Hyperbole

rapporte les propos d'Horace sur son «existence primitive» (l. 56) – qu'il a dépeint avec tant de vigueur qu'il en a fait «passer sous [leurs] yeux les phases toutes entières» (l. 56), en faisant du même coup une prosopopée et donc dans le contexte une hyperbole – dans la vastitude qui n'avait «de bornes que l'horizon» (l. 58-59) , c'est-à-dire l'«Océan» (l. 60), sur lequel il pouvait «déploie[r] les voiles de ses vaisseaux, comme les ailes d'un aigle» (l. 59-60) pour trouver la «solitude et l'immensité»

adverbes de légèreté qui démontre la supériorité et l’importance qu’accorde la cigale au renard. Elle utilise les adverbes comme arme. Ensuite, On voit une hyperbole du renard (le plus grand respect pour votre art l.14), on constate que dès le début le renard tente d’amadouer la cigale grâce à cette hyperbole. Le renard est bête car cette hyperbole est du déjà vue, de plus il le dit dès le début. Il fait comme les autres banquiers afin d’amadouer leurs clients, c’est comme un mouton qui suis les autres

froideur » ; « quel calme et quelle douceur ». Par ces deux chiasmes de construction, l’auteur cherche à montrer l’opposition des sentiments suite au démenti de M. de Nemours. Puis vient l’emploi des hyperboles qui amplifieront le ressenti de la princesse. Ligne 31 « cuisante douleur ». Cette hyperbole montre la douleur intense ressentie par la princesse. Ligne 33 « Inquiétude mortelle de la défiance ». Celle-ci cherche à montrer l’intensité de l’inquiétude de la princesse qui a été déclenchée en

| | |regret… |exclamations- figures d’insistance | | |Genres auquel il appartient= poésie, roman, |(hyperboles, anaphores), métaphores- champs | | |théâtre. |lexical de l’affectivité (émotions + | | |[+ ÉLÉGIAQUE= texte lyrique

mélancolie- thème= malheur en amour ou mort.]But : faire partager au lecteur ses sentiments | Forte présence des pronoms personnels de la première personne- interpellation régulière du destinataire- interrogations et exclamations- figures d’insistance (hyperboles, anaphores), métaphores- champs lexical de l’affectivité (émotions + sentiments)- apostrophes- travail sur le rythme. | PATHÉTIQUE | Définition : Situation bouleversante- contrairement au tragique, il n’y a pas d’intervention d’une force supérieure-

constitue-t-elle à la construction du personage de Rodolphe? Pistes pour le plan: I- Du point de vue morale, cette lettre de rupture montre un personage odieu *appelations *accumulations des compliments + multiplications des hyperboles *declarations d'amour promettant un avenir à la relation II- La lettre met en place un système d'argumentation fondé sur la mauvaise foi qui opère un déni de la decision de rupture *la letter rejette

moment idylliques, où les personnages nagent dans le bonheur : l’Eden ? 1. Le lieu est paradisiaque. La description est faite à l’imparfait.  La villa : « grande villa blanche, isolée, ravissante, dont nous rêvions » : adjectifs mélioratifs + hyperbole (« rêvions »). « bâtie sur un promontoire, dominant la mer » : impression de puissance et de richesse.  La mer Méditerranée : - Impression de douceur (« où se balançait la mer » = métaphore : la mer semble bercer le lieu ; « jet jaunâtre et doux

« paraître » : modalisateur (DG est subjectif) - champ lexical de la beauté de la jeune fille : « si charmante », hyperbole/ « douceur », « air charmant » - attirance violente et frappante pour la jeune fille : vocabulaire du charme (chant magique), « enflammé tout d’un coup jusqu’au transport » : métaphore et hyperbole qui sera filée l.21 et accompagnée aussi d’une hyperbole/ périphrase qui désigne Manon : « la maîtresse de mon cœur » : DG est envoûté par la beauté de la jeune fille 3-

« esprit » se réfère au moral et le mot « moustache » se réfère au physique. -Au vers 357 et 358, Le mot « atome » prononcé par Cyrano nous permet de dire qu’il y a une hyperbole, ceci montre que le vicomte est vide d’esprit et de lettres. Il y a aussi une périphrase et une hyperbole : « le plus lamentables des êtres » dite par Cyrano au vicomte. Par ailleurs « ô » est une apostrophe lyrique, cela permet de souligner l’interpellation poétique, souvent cette interpellation est

présentatif « c’est vous » théâtralise la révélationL21 : - la phrase exclamative équivaut à une phrase interrogative pour souligner la surprise d’Araminte L22-24 : - Dubois reprend le récit romanesque commencé ligne 10 et il le reprend avec une hyperbole « il vous