Hypotypose

Hignard, qui a conseillé de rajouter une strophe pour mieux décrire le malaise et la gêne de l’oiseau, elle remplit ainsi ce rôle.-On a alors une impression de diversion du récit montrant de manière réaliste le mauvais traitement de l’oiseau, une hypotypose qui donne l’impression qu’on assite à la scène.-On remarque en premier lieu une abondance de point d’exclamation suscitant de la pitié envers l’oiseau et renforçant la pathétique de la description.-Les locutions pronominales « L’un » et « L’autre »

prétérition est une figure par laquelle on affirme passer sous silence quelque chose dont on parle néanmoins. Une hypotypose est une figure qui regroupe l’ensemble des procédés permettant d’animer, de rendre vivante une description au point que le lecteur « voit » le tableau se dessiner sous ses yeux. Il s’agit donc d’une figure de suggestion visuelle. Prétérition (féminin) Hypotypose (féminin) Vous remarquez que je ne vous dis pas que votre style manque d’élégance. « De princes égorgés la chambre

femme, cette Muse est alors modelée par le regard du poète, qui voit en elle plus qu’une femme : une source d’inspiration. La période qui suit est rythmée par les subordonnées, et des conjonctions de coordination, qui mettent en scène, dans une hypotypose, la femme comme « lune sinistre et enivrante ». Dans cette période, la lune comme planète paisible est opposée à celle plus violente et dramatique, théâtrale. Encore une fois, c'est la virginité et la débauche qui sont ici opposées. Les personnifications:

plutôt que choisie. Correspondance ouïe/vue illustrée au plan des rimes croisées : “Je viens à l’entendre”/ “Je crois voir s’étendre”. Effet magique : “De deux cents ans mon âme rajeunit” cc de temps en exergue : emphase. Actualisation : “c’est” : hypotypose : la scène surgit aux yeux du lecteur (auditeur). C’est une scène portée par le poète et qui s’exprime à la faveur de la mélodie. Toute la vision intérieure illustre/décline le sentiment exprimé par l’air “très vieux, languissant et funèbre” . Autrement

mort. Il se sert d’un vocabulaire dramatique pour exprimer sa peur comme on peut le voir dans les termes « les horreurs de ce mortel effroi, » vers 1227. Il se retrouve face à ce qu’il pense être ses derniers instants de vie, et créé même une hypotypose puisqu’il réussit à susciter une angoisse chez le spectateur qui peut totalement imaginer ce qu’il va se passer à la façon dont Clindor met en scène sa « futur » mort. C’est ensuite qu’il utilisera le complément circonstanciel de temps et adverbe « demain »

mettre en relief une idée au moyen d’une expression exagérée. L’hyperbole est donc une exagération exprimée par l’accumulation, par l’emploi d’intensifs ou par l’emploi de mots excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole. Hypotypose (féminin) : L’hypotypose est une figure qui se fonde sur l’animation d’une description et qui est destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose. L’hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet. Ironie (féminin) : L’ironie

fort de son étymologie latine liée au tonnerre : la paralysie physique de Junie engendre alors chez Néron une paralysie mentale. Or, tout en étant prisonnier de ces images, Néron y trouve une grande jouissance dans leur reproduction par hypotypose. Il revit la scène en boucle, à la fois pour en jouir à volonté, mais surtout impuissant à s’en détacher. Les imparfaits employés (vers 401-4) semblent confirmer cette suspension du temps, laissant tout loisir à Néron de jouir encore plus intensément

attaques contre les pyrrhoniens et les dogmatistes …) ; tragique (cf. fr. 33, 64, 122, 125…) … 3°) une volonté de toucher Rhétorique spécifique : - Images saisissantes (cf. ombre et lumière fr. 100 ; esthétique de l’effroi  (fr. 64 …); hypotyposes (cf. fr. 41,…) - volonté de bouleverser le lecteur, de lui faire perdre ses repères : les oppositions ( fr. 115 ; 118 ; fr. 122 p. 113 : « Juge de toutes choses, imbécile ver de terre, dépositaire du vrai, cloaque d’incertitude et d’erreur, gloire

aspect mélodramatique Demande de pardon, de façon touchante et persuasive. Diderot commence par nous montrer la scène. Il est un homme de théâtre car il nous fait le tableau vivant du personnage : « Quand j’écris je regarde une toile » Diderot. Hypotypose se dit d’une description très précise d’une scène qui fait qu’on a l’impression de l’avoir sous les yeux. Tableau qui représente Marie Madeleine. Diderot est un très grand critique d’art. En écrivant, il pense à la Madeleine repentant. Un pathétique

laideur du monde des adultes. Avec cette purification du couple Antigone/ Hémon la catharsis a pris place sur la scène même. Libération accalmie : «  maintenant reposés ils sont […]si calmes. Conclusion : -       une résolution tragique -       une hypotypose qui permet de donner vie au hors-scène. -       La dramatisation d’une catharsis originale Questions : J. Anouilh s’inspire de quel autre dramaturge pour écrire sa pièce ? L’Antigone de Jean Anouilh est inspirée du mythe antique, en rupture avec