Hutus

maillon manquant entre le singe et le Tutsi. Les Allemands et plus tard les Belges décident de se reposer sur les premiers dans l'administration coloniale, qui auront seul accès aux études (à l'exception du séminaire, accessible aux Hutu) tandis que les Hutus sont employés aux basses besognes. En 1931, une carte d'identité ethnique est mise en place, indiquant le groupe auquel appartient le citoyen : tutsi, hutu ou twa. Elle sera abolie en 2003. Les racines de la haine Les articles de la série génocide

inspiré de fait réels, sur le génocide des Tutsies du Rwanda. Au Rwanda, le 6 avril 1994. L’assassinat du président Habyarimana marque le début du génocide . Les tutsies sont en minorité dans le pays et donc ils deviendront les bouquets misères des Hutus qui pensent que ce sont les Tutsies qui ont assassinés leur président qui lui était un Hutu. Malgré « l’aide » des forces de L’ONU, l’aide d’un prêtre catholique etd’un jeune enseignant anglais le massacre se fera sans tarder.. Une vision barbare

Introduction En avril 1994 le Rwanda est victime d’un des génocides les plus sanglants du vingtième siècle avec près d’un million de morts. Ce génocide trouve ses racines dans l’histoire complexe du pays qui a vu s’opposer la minorité tutsie aux hutus. Le colonisateur belge qui soutenait les tutsis quand ils étaient au pouvoir a brusquement changé de position lors de l’indépendance de 1959. En conséquence les tutsis ont été rejetés de leurs pays jusqu’au génocide de 1994. A travers l’histoire

génocide 1. Violence physique Le premier acte de violence, qui précédera un longue liste de massacres, a lieu dans les années 50, bien avant le véritable début du génocide, et se dirigea étonnamment contre un hutu. Durant cette période, les Hutus refusaient le tutsi alors au pouvoir et réclamaient leur place dans le gouvernement. Un homme politique hutu se fait alors assassiner. C’est ce premier meurtre qui conduira à des manifestations dans le pays et à des révoltes. Les Tutsis, qui sont minoritaires

conflit ethnique. Ce problème a débuté il y a quelques années et existe encore, il essaie d’être réglé de façon diplomatique. Tout débute en 1994 avec l’assassinat du président rwandais Habyarimane : le génocide commence. Un mépris entre Tutsis et Hutus entraîne la mort de plus de 900.000 individus, majoritairement des Tutsis, en quelques semaines. Pour sauver leur peau, le peuple Tutsi n’as aucun choix, mais que de se réfugier dans des pays voisins. La majorité d’entres eux se déplacement vers la

minoritaires, qui ne représentaient qu'environ 20% de la population, et les Hutus, quatre fois plus nombreux. Au Rwanda, la Belgique favorisent les Tutsis, au détriment des Hutus, en leur confiant des responsabilités et en leur offrant des privilèges dans le domaine de l'éducation et de l'église. 1960- 1994: des massacres inter-ethniques au génocide rwandais Les inégalités et les injustices créent des tensions entre Tutsis et Hutus, au Rwanda. Des massacres ont lieu épisodiquement et les responsables

division ethnique entre les Tutsi et les Hutus. Au début du 20e siècle, les colonisateurs allemands croyaient que les Tutsis avaient une supériorité génétique face aux Hutus. Selon leurs croyances, les Tutsis se distinguaient par la finesse de leurs traits et leur intelligence tandis que les Hutus étaient inférieur. Lorsque les Belges héritèrent de la colonie après la Première Guerre mondiale, ils décidèrent de confier l’autorité du pays au Tutsis plutôt qu’au Hutus. Les Tutsis furent donc les seuls à

ce livre est basé sur son séjour dans cette merveilleuse pays. Il y a une scène dans le livre qui démontre une tonalité pathétique. Cette scène est celui où Cyprien, un homme atteint du sida, et sa femme, Georgina, se font tuer par des miliciens Hutus. Cette tonalité est représenté non seulement à l’aide de la violence et la vulgarité des miliciens, mais aussi par le traitement des corps après la mort de ceux-ci. Premièrement, Gil Courtemanche démontre à quel point la scène où Cyprien et sa femme

maillon manquant entre le singe et le Tutsi. Les Allemands et plus tard les Belges décident de se reposer sur les premiers dans l'administration coloniale, qui auront seul accès aux études (à l'exception du séminaire, accessible aux Hutu) tandis que les Hutus sont employés aux basses besognes. En 1931, une carte d'identité ethnique est mise en place, indiquant le groupe auquel appartient le citoyen : tutsi, hutu ou twa. Elle sera abolie en 2003. Autres causes de ce génocide… Différents sociologues et

quasi-définitif » du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCDH) sur les massacres commis en République démocratique du Congo entre 1993 et 2003. Le document met en cause Kigali et affirme que les attaques menées contre les réfugiés hutus peuvent être qualifiés de « génocide ». C’est une analyse sans précédent de la terrible décennie de massacres qu’a connue la République démocratique du Congo (RDC) entre 1993 et 2003 que le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme