Hutus

conseil de sécurité avec leur droit de veto. Les échecs de l’ONU Des nombreux conflits persistent comme le conflit israélo-arabe, et l’ONU n’a pu empêcher un génocide comme celui de Rwanda en 1994 ou 1 million de Tutsis furent massacrés par les Hutus. Conclusion :

Woodstock Mouvement Peace and Love 1961-1973: Guerre du Vietnam 1989: Chute du mur de Berlin 1991: Dissolution de l’URSS 1992: Formation de l’Union Européenne 1994 : Génocide au Rwanda Guerre civile : Les Tutsis sont massacrés par les Hutus 11 septembre 2001 : World Trade Center Terrorisme Les courants littéraires du XXe siècle Symbolisme (1850-1914) Surréalisme(1914-1945) Modernité(1939-1975) Postmodernité(1975 à aujourd’hui) Surréalisme //symbolisme : opposition à la

Certains pays comme la République Démocratique du Congo sont livrés à des pillages en raison de leurs richesses minières. Tout se passe sous l'indifférence des grandes puissances, surtout des EU. Au Rwanda, c'est l'affrontement de deux ethnies: Hutus et Tutsis. Le massacre démarre en avril 1994 et en résulte 800 000 morts. C'est donc le 1er génocide (Extermination d'un groupe ethnique) depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. L'Afrique subsaharienne s'enfonce davantage dans son sous-développement

économiques : au Soudan, les milices arabes (soutenues et armées par le pouvoir central) luttent contre les « rebelles » africains du Darfour et souhaitent accaparer toutes leurs terres à leur profit ; - des motifs ethniques : au Rwanda en 1994, des Hutus (ethnie majoritaire au Rwanda) ont massacré entre 800 000 et 1 million de Tutsis (le TPI Rwanda a reconnu le génocide et jugé 79 dirigeants de l’Etat rwandais) ; - des raisons culturelles : selon Huntington, les guerres résulteraient de conflits entre

ses intérêts sont menacés. Cette ingérence se concrétise par les interventions militaires et le maintien des dictateurs au pouvoir, les crimes et assassinats politiques. Prenons les cas les plus récents : En 1994, la France apporte leur soutien aux Hutus responsables du génocide Rwandais ; L’élection d’Ali Bongo en 2009 à la tête du Gabon a été soutenue par la France, permettant ainsi la continuation d’un véritable règne dynastique qui dure depuis 40ans. Sentant ses intérêts menacés, la France a intervenu

stéréotypes sur une ethnie par rapport à une autre, les considérations dévalorisantes d’une tribu vis-à-vis d’une autre ont pour conséquence le tribalisme qui apparaît comme la Négation d’Autrui. 36« Les Tutsis sont des cafards » disaient souvent les Hutus avant le génocide de 1994. Au Congo-Brazzaville, avec la guerre de 1993-1994, des expressions dévalorisantes du genre : « Nibolek » pour désigner les populations des départements du Niari, de la Bouenza et de la Lekoumou, ont fait naître la haine tribale

sans assise ethnique, sans réelle identification : une ethnie, un peuple, une nation, un État. Un exemple actuel dramatique est donné par le Rwanda et le Burundi, anciennes colonies belges où coexistent deux ethnies depuis longtemps ennemies, les Hutus (représentant environ 85% de la population) et les Tutsis (14%), qui, régulièrement, s'entredéchirent pour le pouvoir. L'un des derniers conflits entre ces deux communautés engendra un effroyable massacre. La population civile fut chassée du Rwanda

Annexe VI). Car la violence appelle la violence et on ne peut pas combattre la débauche par la violence des mutilations sexuelles. Sur les douze génocides des temps modernes : Congolais, Héréros, Arméniens, Juifs, Gitans, Biafrais, Bengalis, Tutsis, Hutus, Kurdes, Bosniens, habitants du Darfour, onze, ont impliqué des circoncis d'un côté au moins et trois des deux côtés. Les circoncis en ont perpétré six. Entre 1996 et 2002, à l'exception d'une guerre civile (Sri Lanka), toutes les guerres ont impliqué

est le génocide du Rwanda : Le génocide du Rwanda est un évènement qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, pays d'Afrique de l'est. Il est commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutus, au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décident de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les

Talibans puis sous les bombes américaines. En Afrique, la situation se détériore nettement dans les années 1990, la crise économique se combinant avec les guerres civiles, avec ses flux croisés de réfugiés : Burundais et Rwandais fuyant les massacres de hutus et le génocide des tutsis en 1994, Zaïrois, Soudanais, Somaliens, Angolais, etc. Conclusion : les migrations internationales dans le monde se sont amplifiées au XXe siècle, constituant un des aspects de la « mise en mobilité » de la population mondiale