Hypotypose

Parfum exotique – Baudelaireintroductionprésentation auteurB = poète postromantique, initiateur modernité (audace images, contradict°, original)recueil fait scandale dès publicat° en 1857 car « poèmes provocateurs » = procès mais mtn chef-d'oeuve incontournableprésentation texte« Parfum exotique » est issu de « spleen et idéal » = 1e partie FDM, poème isométrique en alexandrins, évoque ailleurs chaleureux + est écrit en souvenir a Jeanne Duval (actrice) = femme sensuelle + maîtresse auteur.problématiqueComment

domaine théoriques et logiques, importants pour la poésie et l’écriture en général + verbe « raisonner ». Discussion utile à la composition littéraire.V. 20-21 → Tableau idyllique. Harmonie familiale. → Portrait de famille extrêmement visuel (hypotypose), comme une photo (portrait figé contrairement à celui de Leopoldine)grâce aux circonstanciels de lieu « sur mes genoux », « tout près », « au coin du feu » + énumération des membres de la famille/proches « mes quatre enfants », « leur mère »

ensuite, dans un second temps nous verrons l’inflexion que l’auteur à voulu donner à sa nouvelle avec cette apostille. Au travers de cet extrait, nous sommes face à de nombreuses descriptions, qui nous permettent presque de vivre le moment. Cette hypotypose est utilisée pour la description des différentes légendes. La première légende décrite dans cette apostille, celle de la vieille sqaw, va se rapprocher de l’actuelle mythe de mère nature. Une sqaw est une femme indienne, en Amérique du Nord.

de l’adjectif « vieux ». Ainsi, la décrépitude est montrée comme le résultat des combats héroïques et non la conséquence d’une déchéance sociale. Transition :la strophe 6 exprime une véritable expérience synesthésique où est développée une vraie hypotypose qui transfigure l’immonde réalité des chiffonniers en une vision épique. Cette expérience est permise grâce aux effets du vin dont le poète va faire l’éloge dans les deux dernières strophes. 3ème mouvement :A la 7ème strophe, le présentatif doublé

[…] ». Comparaison (féminin) : Une comparaison est une mise en relation de deux termes à l’aide d’un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.). Emphase (féminin) : L’emphase désigne tout ce qui permet de renforcer une image, une idée. Hypotypose (féminin) : L’hypotypose est une figure qui se fonde sur l’animation d’une description et qui est destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose. L’hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet. Métaphore (féminin) :

de Pollux, Jason raconte les aventures antérieures : donc Pollux est un personnage protatique. Vers 7 : « Quoi Médée est-elle morte ? », vers 43 « Que parlez-vous d’exil ? La haine de Pélie… » réplique courte ->Pollux personnage protatique. -Hypotypose : elle s’appuie sur des verbes de perception, et utilise de nombreuses figures de style et force détail pour frapper l’esprit du lecteur. Vers 59 à 92, « Le plonge en un bain d’eaux et d’herbes méconnues», « les sœurs crient miracle », vers 93 « à

neuve. École danse était initiée par Béatrice. Il est lui aussi guidé par avec cette beauté et cette dame l'entre elle, vers son île natale. Il nous guide à notre tour vers cette perfection. En permettant également d'en faire l'expérience grâce à hypotypose. Il s'agit donc d'une initiation au sens hors fic du terme, au sens le plus noble. Le poète est invité à se dégager du réel pour se hausser à la contemplation de la beauté idéale que l'île inspiré à travers la belle dame. Le sac reprenant la forme

vase..). On la trouve dans le roman grec et elle trouve sa place à l’âge classique dans la fiction. Ses fonctions sont de faire l’éloge de l’œuvre en question (quasiment jamais critique) ; créer l’illusion en mettant sous les yeux l’objet décrit (hypotypose) ; produire un équivalent littéraire et poétique de l’œuvre d’art en recourant à des figures de style ; organiser une rivalité entre la littérature et l’art au détriment de ce dernier. Diderot reprend cette tradition mais l’aménage à sa façon.

Saturne, Paris, Klincksieck, 2003, p. 157 : « La dualité de la mélancolie, aiguillon de l’esprit ou désastre de l’âme, instrument de sagesse ou cause de folie, est au principe de cette instabilité ». III. Poétique du songe : les songes sont des hypotyposes qui « tienn[ent] enveloppé le vrai parmi la feinte » (Osman, v. 326) « J’appellerai volontiers la Poésie la sœur des songes dont elle imite les illusions » (le P. Ménetrier, cité par Georges Forestier, art. cité). 1. Les songes : une poésie

recours à un merveilleux païen, interdit toute représentation directe. Toutefois, il faut noter que ce recours au récit ne va pas vers un affadissement de la représentation théâtrale : au contraire, l’utilisation du pouvoir de suggestion du langage (hypotypose, rythme, amplification…) permet de jouer sur l’imagination du spectateur et le suspense, et de suggérer beaucoup plus qu’on n’en pourrait montrer sur une simple scène de théâtre. 1) Commentaire composé du texte suivant : Phèdre, acte V, scène 6