Humoriste Contre Pouvoir De La Société

rire n’en reste pas pour le moins communicatif par la gestuelle. Tout le monde est touché par le rire, pourrait-on s’en servir pour transformer la société actuelle ? Dans une première partie, nous verrons que le rire est sans frontière, qu’il permet aux habitants de la terre entière de communiquer et dans une seconde partie, nous analyserons le pouvoir limité du rire sur le monde. Tout d’abord, le rire rassemble c’est un composant essentiel de la vie sociale. Bergson en 1900, dans son essai

Du rire comme arme de subversion Si les scientifiques reconnaissent au rire des vertus thérapeutiques, d’autres – détenteurs du pouvoir sous ses formes politiques, religieuses ou économiques – le redoutent aujourd’hui et perçoivent le danger qu’il pourrait représenter pour leur image. Car telle est bien l’ambiguïté sociale du rire. D’un côté, il joue un rôle de catharsis permettant « l’évacuation de la colère, de la frustration ou de la souffrance, et donc des pulsions de violences que nous éprouvons

tous. Certains l’utilisent pour oublier, d’autres pour travailler mais certaines personnes l’utilisent pour exprimer leur point de vue sur un sujet. En effet, le rire est facile à comprendre et permet d’interpréter plus facilement un travers de la société. L’auteur Jean de la Fontaine a écrit pour le roi Louis XIV près de 243 fables. Les fables sont de courts récits écrits en vers pour donner une leçon de vie. La fable instruit et divertit en même temps. Comme dans la plupart des fables, l'aspect pittoresque

qui avait dit « l'humour a toujours été contre le pouvoir, quel que soit le régime ». Récemment, une joute verbale entre Stéphane GUILLON et Eric BESSON a montré que le rire n'était pas toujours du goût de nos politiciens, François MOREL interviewé par Libération a commenté l'incident. Cela nous amène a nous demander si on peut rire en politique mais également de quelle façon on peut se servir du rire et enfin si on peut dénoncer les maux de notre société par ce même rire. La politique se veut

serait au quotidien, que problèmes stress et dépressions et que face à ce mal-être, la société d’aujourd’hui est avide d’amusements, de fêtes mais aussi de psychanalyse. Il précise également que dans le temps, il est n’était aisé de pouvoir s’amuser comme maintenant ; les gens d’antan étaient plus tournés vers la religion. Ils avaient donc appris à maîtriser leur rire et choisir les moments appropriés pour pouvoir se divertir, car le rire était un sujet tabou. Mais avec l’évolution des mentalité, les

est-il un sujet trop sérieux pour le laisser aux main des comique ? Les réponses pouvant être apporté sont diverses et multiple. Le corpus de document qui est mis à notre disposition s'attachent à examiner le pouvoir du rire en politique avec essai de Yves Derai et Laurent Guez intitulé Le Pouvoir des guignols de 1998. Jean Marc Moura dans extrait de l'article de presse Le Monde du 29 mai 2010 intitulé «Quelle politique du rire» pose le problème de quel politique faut il adopter face au rire. Ensuite

rapprocher les hommes - Le rire peut être moqueur - Le rire sert à signaler et éventuellement corriger les défauts ou les vices - Le rire peut servir de moyen de défense contre les atteintes et l’oppression Le dernier paragraphe exprime que le rire est bon pour l’individu et la société. Ainsi, le rire a quatre utilités : - Distraction - Socialisation - Corriger les mœurs - Résister I- Rire pour rassembler La première fonction du rire

paroles presque exagérées qu'il prolifère en tout innocence. En revanche si l'on regarde au delà, Bob Elton invite à la réflexion « le cinéma s'inspirent-ils des tueurs ou les tueurs s'inspirent-ils du cinéma? » il aborde alors un véritable problème de société. Dans la lignée de l'humour nous trouvons l'humour noir. Le principe est le même mais il traite de graves sujets. De cette manière, le fait de rire sur un sujet sombre provoque des sentiments contradictoires. Cela déconcerte, déstabilise et entraine

Plan : « Mon livre avance. J’en suis content. Je crois que ce sera une bonne revanche de l’intelligence contre la force brutale. Encrier contre canon. L’encrier brisera le canon. » Écrivait Victor Hugo à sa fille Adèle le 26/02/1852 à propos des châtiments. Selon vous, toute œuvre littéraire, est-elle, doit-elle être un « encrier contre canon ». Problématique : le livre, l’écriture, la littérature doivent-ils s’engager du coté des hommes et des idées ? Mais la lutte est un art qui échappe à

parfois des mots assez crus (bander par exemple). On constate le pouvoir des femmes, qui font une grève du sexe envers leur mari afin d’arrêter la guerre. Un passage de ce livre qui m’a fait rire est celui dans lequel Myrrhine fait feint de se donner à son mari qui n’en peut plus, mais après l’avoir fais languir, espérer, allumer... elle l’abandonne, le laissant brûler de désir pour elle. Ou bien dans le spectacle Rire ensemble contre le racisme du 2 février 2010, Anthony Kavanagh se moque des gens