Héritage Phylogénétique

Classification des êtres vivants II. Trier et classer les êtres vivants III.La classification ancienne IV.La classification actuelles (phylogénétique) V. La classification du vivant VI.La classification des animaux VII.La classification des végétaux I. Qu’est ce qu’une espèce ? Définition du terme « espèce »: les individus qui appartiennent à la même espèce sont des individus capables de se reproduire et d’avoir une descendance fertile. Il faut distinguer le terme espèce et le terme

Vertébrés partagent donc tous ensemble un ancêtre hypothétique qui possédait déjà les caractères communs à tous les Vertébrés « présence de Vertèbres », « présence de 3 axes de polarité » etc… L’organisation commune à tous les Vertébrés Arbre phylogénétique de 5 Vertébrés 

Travail de sciences sur l’évolution: l’arbre phylogénétique 1) Introduction L’arbre phylogénétique est une représentation schématique qui montre les relations de parenté que peuvent avoir que peuvent avoir différentes espèces. Cet arbre permet de voir quel ancêtre commun on certaines espèces et de comparer l’évolution de ce dernier (si on arrive à l’identifier). C’est Charles Darwin qui a été un de premier à représenter l’évolution d’une espèce sous la forme d’un arbre. La différence entre

l'utilisation de la séquence des macromolécules biologiques pour obtenir des informations sur l'histoire évolutive des êtres vivants et notamment sur leurs liens de parentés, leur phylogénie. Le produit d'une analyse de phylogénie moléculaire est un arbre phylogénétique. Les macromolécules biologiques telles que l'ADN, l'ARN ou les protéines sont des composants fondamentaux de tous les êtres vivants. Ces molécules sont des polymères constitué de l'enchaînement de briques moléculaire de base dont la succession

(besoins en énergie et fonctionnement de la cellule, organisation et fonctionnement des appareils digestif, respiratoire et cardiaque) Unité du vivant (notion de cellule) Unité et diversité des êtres humains Classification en groupes emboités ; arbre phylogénétique Roches sédimentaires; paléoenvironnement CAPACITÉ : S’INFORMER Tirer des Tirer des Tirer des informations informations informations d’un d’un texte d’un tableau schéma, d’une image I100 I200 (traduisant le réel) I300 52A-I107 52A-I204 52B-I302

légendes, livres et films. en jouant un rôle écosystémique important en contribuant au cycles biogéochimiques, dont le cycle du carbone et en particulier en contribuant au puits de carbone océanique[1] (voir plus bas). Dans la classification phylogénétique[2], obtenue par application des méthodes cladistiques, le groupe des poissons est généralement considéré comme paraphylétique et n'existe donc plus dans la biologie moderne. Dans cette classification, les poissons sont principalement dispersés

présente deux états différents (présence de doigts et absence). B. Exploitation. Seul le partage d’états dérivés témoigne d’une relation étroite de parenté. Les relations de parenté contribuent à construire des arbres phylogénétiques : chaque branchement d’un arbre phylogénétique ou cladogramme est justifié par l’apparition d’une ou plusieurs innovations évolutives. On voit ainsi apparaître des groupes monophylétiques : un clade regroupe tous les organismes qui possèdent une même innovation évolutive

évolutive. Alors que l’état ancestral ou primitif est celui qui préexistait PLUS DEUX ESPECES PARTAGENT DE CARACTERES A L’ETAT DERIVE PLUS LEUR PARENTE EST ETROITE B- Etablissement de phylogénie 1- Les arbres phylogénétiques Un arbre phylogénétique traduit les relations de parenté au sein d’un ensemble d’êtres vivants. Chaque nouvelle branche correspond à une innovation évolutive chez un organisme qu’il a transmise à tous ses descendants. L’arbre qui implique le minimum

fondamentale du vivant et que son observation permet d’établir des liens de parenté entre organismes. Se2 : respecter les règles de sécurité (blouse) RT6 : savoir utiliser des banques de données (Logiciel Phylogène) C8 : savoir compléter un arbre phylogénétique Se3 : savoir ranger sa paillasse, nettoyé Observation microscopique tournante d’élodée, de cellules buccales, de paramécies et de bactéries lactiques. Etude de photographies en microscopie électronique. Remplissage d’un tableau comparatif, et

ancestral de ces caractères. En terme évolutif cela signifie que homme, chauve-souris et tortue ont un ancêtre commun qui leur a légué le membre chiridien et l’amnios. Cet ancêtre n’est pas ancêtre du saumon. On peut donc situer la tortue dans l’arbre phylogénétique et situer l’acquisition du membre chiridien et de l’amnios, de façon à rendre compte du fait que l’ancêtre commun à ces trois espèces les possède et n’est pas ancêtre du saumon. - Le Saumon ne possède qu’un des caractères dérivés cités dans le