Hume Polythéisme

Questions sur l'ouvrage de Luc Ferry Note : Observations : Question n° 1 : La philosophie a souvent pour objet la religion et c'est précisément le cas dans cet extrait d'Apprendre à vivre, de Luc Ferry. La philosophie et la religion traitent couramment des mêmes thèmes à savoir la divinité. Aborder des sujets de même acabit ne signifie pas forcément avoir le même point de vu. C'est peut-être même le fondement technique de cet enseignement philosophique que de prendre différentes

Les divinités mayas ainsi que les sacrifices 1) Les croyances Tout comme les grecs, les mayas croyaient en plusieurs dieux. Cette religion polythéiste partage de nombreux points communs avec les autres religions mésoamericaines, aussi bien du point de vue des croyances que des pratiques rituelles et des arts sacrés. Toutefois, cela s'exprime surtout par le fait que chacune des divinités se présentait sous des aspects multiples. En effet, certaines pouvaient se présenter sous une forme masculine

suivant est celui du polythéisme : ce ne sont plus les objets qui sont vénérés, mais des êtres divins représentés de manière anthropomorphique. Au rite religieux est alors associé l'élément du mythe comme récit des origines : le mythe n'est pas qu'un récit imaginaire, c'est un modèle qui sert à expliquer le réel et à le comprendre en racontant sa genèse. • Le dernier stade de la religion, nous dit Comte, est le monothéisme.  3. Qu'est-ce qui distingue le monothéisme du polythéisme ? • Les religions

Le monothéisme Le terme de monothéisme renvoie à l'existence d'un Dieu unique (par opposition au polythéisme) mais qui est transcendant au monde (par opposition aux conceptions panthéistes). Communément, on parle de religions monothéistes à propos du judaïsme, du christianisme et de l'islam (auxquels on ajoute parfois le mazdéisme ou zoroastrisme). Cependant, au-delà de la commodité du label pour désigner un ensemble de religions prophétiques qui s'opposent à la fois aux sagesses et aux religions

etc. Le fétichisme apparaitra comme la frontière (ou la limite selon les points de vue) avec le polythéisme. Notons que si je devais faire un choix entre les deux, ce serait pour le monothéisme, par facilité peut-être ou par le fait que je suis dans un environnement qui s’y prête. Je continuerais donc l’argumentation avec l’hypothèse d’un seul Dieu, l’argumentation étant valable pour le polythéisme aussi. Quant à ce qui est de son existence, même si je suis d’accord avec ceux qui pense qu’Il

qui est l’autre ? Et bien c’est ce que nous allons essayer de démontrer dans les lignes qui suivent. I. LES RELIGIONS MONOTHEISTES Il n’est pas rare d’entendre que le monothéisme conduit nécessairement à la violence, tandis que le polythéisme est par nature non-violent. Le judaïsme, le christianisme et l’islam s’imposeraient comme des religions intransigeantes, présomptueuses et agressives : elles porteraient une volonté de domination et de confrontation armée dès lors qu’elles entreraient

dieu ou d'aucune divinité supérieure. Cette croyance diffère du monothéisme qui signifie « croyance en un seul et unique dieu », de « l’hénothéisme », qui est la croyance en des dieux multiples avec un Dieu suprême sur toutes les choses ou bien du polythéisme qui est la croyance en l'existence de plus d'un dieu. Cependant, ne croire en aucun dieu ne signifie pas nécessairement être contre la religion. En effet, il est possible qu'une personne athée soit antireligieuse, mais ne généralisons pas. Dans

du spectateur, par la terreur et la pitié qu’il éprouve devant le spectacle d’une destinée tragique » : définition donnée par le jardinier dans tout le texte  « c’est cela que c’est la tragédie » l.9/10 2) Dieux et fatalité : Mélange entre polythéisme (antique) et monothéisme (moderne) « Dieu »l.17 « ils sont tous là-haut » l.21 .Pour le jardinier, la meilleure façon pour les dieux de montrer leur présence et de rester silencieux  « de faire un silence » l.27+ 2x  « … ». Anachronisme : « miracle »l

cheikh ibn baz 1- Le polythéisme (donner un egale à Dieu dans son adoration). Dieu le Trés-Haut a dit : "Certes, Dieu ne pardonne pas qu'on lui donne des associés. En deçà, Il pardonne à qui Il veut" (sourate : 4, verset : 48) Dieu le Trés haut a dit : "Quiconque, en vérité, donne à Dieu des associés, eh bien oui, Dieu lui interdit le Paradis, et son refuge sera le Feu.Et pour les injustes, pas de secoureurs" (sourate : 5, verset : 72) Il fait partie du polythéisme l'invocation des morts,

victime d’une malédiction qui s’acharne sur lui. Elle est symbolisée ici par Dieu ( le nom revient à trois reprises et sa majuscule initiale indique la puissance). Il s’agit donc d’un conflit religieux qui oppose le monothéisme judaïque au polythéisme païen figuré par Baal. On voit dès lors que ce niveau élevé où se situe la tragédie dépasse la simple soif de pouvoir et met aux prises l’homme et le monde divin. Cette lutte ne connaît pas de répit. De fait, le rêve prémonitoire revient l’obséder