Humour Surréaliste Noir

cannage…autant de « greffes de la réalité » qu’ils collent à même la toile réaffirmant ainsi le réel. Ces surimpressions ne compromettent en rien l’harmonie du tableau ; ces matériaux bruts sont incorporés, prennent dans la - 17 - composition valeur d’un noir ou d’un aplat et dialoguent avec les parties peintes ou dessinées comme il apparaît dans cette Nature morte de Picasso datant de 1912 (ill. 3). Le futurisme Les membres de ce mouvement artistique et littéraire qu'est le futurisme condamnent le

que si la vie même sortait des mourants A la quatrième strophe, la terre s'offre un banquet, ‹‹un festin de Balthazar cannibale››; la cinquième strophe rebondit sur le mot ‹‹cannibale›› et s'engage dans les voies d'un humour macabre : Qui aurait dit qu'on pût être à ce point anthropophage Et qu'il fallût tant de feu pour rôtir le corps humain C'est pourquoi l'air a un petit goût empyreumatique qui n'est ma foi pas désagréable

discordantes et nasillardes » ; rompt une harmonie, ces chœurs n’ont aucuns effets sur le personnage ni leur intervention soudaine lPsychédéliqueDéluréFiabilité approximative EnumérationGradationAccumulation Cadavre Exquis : expérience menée par les surréalistes où un auteur écrit une phrase et la passe à son voisin jusqu’à ce que le résultat final soit incompréhensibleLexique culturel :Louis Lebroeuf : en fait, Louis Leboeuf, propriétaire de manufacture où l’on produisait de la porcelaine

l’assurance gagnées alors que les hommes étaient au front. Recherche de l’oubli dans l’étourdissement : popularité des rythmes endiablés comme le jazz danses extravagantes comme le charleston La Grande dépression Le 24 octobre 1929, c’est le jeudi noir : à Wall Street, la Bourse de New York s’effondre Treize millions de titres sont vendus en quelques heures Les valeurs baissent de 30 %, puis de 50 % Au fil des mois, la crise ne cesse de s’aggraver      – La production et les prix, industriels

promenade, du vagabondage qui image la méthode de Montaigne qui est une progression permanente : l’exercice du jugement est une activité perpétuelle d’un chercheur curieux. Double fonctions pour ces images, illustrations strictement explicative et humour comme l’image de la ligne 4 ou le sujet est une rivière trop profonde, lieu dangereux avec risque de noyade. Montaigne dit explicitement « je prend le premier sujet que m’offre le hasard » aucune préméditation, aucun a priori « tous me sont également

nouvelle : des poètes du Moyen Âge ont ainsi, avant Apollinaire, réalisé ce que lui-même appelait des « calligrammes ». La création poétique se nourrit, également, et surtout depuis les surréalistes, de l'image. Dans son « Ode à Charles Fourier », André Breton cite un conte bouddhique qui en souligne avec humour la puissance : « Une libellule rouge − arrachez-lui les ailes − un piment […] Un piment – mettez-lui des ailes – une libellule rouge. » L'inspiration poétique naît ainsi du rapprochement

de la sœur de François 1er * Il est mort lors de l’exile en Italie * Il impose des strophes et des poèmes à formes fixe (sonnet français) * Traducteur de Dante (14e siècle) François Rabelais : * Ancien moine médecin * Humour grivoise mêlé à des propos humanistes * Il enrichit la langue française et utilise beaucoup de néologisme (nouveaux mots) * Gargantua et Pantagruel ; ouvrage condamnée dû à l’exaltation des idées nouvelles qui déplait l’Église. C’est une

cataclysmes, des dictatures. Les contenus des romans sont variés comme leur forme : de chevalerie, sentimental, merveilleux , d’amour, d’aventure, picaresque, parodique, biographique, autobiographique, policier, fantastique, réaliste, naturaliste, surréaliste, engagé, reflet de la philosophie de l’existentialisme, de l’ absurde, poétique, philosophique, épistolaire .( réfléchissez aux exemples, aux cours, aux textes du manuel partie roman). Travailler sur le personnage de roman et la vision du monde :

Blériot. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100 ATELIER D’ÉCRITURE Réaliser un carnet de poésie surréaliste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101 ORGANISATION DE L’ATELIER . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

positivement comme des mises en scène ludiques dans lesquelles la situation est exagérée jusqu’à l’absurde, l’élève devenant tour à tour l’orateur qu’il serait discourtois d’interrompre, le dormeur sacré à qui tout est dû et le chef d’une escadrille surréaliste ; on a en tout cas à faire à trois cas typiques d’ironie où l’enseignant donne du relief à sa remarque en donnant un tour faussement positif à une situation dérangeante. Dans les énoncés 3, 5 et 8, le rire porte sur un objet extérieur à la relation