Hystérie

Le monologue final, Rhinocéros, Ionesco, p.243-245 Selon Ionesco lui-même, sa dixième pièce, Rhinocéros, représentée en France en 1960 est une pièce antinazie et plus largement, contre toutes les idéologies qui servent d’alibis aux « hystéries collectives ». Au fil de la pièce, toute la population d’une petite ville de province et tous les personnages se sont transformés en rhinocéros : violents, galopants, barrissant. La dernière métamorphose vient d’avoir lieue : celle de Daisy, la jeune femme

le surmoi. L'inconscient s'interprète donc comme un ensemble de désirs refoulés, permettant la compatibilité entre désir et exigence de la réalité. La théorie de l'inconscient a son origine dans une pratique médicale destinée au traitement des hystéries d'où une hypothèse qui se veut à la fois médicale et scientifique. Freud s'explique ainsi, en divisant l'esprit en plusieurs zones comparées aux pièces d'un appartement : "les tendances qui se trouvent dans l'antichambre réservée à l'inconscient

malade • Décompensation= passage d’un état latent à un état patent Les grandes entités psychopathologiques • Névrose: – Contact avec la réalité – Conscience des troubles – Conflit psychique refoulé qui est remplacé par un symptôme – EX: hystérie, névrose phobique, obsessionnelle Les grandes entités psychopathologiques (suite) • Psychose: – Perte de contact avec la réalité – Indistinction entre soi et l’autre – Délire – Angoisse de morcellement – EX: schizophrénie, paranoïa Les grandes

1596 : pièce « HENRY IV » : monologue shakespearien de Lady Percy (1371/1417)  Insomnies de son mari suite aux batailles menées 1861/1865 : Guerre de Sécession  Troubles affectifs au retour de guerre > « SOLDIER’S HEART » 1880 : CHARCOT > « hystérie traumatique » 1884: OPPENHEIM > « névrose traumatique »  Accidents ferroviaires 1914/1918 : « choc des tranchées »  Soldats présentant tics, problème d’élocution 1939/1945 : « névrose de guerre » ou « usure au combat » 1952 : création du DSM

l’inconscient, désigne, dans le psychisme humain, l’ensemble des contenus refoulés (désirs, pulsions inavouables ou souvenirs). Hypothèse nécessaire, selon Freud ; seule capable d’expliquer l’origine de certains troubles psychologiques (névrose, hystérie…) ainsi que certains de nos comportements, en apparence, dénués de sens. En effet, selon lui, une foule d'actes de la vie quotidienne que l'on observe aussi bien chez l'homme sain que chez le névrosé se caractérisent par le fait qu'ils manquent le

c’est la preuve que la parole du médecin à mis en branle un certain nombre de mécanismes sans que le malade n’en sache rien. Quelque chose qui échappe totalement à la conscience entre donc ici en jeu et produit des effets. En outre, lorsqu’un malade (hystérie) est interrogé sous hypnose il peut évoquer certains événements traumatiques, origine des symptômes et se trouver par-là guéri, bien qu’il ne se souvienne plus d’avoir parlé lorsqu’il se réveille. Pourtant Freud abandonnera bientôt l’hypnose dont

1902, il meurt mystérieusement, chez lui, sans doute assassiné. Alfred Dreyfus est réhabilité en 1906. II- Les personnages Thérèse est le héros éponyme de l'histoire ; ce qui annonce l'importance de son personnage. En effet sa névrose et son hystérie seront les acteurs principales du roman. La jeune femme est de nature fougueuse mais cette nature est comme enfermée dans un corps calme et ses sentiments cachés derrière un visage placide. Camille est le cousin de Thérèse. Dès la majorité de cette

de Laurent, peu sujet auparavant à ces faiblesses, contrairement à Thérèse (chapitre 11). On peut également rattacher au champ lexical du diagnostic médical des expressions comme « accès », « effrayante maladie », « affection nerveuse », et même « hystérie », ce dernier terme étant appliqué à Laurent alors qu’il désigne au XIXe une maladie nerveuse spécifiquement féminine. C’est que s’ébauche ici une sorte de féminisation de Laurent, qui provoquera cette naissance tardive de son talent artistique,

Il signale, en outre, ce que Robinson ne comprend pas, c`est qu`il existe une souffrance, la même pour tous, les riches inclus: La souffrance profonde, la souffrance vraie, elle existe aussi en même temps que les grimaces, les égoïsmes et les hystéries de l`arrière. Alors, la vérité sur les hommes ce n`est pas si simple.[124] C`est la fin cynique du périple à l`Île de la guerre. L`Île de la colonisation Au fait, le périple ne

son père et sa sœur comme étant ceux qui le séparent de sa mère, il ne peut pas être seul avec elle. DEUXIEME PARTIE Freud recherche ce que l’étude du cas de Hans peut apporter à la compréhension de la phobie. Pour Freud, la phobie est une hystérie d’angoisse. L’hystérie d’angoisse est la phobie placée sous le signe de la sexualité et donc c’est la seule vraie phobie névrotique. Dans l’hystérie d’angoisse : par l’action du refoulement, la libido se détache du matériel pathogène (càd elle se