Humanités

sont définitives, les temps passent donc on ne peut pas revenir en arrière. L’existence d’autrui est une contrainte car à chaque fois que j’ai agit, je ne peux pas mentir sur mes actes du fait de sa présence. Par son visage, il montre son humanité et son humanité m’oblige à le respecter, à ne pas lui prendre sa vie. Une norme doit pouvoir limiter mon action comme je le souhaite Les normes existantes sont : * Les normes juridiques * Les normes éthiques ou morales * Les normes naturelles

planète (à moins qu'une découverte révèle la présence d'autres hominiens dans des régions peu explorées, mais cela semble très improbable). De plus, l'espèce humaine est génétiquement très homogène, il est donc fort aisé de tracer une ligne entre "humanité" et "animalité". Pourtant, il a existé de nombreuses variétés d'hominiens, et leur capacité à donner des descendants (stériles ou non) avec des Homo Sapiens est mal connue. Comme le fait remarquer Richard Dawkins, les conceptions morales seraient

condamnés à obéir à plus grand qu’eux , à plus fort mentalement , aux hommes libres par conséquent . II- Les esclaves, en perdant leur liberté, ne perdraient t-ils pas également leur humanité ? Un homme sans sa connaissance, n’est plus qu’un corps, la connaissance forge l’homme, sans elle, il en perd son humanité. C’est selon cette idée qu’Aristote développe la suite de son passage consacrée essentiellement aux fonctions destinés aux hommes « inferieurs ». Au deuxième paragraphe , Aristote

monstre ? ⇒ Est-ce que je me comprends ? l.33, qui remet en question l'intelligence ; A quoi je ressemble alors ? l.38, qui remet en question son identité ; enfin Quelle drôle de chose ! l.38. Il ne reste plus à Bérenger, après s'être débarrassé de son humanité, qu'à devenir rhinocéros. D'où l'effort pour avoir une corne sur le front, la peau dure et verte, les mains rugueuses, et savoir barrir. l.52 à 65. Tous ces éléments composent un être cohérent qui, en ce sens, ne peut plus être qualifié de monstre

supposé progrès, etc = contre-modèle). Donc, le Discours... est le texte capital dans ce débat (cf. réaction de Voltaire). Le terme "étranger" , ici, ne s'applique pas stricto sensu;  Mais : l'homme civilisé est devenu étranger à lui-même, à sa propre humanité, s'est "corrompu". Ainsi, regarder nos origines - et les "sauvages" restés à ce point, c'est nous regarder nous-mêmes, et porter condamnation de notre évolution  (dépendance, travail, esclavage...). Retour à l’état de nature exclu, mais Rousseau

l’arche s’échoue sur le mont Ararat et dans le roman, il s’échoue sur le sommet d’un donjon. Mais Queneau se livre à une relecture : Dans la bile, il y a une alliance en Noé et Dieu pour laver une humanité pervertie. Ici, il n’y a aucun substrat religieux, il n’y a pas l’idée d’une humanité qui doit être lavée. Le couple, contrairement à la Bible, quitte l’arche et disparait : le début d’une nouvelle ère pour eux, ils partent pour vivre leurs amours et disparaissent de la péniche et du

Baudelaire résume l'éthique de Don Quichotte. Commentez le propos suivant. Ce n’est pas tout le monde qui accepte d’être géré par quelqu’un ou par une loi, car en tant qu’être humain, chacun a le droit de développer ses facultés humaines et même son humanité sans qu’il ne se fasse à sa place… mais, pour y arriver, il faut passer par beaucoup d’étapes pour pouvoir se gérer sans être dirigé par une force supérieure. Don Quichotte prie qu’il n’obéisse jamais à un supérieur… il cherche à respecter les autres

conscience dans la société" pourquoi la conscience est elle une valeur aussi importante ? definition des thèmes principaux du sujet : - conscience : c'est une frontière qui permet de définir le propre de l'homme c'est à dire étudier son humanité . On peut se demander pourquoi la conscience n'est elle pas un objet comme les autres . Car la conscience c'est ce qui permet aux hommes de se differencier des choses inertes : Je suis une fin en soit du fait de ma conscience (c'est ce qui interdit

fois dans son interet et dans le sien, pourvu que cela ne porte préjudice à personne. Procédés d’argumentation : Kant énonce sa thése, qu’il justifie par une définition négative de la vie humaine, la quelle consiste à ne pas « déshonorer (son) humanité ». Il illustre alors cette conception par des exemples montrant, a contrario,ce que c’est qu’agir « contre l’humanité ». De ces exemples il tire pour finir une analyse de ce qui est moral c-à-d conforme à la dignité humaine, et de ce qui ne l’est

séparé en deux types de soucis : le souci de la réalité et le souci d’accomplir son humanité. Le souci de la réalité se résume au souci des honneurs, des plaisirs et de l’argent. Ce souci est important parce que l’humain est un animal, c’est-à-dire qu’il souffre lorsqu’il ne comble pas ces besoins et parce qu’il faut prendre tenir compte de ces besoins pour prendre soin de notre âme. Le souci d’accomplir son humanité se réfère à celui de se faire des amis et d’être un citoyen responsable dans sa cité