Hystérie

jeune femme fut obligée de soigner son père qu’elle adorait et qui devait ensuite succomber à cette maladie. Le fait de devenir malade l’empêcha de continuer à pouvoir soigner son père. Il s’agit donc d’une hystérie. - La médecine de l’époque reste incompétente et incapable de traiter les hystéries qui ne faisaient pas l’objet d’études médicales particulières. On traite même parfois ces malades comme des menteurs et des simulateurs et, de manière générale, on ne leur porte pas d’attention. Seconde

différentes névroses : - Les névroses traumatiques (consécutives à un traumatisme psychique extérieur au sujet). La classification des névroses et des psychoses selon Freud (à partir de 1920) Psychonévroses (ou névroses de transfert) Hystérie de conversion Hystérie d’angoisse (névrose phobique) Névrose obsessionnelle Névroses narcissiques Dépression (mélancolie) Syndromes maniaco-dépressifs Psychoses Schizophrénie Paranoia Névroses actuelles Neurasthénie Névrose d’angoisse Hypocondrie- Les

déviances psychiques de tout ordre, de la douce manie à la folie furieuse, a toujours fourni à la littérature une série inépuisable et fascinante de « cas ». Le 19° siècle littéraire découvre l’hérédité (la folie peut se transmettre) et les « nerfs » (hystéries et névroses), et lira volontiers les essais des médecins aliénistes (Esquirol, Moreau de Tours, Trélat, Charcot), donc les remarques seront transposées dans la fiction, dans le genre fantastique (où la folie est un motif privilégié) comme dans la

. », « fait son propre », « se conserver », « son usage », « à son égard ») L'art du portraitiste consiste à feindre la fausse naïveté, le bon sens rempli de malignité. Rôle du sous-entendu : la goinfrerie de Gnathon (manducation, déglutition, hystérie mandibulaire) symbolise hyperboliquement l'hypertrophie du moi (le gonflement de la personne, le culte du moi, l'orgueil démesuré comme une faim jamais rassasiée) Enfin, par son goût des sentences sans appel, La Bruyère fait preuve d'une rosserie

ses parents et autres ancêtres. hypothèse : supposition à partir de laquelle on construit un raisonnement.  "ce sont donc des hypothèses sur la vie pulsionnelle de l'homme qui ont constitué le fondement de notre conception de la nervosité" hystérie : névrose qui se caractérise par des réactions excessives, théâtrales et une hypersensibilité. Freud découvre que ses patientes expriment par leur corps ce qu'elles ne veulent pas ou ne peuvent pas exprimer par des mots. L'inconscient a ce pouvoir

des angoisses les plus fortes de notre société, et qu’on l’admette ou non, l’islamophobie se répand de plus en plus . La tolérance sera indispensable pour sortir de la culture de la peur et retrouver un équilibre entre sécurité et libertés.   I°)Hystérie collectiveDepuis le changement de siècle et l'illustre bug de l'an 2000, les exemples de ces peurs cultivées et amenées à ébullition par l'hystérie collective ne manquent pas. Il y a eu les bactéries dans des fromages et des charcuteries, la maladie

impact social: XIXeme - Idéaux liés étroitement au conformisme social - Hiérarchie admise - Valoriqation des contraintes - Limitations admises - Valorisation de la castration - Société contenante -> Corps: caché, contenu, normé. Névroses et hystéries( paralysie hystérique) Axe pathologique: Interdit et culpabilité. XXeme Question de conscience plus que de morale Etre humain libre avec un potetiel de réalisation Valorisation de l’absence de limites( la société ne contient plus, elle pousse

Madeleine de Scudéry présentera une carte présentant les bienfaits et les dangers du désir. Interrogeant ainsi la façon dont la société considère le plaisir et le tolère, voire le codifie.On peut souffrir d’une morale trop forte : cas des hystériques : hystérie était la manifestation de leurs désirs car la morale trop bourgeoise les écrasait. On peut souffrir d’un manque de « surmoi », d’un manque d’intériorisation d’interdits parentaux : tueurs en série, psychopathes, sociopathes…… cf Film Psychose, qui

nommées (« quelques lettres passionnées ») (846), à sa belle-sœur Minna…   LA PREMIÈRE AFFABULATION Anna O. est officiellement guérie par le tandem Breuer-Freud. En fait, elle sera régulièrement ré-hospitalisée jusqu’en 1887. En 1888, Freud écrit dans Hystérie qu’Anna O. est guérie, alors que tel n’est pas le cas, puisqu’ il le confie dans une lettre à sa fiancée le 5 août 1883 : « (Breuer) dit qu’elle ne se remettra jamais, qu’elle est complètement détruite ». Freud écrira toute sa vie qu’Anna O. a été

seconde fois et de se débarrasser réellement de moi. Il espère que que ma présence entre Camille et lui disparaitra grâce à ce geste. Mais ma force est désormais beaucoup plus grande qu’avant et sans aucune action de ma part ils entrent dans une hystérie en binôme entretenant leur peur durant leurs longues nuits de veilles autour de la cheminée. La multiplication des frayeurs touche aussi leur sens comme le toucher dans leur lit, l'ouïe lorsqu’ils entendent des grattements, l’odorat quand il sentent