Huilerie

oléagineux, caoutchouc), ce qui en fait des espaces économiquement dépendants. Pour l’essentiel des productions aucune transformation n’a lieu sur place, les seules industries concernent surtout les produits alimentaires (vinification, rhumerie, huileries et conserveries). Paul Reynaud insiste aussi sur l’intérêt financier des colonies. Elles constituent un terrain d’investissement pour les capitaux de la métropole qui peuvent y trouver « une merveilleuse fécondité », c’est-à-dire des profits.

nationales : ainsi des chantiers navals, dont la vallée de la Zaan en Hollande du Nord offrit la plus grande concentration européenne ; ainsi des raffineries de sucre, des manufactures de tabac, des tailleries de diamants, des savonneries et des huileries. L'industrie reine était celle des textiles dont Leyde fut la capitale incontestée. Les draps de Leyde, réputés pour leur douceur, sortaient des fabriques avec un rendement supérieur d'un tiers à la concurrence française. Près de cent mille personnes

d’administration financière, le Chef d’usine qui est Mr Christian, le Responsable de fabrication de savon avec Mr Jacquot, l’Assistant commerciale avec Mme Lovasoa et enfin tous les ouvriers qui travaillent dans la Société. Dans le Département huilerie, ils ont des vis extracteur. Il y a aussi la vis transporteur pour transporter les graines vers la vis décortiqueur pour faire extraire la graine de coton de son écorce. La Société calcul le rendement grâce à la à des batteuses n°1 pour battre à

plusieurs missions : * Le conseil agricole en direction des producteurs de coton ; * L’achat et la transformation du coton brut ; * La vente de la fibre de coton à l’exploitation et aux industries maliennes, * La vente de la graine aux huileries. IV- Les partenaires de la CMDT Le capital de la société est de 7. 982. 340. 000 de FCFA détenu par l'Etat malien et le partenaire français : GEOCOTON, ex-DAGRIS. Les partenaires financiers étrangers : * Les institutions de Brettons

| |Exportateurs | |HOURIA |MINOTERIE ZARHOUNE |CARTIER SAADA | | | |EL WAHDA |HUILERIES DE MEKNES |SOMIA | | | |DOKKARAT |CONSERVERIES DE MEKNES |SIDI GHANEM | | |

sociétés agro-industrielles opérationnelles pour la production, le traitement, le conditionnement et le stockage des divers produits agricoles et d’une structure de collecte : deux sucreries, trois minoteries industrielles, une laiterie, plus de 340 huileries… (ORMVAL, 2009). La grande hydraulique représente 29 900 Ha, la petite et moyenne hydraulique quant à elle est de 12 500 Ha. Les types d’irrigation dans la zone sont multiples, le goutte à goutte ayant une place importante et grandissante du fait

Makouké Le complexe agro-industriel de Makouké rassemble 3 plantations notamment l’Ogooué, Foula et Ngounié. Ces dernières constituent chacune en moyenne plus de 3000 hectares (ha). Le Complexe Agroindustriel de Makouké (CAIM) rassemble une huilerie d’une capacité de 30tonnes de régimes par heure, et une palmisterie de 30tonnes par jours pour l’exploitation d’huile de palme. L’évolution liée à ces trois palmeraies présente une tendance générale répartie comme suite : De 2005 à 2007, le complexe

d’exploitations pratiquant l’élevage : 21000 unités.  Nombre de coopératives : 184 dont fonctionnelles 40%,  Nombre d’associations : 14 dont fonctionnelles 36%.  Nombre des principales infrastructures agro industrielles est de 218 à savoir : 145 huileries, 16 laiteries, 5 centres de collecte de lait, 26 minoteries, 6 stations de conditionnement et 20 broyeurs de dattes.  Nombre d’UTA : 04 (UTA 1: Parcours, UTA 2: Oasis, UTA 3: Zone côtière, UTA 4: Périmètres d’épandage des eaux de crues). B) Ressources

1 815 800 litres (soit 5 % du marché des MDD). La marque leader reste Lesieur suivie par Benedicta. Si globalement, les ventes ont baissé, certaines marques se sont développées : Codefa Orca, Bénédicta et de petites et/ou nouvelles marques comme Huilerie Cauvin, Delieuze, F. Marchan, Ital Passion. Les moulins français sont peu représentés en dehors des MDD thématiques. Toutefois on peut estimer que les moulins se présentant en marque propre commercialisent entre 150 et 250 t d’Huile d’Olive de France

principaux, s’ajoutent les axes secondaires ci-après : - Tivaouane - Darou, appartenant aux ICS, - Diourbel -Touba, long de 47 Kms, qui dessert la zone arachidière de cette région, - Guinguinéo - Kaolack, d’une longueur de 21 Kms, qui desservait les huileries de la SONACOS (devenue depuis, SUNEOR), - PK13 - Mbao. Enfin, on compte également, le tronçon Dakar-Rufisque, exploité par la Société « PTB SA », filiale de la SNCS, société nationale A/ Les intervenants 1. les intervenants publics Direction