Hypotypose

métaphore « créature femme » qui symbolise l'être hors du commun qu'est Nanon. Après s'être penché sur son charisme, Balzac poursuit sur le visage de la sexagénaire. Il en fait une description qui se fonde sur l'animation en utilisant notamment une hypotypose «  ni les verrues qui ornaient ce visage martial, ni le teint de brique, ni les bras nerveux, ni les haillons.. » qui vise à mieux nous montrer l'aspect de cette ' créature ' . Il insiste sur son teint rougeâtre en utilisant une seconde métaphore

moral de V (lâche et sacrilège) - aspect religieux: panthéisme romain avec Chrysas; vénération de l'eau (Sicile: climat sec) - aspect social: l'insécurité en Sicile au 1er -JC; le pillage; la solidarité et l'org des villages - aspect littéraire: hypotypose + asyndète pour accélérer l'action et la faire vivre au jury (ex: ponctuation ++ mais pas de points) - longtemps réf en sciences + techniques - grande estime au Moyen Âge - Influence: nbreuses post réécritures de la catastrophe de Pompéi (redécouverte

dans un sonnet, la pointe finale, souvent présente dans le dernier (ou l’avant-dernier) vers. On peut en effet remarquer que le dernier vers est une seule phrase qui vient éclairer toute la portée du texte. Pour ce faire, recourant donc à une HYPOTYPOSE, il met en scène le retour de la femme orgueilleuse vers celui qu'elle a jadis dédaigné: cf. tercet 2. Ce retour se caractérise non par une fusion amoureuse, mais par une séparation irrévocable: Pour commencer à créer votre page, cliquez ici et

à un merveilleux païen, interdit toute représentation directe. Toutefois, il faut noter que ce recours au récit ne va pas vers un affadissement de la représentation théâtrale : au contraire, l’utilisation du pouvoir de suggestion du langage (hypotypose, rythme, amplification…) permet de jouer sur l’imagination du spectateur et le suspense, et de suggérer beaucoup plus qu’on n’en pourrait montrer sur une simple scène de théâtre. II- 1) Commentaire composé du texte suivant : Phèdre, acte V,

Annonce des axes du commentaire Analyse : I. Le rêve d'Emma Focalisation interne : le lecteur connaît les pensées d'Emma, observant les moindres détails, percevant son passé comme « évanoui ». Champ lexical de la vue, de la perception. Hypotypose (procédé qui vise à rendre vivant une description par un grand renfort de détails). La fascination domine l'ensemble du passage : - Superlatifs désignant les hommes et leurs habits : « mieux faits », « plus souples », « plus fines ». - Les

Hyperbole : consiste à mettre en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. L’hyperbole est donc une exagération exprimée par l’accumulation, par l’emploi d’intensifs ou par l’emploi de mots excessifs. Exemple : « Mourir d’ennui » Une Hypotypose : L’hypotypose est une figure qui se fonde sur l’animation d’une description et qui est destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose. L’hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet. Exemple : « elle verse des torrents

à raisonner langue, histoire et grammaire / Mes 4 enfants groupés sur mes genoux, leur mère / Tout près, quelque amis causant au coin du feu ! »). On note l’absence de verbes conjugués dans cette évocation d’un bonheur simple et familial. Cette hypotypose clôt l’évocation du souvenir at laisse place à l’expression du deuil. Aux différentes évocations de sa fille succède l’expression du deuil comme en témoigne l’utilisation du présent au vers 23 (« Et dire qu’elle est morte ! Hélas ! que Dieu m’assiste 

l’expansion du sens de « boucherie ». L’effet du détail horrible est bien un effet de réel. Cette description s’oppose à la vision euphorique et allègre des belligérants et aux systèmes qui prétendent rendre raison « des effets et des causes ». Hypotypose qui fait voir l’horreur des corps suppliciés « criblés de coups », « femmes égorgées », « éventrées », « à demi-brûlées » « de bras et de jambes coupés »… Où sont les héros ? Description qui énumère les crimes commis contre l’humanité // le Massacre

religion. La démonstration est assurée non pas par un raisonnement logique mais par un exemple qui fait davantage appel à l’imagination et aux sentiments de son interlocuteur : celui du sacrifice d’Iphigénie. Le récit du sacrifice s’apparente à une hypotypose, un tableau vivant, ce qui ne surprend pas car la peinture de l’époque avait souvent représenté le sacrifice d’Iphigénie, et Lucrèce a pu s’inspirer de l’une de ces images. Le retour au discours, dans le dernier vers, en guise de conclusion

se déroule le soir et plus précisément au crépuscule quand la nuit et le jour se confondent. Or, ces derniers étant une allégorie au Spleen et à l’Idéal, le poète capture le moment de convergence, l’harmonie entre ces deux idéaux. En effet, une hypotypose est présente : travail sur les couleurs (« sang » « soleil » qui évoquent les nuances de jaunes, oranges et rouges ; le « ciel » qui met plutôt en avant le bleu etc…) mais surtout Baudelaire marque une pause dans la progression de la scène avec