Hypoglycémie

Sommaire------------------------------------------------- Exprimez-vous  | | DéfinitionLe diabète est un excès de sucre dans le sang. Le taux de sucre dans le sang s'appelle glycémie. Sa valeur, mesurée le matin à jeun, peut être : inférieure à 0,6 g/l | hypoglycémie : la concentration en sucre est insuffisante. Si la glycémie descend encore, on aura des troubles puis un coma. | comprise entre 0,6 g/l et 1 g/l | glycémie normale : pas de diabète | comprise entre 1 g/l et 1,4 g/l | glycémie élevée mais le

réanimation néonatale a pour rôle de prendre en charge le nouveau-né et les prématurés dès les premières minutes de vie. Car le nouveau-né peut être exposé à des problèmes respiratoires ou détresse respiratoire, à une infection, une hypothermie, une hypoglycémie, malformation chez le grand prématuré et bien d’autres risques. Elle a aussi le rôle de prendre en charge les parents. L’infirmière en réanimation néonatale n’a pas de formation spécialisée mais elle bénéficie d’une formation sur le terrain de

impose des règles d'hygiène alimentaire ainsi qu'une capacité de compréhension pour adapter les doses d'insuline à chaque situation comme l'exercice physique, ou un repas plus copieux que d'habitude. Le diabétique doit savoir reconnaitre une hypoglycémie et doit savoir la gérer à n'importe quel moment de la journée. Il doit régulièrement réaliser des examens de suivi pour surveiller les complications inhérentes au diabète. Souvent le diabétique est confronté à des moments de déception et de lassitude

peut se révéler dangereuse dans certaines circonstances comme la conduite de véhicules, la baignade ou la pratique de certains sports. Les personnes qui souffrent de diabète de type 1 doivent connaître parfaitement les signes d’une éventuelle hypoglycémie. Après quelques années de maladie, il est fréquent que les personnes diabétiques soient moins sensibles et moins attentifs aux signes de l’hypoglycémie, ce qui les expose à des crises plus sévères. Lorsqu’une personne diabétique fait une crise

insuline avec un patient qui ne contrôle pas son traitement. L’alcoolisme (atteinte hépatique). Signes cliniques d’alerte : Sueurs, tremblements, tachycardie. Malaises, nausées. Confusions, difficultés de concentration. Convulsion, coma. Hypoglycémie majeure : Inférieure à 0.5 g/L. On est + ou – sensible à l’hypoglycémie. Par exemple, les enfants sont – sensibles que les personnes âgées. A. L’hyperglycémie Glycémie supérieure à 1.26 g/L à jeun. Diabète : Caractérisé par une hyperglycémie

de vie Prise en charge globale, médico-psychosociale et fonctionnelle: quelques particularités  Diagnostic de réversibilité « significative » – – – – – – – Iatrogénie Dénutrition Hydroélectrolytique: déshydratation Métabolique: diabète (hypoglycémie) Endocrinien: thyroïde / parathyroïde Infectieux: pneumopathie / pyélonéphrite Décompensation: cardiaque Diagnostics utiles, rentables avec bras de levier Prise en charge globale, médico-psycho-sociale et fonctionnelle: quelques particularités

nourriture caractérisé par un apport alimentaire insuffisant pour combler les dépenses énergétiques journalières d’un individu, le résultat de cet état étant la dénutrition ayant des effets allant jusqu’à la mort. L’individu peut à ce point tomber en hypoglycémie, avec une faiblesse et un amaigrissement extrême et une grande déshydratation. Hélas lorsque la sous-nutrition se produit au stade de l’enfance, comme c’est souvent le cas lors des dernières famines ayant eu lieu en Afrique, dernièrement au Darfour

Fibrinogène ++Modification de concentration ( anomalie de régulation) Urée 0,3 g/L Origine hépatique Élimination urinaire Augmente si maladie rénale Acide urique 0,05 g/L * Substances organiques non protéiques «Goutte» Glucose glycémie = 1 g/L Diabète Hypoglycémie Lipides 5-8 g/L Triglycérides Cholestérol HDL et LDL Dosage à jeun ++2.3.2 Composition du compartiment interstitiel.2.3.3. propriétés physico-chimiques du compartiment intracellulaire Analyse difficile Hétérogénéité cellulaire Osmolarité proche

hypertension artérielle, troubles du rythme ;· pulmonaires : asthme, embolie pulmonaire ;· neurologiques : épilepsie, notamment les crises temporales, crises migraineuses, maladie de Menière, accidents ischémiques transitoires,etc.· endocriniennes : hypoglycémie, phéochromocytome, hyperthyroïdie, syndrome de Cushing, hypoparathyroïdie, etc.· autres : hémorragies internes, pancréatite, porphyrie, vertiges labyrinthiques, réactions anaphylactiques, etc.7-Traitement · Les premiers

l'autocontrôle. Actuellement, pour que le diabète soi équilibré il faut : * adapter les doses d'insuline (autocontrôle ; carnet de surveillance) * avoir une idée de l'équilibre glycémique moyen (carnet) * gérer les situations d'urgence (hypoglycémies, hyperglycémies, suppléments d'insuline). Le patient diabétique a à sa disposition sur le marché plusieurs dispositifs pour contrôler quotidiennement son taux d’insuline et procéder à ses injections sous la forme de kit complet contenant :