Humanisme Religieux Renaissance Philosophique

Retour à la table des matières Le procès des divers humanismes n'a cessé de croître avec l'évolution de notre civilisation techno-industrielle. Humanisme rejeté comme opium du peuple. Humanisme métaphysique intemporel qui aliène des tâches historiques. Humanisme existentialiste, reflet de la conscience bourgeoise malheureuse. Humanisme personnaliste négateur des « conditions objectives » de structures et de classes sociales. Humanisme libéral avec ses idéaux majusculés (liberté, égalité

raison pour le croyant. Dans cette optique, Jean-Paul II tient à mettre en valeur les richesses de la réflexion philosophique sur le plan de ses aspirations, de ses méthodes et de sa rigueur conceptuelle : ce texte est donc d’abord un hommage d’un philosophe à la philosophie. C’est aussi l’hommage d’un croyant et d’un homme d’Église car Jean-Paul II sait combien la réflexion philosophique nourrit et affermit la réflexion théologique. Mais Jean-Paul II met aussi en lumière les risques de dérive que

française est l'idée d'un retrait du religieux comme sphère prééminente au sein de la société et concomitante c'est également l'idée d'une reconstruction des institutions sociales sur une base entièrement rationnelle et non plus théologique. Le bouleversement de la réforme. Martin Luther, l'instigateur de la réforme est né en 1483 – 1546. Est au départ un prêtre catholique qui va être déchiré entre la ferveur religieuse et des tourments personnels et religieux. Il va accéder à cette intuition

et égaux. L’Etat, l’esclavage sont des institutions non naturelles. Cependant, il manifeste une souplesse d’adaptation à l’état politique de l’époque ds le régime de la monarchie hellénistique sur le modèle d’un monarque et de sujets. Théorie philosophique de la liberté : le sage sera toujours libre quelque soit sa condition sociale parce que le philosophe n’a besoin que de sa liberté intérieure. C’est le début du despotisme éclairé du 18° siècle. B. le cosmopolitisme alexandrin 1) « Le plus grand

2 Chapitre IV. Le renouvellement des sources du droit ( XIIème-XVème siècles ) 2 Section I. La première renaissance du droit romain ( XIIème – XIVème siècles ) 2 Paragraphe 1. Le cadre de la renaissance du droit romain : les universités 2 Paragraphe 2. La renaissance du droit romain elle-même 2 Paragraphe 3. Les conséquences de la renaissance du droit romain 2 Section II. La cristallisation du droit canonique 3 Paragraphe 1. Les sources du

effrayant, inquiétant, tonique, dynamique, animé, émouvant, apaisant, symbolique, allégorique, laudatif, oratoire, éloquent, froid, glacial, grave, passionné, traditionnel, anticonformiste, provocateur, contestataire, juridique, scientifique, philosophique, historique, psychologique, descriptif, féerique, bucolique… Remarque : plusieurs registres peuvent apparaître successivement dans le même texte. Le choix du registre d’un texte est fonction de l’effet qu’il cherche à produire sur le lecteur.

sur le réel. * Le contemporain : Il faudrait en réalité le nommé comme étant le récent. Depuis quand on pense le contemporain ? C’est Kant qui est l’un des premiers à affirmer que ce qui est contemporain peut-être un objet de réflexion philosophique. La philosophie devait se consacrer à des objets plus abstraits, plus grands : Dieu, le monde, l’âme, l’immortalité… La philosophie a souvent été de la métaphysique, c'est-à-dire ce qui dépasse la nature. A partir de Kant on entre dans un mouvement

pensaient que seulement les hommes cultivés, même s´ils ne sont pas riches que pouvaient voter. * La deuxième république va vers la droite. Il y avait de restrictions lorsque Napoléon III arrive au pouvoir. * Problème religieux : l´église a eu un grand pouvoir pendant la monarchie absolue et va être conçue comme un groupe de pression. Va naître là l´anticléricalisme. * Il y avait un catholicisme qu´on peut appeler « catholicisme social ». * L´éducation

premier lieu que la loi se distingue des autres sources du droit, des rescrits de l’Empereur et des sentences des tribunaux. Autre angle que l’on retrouve chez Modestin, qui voit dans la Loi une puissance, la virtus[30], qui est à la frontière du religieux, énergie vitale qui est l’apanage du vir[31], mise au service d’un idéal moral. Cette vertu de la Loi consiste à commander, interdire, permettre et punir. On pourrait multiplier ces définitions de la Loi. Il y a des définitions et non

................. 38   2.2.4 L’Académie française et la gloire du français au XVIIe siècle ............... 39   2.2.5 Le français : langue diplomatique européenne ......................................... 40   2.2.6 Le français : langue philosophique et scientifique .................................. 41   2.2.7 Le français ou la langue de la nation républicaine ................................... 43   2.2.8 L’instruction publique et la promotion du français ............................