne le comprend pas et qui ne lui inspire que des pensées amères. Les sentiments du personnage dans le poème sont grandement exposés au lecteur. Cette écriture à la première personne permet au protagoniste de s’analyser : «Je suis calme

Victor HUGO (1802-1885) Mes deux filles Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe, L'une pareille au cygne et l'autre à la colombe, Belle, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! Voyez, la grande soeur et la petite soeur Sont assises au seuil du jardin, et sur elles Un bouquet d'oeillets blancs aux longues tiges frêles, Dans une urne de marbre agité par le vent, Se penche, et les regarde, immobile et vivant, Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase,

nudité, | |          O ma beauté ! I | |[pic] | |A Victor Hugo | |Andromaque, je pense à vous ! Ce petit fleuve, | |Pauvre et triste miroir où jadis resplendit