Humanisme Et Incertitudes

n’admet pas l’équivoque (il faut que se soit vrai ou faux, bien ou mal, oui ou non) 2. L ’existence même de la séduction (qui à en croire la presse féminine constitue la principale activité des femmes) n’est d’ailleurs possible que par cette incertitude : comme espace et stratégie du peut-être entre le « oui » et le « non ». Sans cette indécision, les cosmétiques, la mode et le magazine « Elle » perdraient leur raison d’être ; la vie des femmes se réduisant alors au travail et à la reproduction

lettre  pendant toute cette thèse. Et un immense merci pour ton suivi à distance avec ta clairvoyance et ta réactivité  toujours record.    Je  remercie  vivement  Philippe  Boët,  mon  directeur  de  thèse.  Merci  pour  ta  grande  écoute,  ton  humanisme  et  ton  soutien  à  toute  épreuve.  Cette  thèse  n’aurait  pas  eu  son  pareil  sans  tes  grandes  idées  écologiques. Et dorénavant, je ne verrai plus les articulations logiques de la même manière !  i    Je  remercie  chaleureusement 

françaises et les Préalpes. De cet « entre-deux » résulte un territoire d’une grande diversité, où chaque vallée possède sa propre identité. Le cœur du massif est âpre, sévère, mais aussi porteur de valeurs universelles : humilité, effort, travail, humanisme, solitude, conquête, plaisir... Cette âpreté contraste avec les amples vallées ensoleillées du bassin durancien. Un territoire aux multiples identités, terre de pionniers et lieu d’échanges. Passer le col du Lautaret, site grandiose dans son face

suspicion, dans un refus des slogans27, comme en témoigne la métaphore filée de la servitude et de l’enchaînement. Le déni de la force pédagogique des discours, de la transmission des connaissances par le langage marque la faillite d’un certain humanisme déjà acté dans la Lettre de Lord Chandos. La langue des images supplante le langage des mots par son pouvoir hypnotique ; paradoxalement, c’est l’image qui, dans sa superficialité inévitable, atteint la profondeur de la conscience humaine à laquelle

coquette et en haine des mœurs de son temps. Il annonce dès la première scène son destin, qui le place d’emblée sous le signe de la fatalité : « Et je sens qu’il faudra que nous rompions ensemble. » Enfin, le dénouement inscrit la pièce dans une incertitude propre à la tragédie (on songe à la fin suspendue du Cid) tandis que la comédie se signale toujours par une fin heureuse. 2 – La naissance d’une nouvelle forme de comédie La part de la farce est réduite dans cette pièce à l’intervention d’un

système et entre les éléments et l’ensemble. La théorie du chaos. La résolution des problèmes structuraux par l’identification d’actions spécifiques et ciblées. L’organisation vue comme un système social adaptatif. La méthode du système souple (humanisme) L’organisation vue comme un système d’activités humaines. La gestion du changement. La dynamique de groupe. La gestion des conflits. L’heuristique critique (Werner Ulrich) La participation active et l’argumentation critique des parties prenantes

métaméthodologie : la créativité, le choix et l’implantation. La résolution d’un problème par le choix d’une approche systémique adaptée aux circonstances. L’hypothèse stratégique La planification interactive (constructivisme) La méthode du système souple (humanisme) L’heuristique critique (Werner Ulrich) La sintégrité (Stafford Beer) L’approche postmoderne L’intervention globale Source : inspiré de Jackson, M.C. (2003, p. 43-274). 3.1 Le modèLe de base Un système est un modèle qui représente

et de délibération. Trop de hiérarchie, problèmes de management, organisation tubulaire. Climat social et ambiance dégradée. Clivage grandissant entre une direction (« en mairie ») et des agents désorientés sur le terrain. Climat de paranoïa : o Incertitude de l’avenir, o Peur de parler. Face à ce constat, nos interlocuteurs ne semblaient pas étonnés outre mesure du tableau de violence qu’on leur avait dressé. Le DGS a d’ailleurs conclu l’entretien par l’expression suivante : « Maintenant on va

confiance dans ses équipes et entretient chez chacun la passion du projet poursuivi ensemble. Il conduit le changement avec détermination tout en montrant un grand respect pour les personnes. Il incite fortement à la co-création. Au milieu des incertitudes, il incarne pour tous un pôle de stabilité et d’optimisme précieux qui rassure et donne envie à chacun d’aller de l’avant malgré les turbulences. Comme le soulignait Peter Drücker, le manager commence à réaliser qu’il ne dirige plus des salariés

la confiance dans ses équipes et entretient chez chacun la passion du projet poursuivi ensemble. Il conduit le changement avec détermination tout en montrant un grand respect pour les personnes. Il incite fortement à la co-création. Au milieu des incertitudes, il incarne pour tous un pôle de stabilité et d’optimisme précieux qui rassure et donne envie à chacun d’aller de l’avant malgré les turbulences. Comme le soulignait Peter Drücker, le manager commence à réaliser qu’il ne dirige plus des salariés