Hugo Le Mendiant

sapins : à la cime argentée, je reconnus la déesse. Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. À la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.

qui s'effeuille à l'automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont ! Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? O flots ! que vous savez de lugubres histoires ! Flots profonds redoutés des mères à genoux ! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir, quand vous venez vers nous... Victor Hugo | AVE MARIS STELLA Sous les coiffes de lin, toutes croisant leurs bras Vêtus

rêvée: "Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant / D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime"/ Et qui n'est , chaque fois,ni tout à fait la même/ Ni tout à fait une autre, qui m'aime et me comprend". Enfin dans un poème intitulé " Le Mendiant" Hugo rêve ,voit, imagine un ciel constellé à travers le haillon tout troué qui sert de manteau au pauvre hère qu'il a recueilli . Le poère revendique donc ce statut de rêveur et cette aptitude à s'évader et à discerner un ailleurs ou une autre réalité

s'effeuille à l'automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont ! Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? Ô flots, que vous avez de lugubres histoires ! Flots profonds, redoutés des mères à genoux ! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous ! Victor Hugo Consolation à Monsieur du Périer sur la mort de sa fille Ta douleur, Du

jeu est relativement bon enfant, pas méchant, et Arlequin n'est pas à la hauteur de son rôle de maître. Ce n'est pas une scène de déguisement. Il y a ici de réelles questions de société qui sont soulevées. C'est une remise en cause qui prend corps. Hugo, Ruy Blas 1. Un dénouement entre tradition et modernité (fonction trad+nouvelle vision du théatre) 2. Scène de fin avant tout romantique Au 19e s le théâtre voit la naissance d’un nouveau genre qui mêle les registres tragiques et comiques : le drame

qu'ils n'en ont pas la force. Soyez certains que, si leur mâchoire était conforme à la mesure de leurs vœux infinis, la cervelle, la rétine des yeux, la colonne vertébrale, tout votre corps y passerait. Comme une goutte d'eau. Sur la tête d'un jeune mendiant des rues, observez, avec un microscope, un pou qui travaille ; vous m'en donnerez des nouvelles. Malheureusement ils sont petits, ces brigands de la longue chevelure. Ils ne seraient pas bons pour être conscrits1* ; car, ils n'ont pas la taille nécessaire

Pourtant, héler la mer n’est pas la seule manière que les poètes ont imaginé pour lui donner figure humaine et exprimer à travers elle les sentiments qu’ils éprouvent en la contemplant, comme on peut l'observer avec les poèmes Oceano nox de Victor Hugo extrait du recueil de poésie Les rayons et les ombres, La Mer Secrète, de Jules Superviellle extrait de La Fable du monde paru 1938, Toutes les mers de Jocelyne Corbel extrait de Mes Chemins de poésies en 2005, ou encore avec Quand la mer se déchaîne 

vie et « pierre » v.13 à sa pierre tombale. a&' Conclusion Dans ce poème de Corbière, l'auteur nous conte sa vie pleine de tristesse. Il n'est pas compris par la population alors il se livre à des excentricités : se déguiser en femme, en mendiant ; pour bien se mettre en marge ou pour attirer l'attention. Ses poèmes sont remplis de ponctuation cassant ainsi tout le rythme du sonnet mais les remplis aussi de champs lexical et d'appel au lecteur pour l'aider dans sa compréhension. Ensuite,

sait pas ce qu’il y a après ? Qu’elle nous enlève des êtres qui nous sont chers ? Nous ne savons pas vraiment car chacun a sa propre raison d’en avoir peur. Pour certains, elle symbolise la fin de l’être. C’est ce que nous montre le poème de Victor Hugo « A Théophile Gautier », qu’elle est une fin véritable. De plus la mort fait extrêmement souffrir quand il s’agit, comme ici, d’un ami. La perte d’un être cher provoque des regrets, de la tristesse et du désespoir. A qui se confier, sur quelle épaule

sens, qui permettent donc de parler des argots. On peut parler aussi de jargon, c’est un synonyme de l’argot. Le sens de l’argot aujourd’hui n’est pas le même sens qu’il y avait beaucoup des ans après. L’argot était la langue des bohèmes, des mendiants, des voleurs, en fait, de tous les malfaiteurs, mais aussi de certains part de la population. On peut parler aussi d’argot des médecins, des avocats, des étudiants, de l’armée, ou de quelque profession. Il y a aussi quelques procédés de maquillage