Humour Surréaliste Noir

même parfois rire. Donc, ne vous attendez pas à rire aux éclats, vous en serez déçu, mais si vous le prenez comme un livre léger, vous serez satisfait et c’est ce que j’ai été. L’humour fait du bien à cette histoire qui aurait été assez lourde sans humour, donc j’admire le choix de l’auteur. Les personnages qu’a choisis l’auteur ne sont pas banals, puisqu’il y a Mittal, le géant de la sidérurgie qui est kidnappé avec un but spécial par un artiste raté qui veut créer l’œuvre d’art du siècle, mais avec

gloire littéraire. L’importance de l’histoire se révèle aussi par l’importance du théâtre qui va prendre un tournant à partir de 1830 avec révolution, aspiration à la liberté et en même temps plénitude du romantisme avec Stendhal et Le rouge et le noir, et La bataille d’Hernani de V Hugo, drame romantique : révolution théâtrale qui refuse l’opposition entre la tragédie et la comédie et qui revendique l’alliance du sublime et du grotesque pour être plus proche de la réalité, Hugo écrira un Racine

Picabia ou, encore l'écrivain Alexandre Arnoux le revoyant de nombreuses années plus tard : « Ce film est toujours jeune. Aujourd'hui encore on a envie de le siffler »1. 1.1. FICHE TECHNIQUE France, 1924 Réalisateur : René Clair Production : noir et blanc, 35mm, muet, sonnorisé en 1968 ; durée: 22 minutes. Paru : en 1924, au Théâtre des Champs Elysées entre les actes du ballet «Relâche» par Francis Picabia tel que pratiqué par le Ballet Suédois, Paris. Republié : en 1968 avec trame musicale

« le XXI° Salon des indépendants est unanimement, un vaste hommage à Cézanne ». Picasso voit la toile de Braque au salon des indépendants et le NU BLEU DE MATISSE A BALTIMORE : On a ici une pose outrée, presque primitive, le corps est cerné de noir, la pose est désarticulée, on a des ombres frappantes de couleurs vives. Cette toile fait scandale car on donne au corps féminin une pose outrancière qui provoquait le spectateur. Il Remet lui-même en cause le Bonheur de vivre. Il est plus rudimentaire

personnage de clown dans n’importe quelles situations, même les plus banales : par exemple dans la scène avec la langouste, il passe une sorte d’examen pour s’initier au travail de serveur face à son oncle. Guido s’en sort plus ou moins, grâce à son humour. Dès le début, le spectateur peut s’attendre à ce que la scène soit riche en comique ; cela est dû à l’image de clown que nous incarne Guido tout au long du film, mais aussi à son comique de geste. De plus, il existe aussi dans ce film, un comique

l’ovale allongé formé par les ailes angéliques instaurent une verticalité légèrement enveloppante. L’œuvre, d’un trait extrêmement précis, produit une forte impression de bichromie – tout à fait perceptible dans la version colorée −, notamment à cause du noir concentré sur le rendu du cimetière. A) La libération de la couleur IV. Le fauvisme a) Le précurseur: Paul Cézanne Paul Cézanne (1839-1906) n'appartient a aucun courant pictural précis. Il a assimile les techniques de l'impressionisme

accusé d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir et le bourbier se former. » Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830 En quoi le projet réaliste est-il « scientifique » ? « Aujourd'hui que le Roman s'est imposé les études et les devoirs de la science, il peut en revendiquer les libertés et les franchises », écrivent les frères Goncourt dans la préface

les tableaux de l’artiste. Klee nous laisse un important héritage en disant que « le tableau doit être une chose organique en lui-même, comme sont organiques les plantes et les animaux, tout ce qui vit au monde et dans le monde ». Il devance les surréalistes par ses paroles, son goût du rêve et par son abandon de l’irrationnel. Ce tableau représente un visage constitué de formes géométriques, ce qu’il lui donne donc un air déformé avec notamment ses yeux qui ne sont pas établis au même niveau, bien

l’accompagner à Paris où il devait poursuivre ses études. Ils achetèrent une maison en banlieue, à Épinay-sur-Orge. Il s’inscrivit à la Sorbonne en philosophie. Le 6 janvier 1921, il s’abonna à ‘’Littérature’’, revue fondée en 1919 par les futurs surréalistes, Louis Aragon, André Breton, Philippe Soupault, écrivains d’un nouveau genre dont l’irrévérence totale, le non-conformisme absolu et la bonne humeur le séduisirent ; en conséquence, il commença à noter ses rêves. En juillet, il échoua à son examen

la beauté facile et c'est heureux Je glisse sur le toit des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale [...] Je suis vieille mais je suis belle Et l'ombre qui descend des fenêtres profondes Épargne chaque soir le coeur noir de mes yeux.» --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Commentaire sur le recueil Éluard a lui-même défini, dans une lettre à Jacques Doucet, la genèse