Hypokhâgne

bâtiment se trouvent les bureaux du magazine ELLE, c’est là que je vais travailler pendant 6 mois : au service Promotion/Communication. Pour ce second stage avec l’Efap, je cherchais toujours une expérience qui corresponde à ma formation littéraire (hypokhâgne/ khâgne/ licence d’anglais) et qui soit dans la lignée de mes précédentes expériences (stages en rédactions) (cf. mon CV en annexe 1) et de mon objectif professionnel : journaliste dans un magazine féminin. Alors quel meilleur endroit que ELLE 

Claude-Bernard puis le collège Geoffroy-Saint-Hilaire d'Étampes où il aura pour professeur Jean Duvignaud[2] (avec qui, entre autre, il fondera en 1972 la revue Cause commune). Il entame une psychothérapie avec Françoise Dolto en 1949. En 1954, après une hypokhâgne au Lycée Henri-IV, il commence des études d'histoire qu'il abandonne vite. En 1956, il commence une psychanalyse avec Michel de M'Uzan[3]. De 1958 à 1959, il fait son service militaire à Pau, dans un régiment de parachutistes. En 1960, il se marie

chère Michèle, loin des longues vacances que tu m’attribues, point tout à fait à tort certes, mais pas aussi désœuvrées que tu peux les imagner, j’ai eu un début de semaine un peu bousculé  (nous avons quelque 1071 dosier d’entrée en hypokhâgne à sélectionner, et bien que n’enseignant pas dans cette classe, je me joins à ce travail fastidieux pour soulager un peu mes collègues). Bref je viens enfin de lire ton joli article sur le singe lafontainien; je découvre grace à toi sa plasticité

de la bibliothèque paternelle et découverte du «merveilleux dictionnaire », le Littré. 1916 Obtention du baccalauréat latin-sciences-philosophie avec mention très bien, ce qui confirme son aptitude pour les lettres. Inscription la même année en hypokhâgne au lycée parisien Louis-le-Grand. Publication d’un premier texte intitulé « Sonnet ». 1918 Échec à l’oral de licence en philosophie puis à l’admission à l’École normale supérieure en raison d’une sorte de paralysie de la parole. Démobilisation militaire

communiste. Pratique régulière de l’écriture poétique, à raison de vingt minutes par jour. 1916 Obtention du baccalauréat latin-sciences-philosophie avec mention très bien, ce qui confirme son aptitude pour les lettres. Inscription la même année en hypokhâgne au lycée parisien Louis-le-Grand. Publication d’un premier texte intitulé « Sonnet ». 1940 Démobilisation avec le début du régime de Vichy. Installation dans le village protestant du Chambon-surLignon où Ponge débute la rédaction du Carnet du bois

d’empiries Présentation de l’enseignant L’enseignant que j’ai pu suivre lors de mon stage était Mme Lacroix Karelle dont le parcours scolaire a été qu’après une terminale littéraire, elle a fait deux années de prépa au lycée Blaise Pascal (hypokhâgne - khâgne), puis une licence de lettres modernes à la fac de Clermont. Ensuite, elle a continué en préparant sa maîtrise tout en passant le CAPES de lettres modernes. Munie du Capes, elle a fait son stage de CAPES au collège Jeanne d'Arc, puis elle

Pratique régulière de l’écriture poétique, à raison de vingt minutes par jour. 1916 Obtention du baccalauréat latin-sciences-philosophie avec mention très bien, ce qui confirme son aptitude pour les lettres. Inscription la même année en hypokhâgne au lycée parisien Louis-le-Grand. Publication d’un premier texte intitulé « Sonnet ». 1940 Démobilisation avec le début du régime de Vichy. Installation dans le village protestant du Chambon-surLignon où Ponge débute la rédaction du Carnet

Universités, INSS/CNRST, Ouagadougou TRAORÉ, François Bruno, Professeur des Universités, Université Félix Houphouët Boigny VION-DURY, Juliette, Professeur des Universités, Université Paris XIII VOISIN, Patrick, Professeur de chaire supérieure en hypokhâgne et khâgne A/L ULM, Pau WESTPHAL, Bertrand, Professeur des Universités, Université de Limoges Organisation Publication / DIANDUÉ Bi Kacou Parfait, Professeur des Universités, Université Félix Houphouët Boigny, de Cocody-Abidjan Rédaction / KONANDRI

avant de devenir la grande figure de proue de l’indépendance de l’Inde, a pu faire des études de droit, qu’il a achevé à Londres. Un autre personnage, tel que le sénégalais Léopold Senghor, a passé son bac à Paris avant de faire une khâgne et une hypokhâgne au lycée Henri IV, et de poursuivre des études de lettres. De retour au pays, il a majoritairement participé, en tant que figure charismatique intellectuelle importante, à ce même éveil des consciences nationales. Certains des premiers mouvements

1915, il obtient la meilleure note de l’académie en philosophie pour une dissertation sur L’art de penser par soi-même. Il décide de s’engager après la mort d’un cousin au front ; une crise d’appendicite aiguë l’en empêche. En 1916, il entre en hypokhâgne au lycée Louis-le-Grand. Il publie son premier sonnet dans la Presqu’île no 4 (octobre) sous le pseudonyme de Nogères. Il se réclame de Barrès en art comme en politique. En 1917, il mène en parallèle des études de droit et de philosophie. Il participe