Ian Kershaw

donc officiellement le 8 mai 1945 que l'Allemagne capitule, ce qui met fin à la guerre en Europe. Il est communément admis que la signature a lieu peu avant minuit (peu après à l'heure de Moscou)[29] ; néanmoins, certains[Qui ?] historiens comme Ian Kershaw la situent peu après minuit, antidatée du 8 mai, afin de se conformer à ce qui a été signé à Reims[30]. Articles détaillés : Bataille d'Okinawa, Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki et Invasion soviétique de la Mandchourie. En Asie

concepts d’idéocratie et de religion séculière a été « de déshistoriser le fait totalitaire, qui ne sera pas étudié comme résultat d’un processus social et politique mais réduit à l’incarnation d’une idée.[51] » Dans un article au titre éloquent, Ian Kershaw marque ses fortes réticences à l'égard de la théorie du totalitarisme[52]. Concernant le Troisième Reich, l'historien anglais conteste l'atomisation de la société civile, premier des traits du totalitarisme selon Hannah Arendt. Son étude sur la

d’Hitler, l'Italie de Mussolini, et l'URSS de Staline. Ce concept est très utile dans la mesure où sa capacité d'analyse peut nous permettre de mieux comprendre ces régimes. Mais il est très largement critiqué, notamment par des historiens comme Ian Kershaw. D'une part, ce serait un produit idéologique de la Guerre Froide, et donc pas neutre puisque forgé par des politologues américains dans ce contexte particulier, qui leur aurai permis d’assimiler l’URSS au Nazisme. En fait cela n'enlève pas au concept

renforcement des structures du capitalisme - cette évolution s'accompagne d'une restructuration du corps social Interroger la spécificité du pouvoir nazi A- Des théories insufficantes pour analyser la spécificité de pouvoir nazi - Ian Kershaw rejette : théorie totalitaire et la théorie de l'hitlérisme B- Quel rôle attribuer à Hitler ? 2 courants : - internationnalisme : pense que Hitler avait un pouvoir absolue, intention qui remonte à loin, chaque choix était programmé - structuralisme

concept ; totalitarisme est un idéal-type jamais atteint dans la réalité, mais permet de comprendre ; rapproche nazisme et communisme ; explique la chute du communisme par atteinte aux piliers fondamentaux par Gorbatchev (régime irréformable)   Ian Kershaw (Anglais) : critique le concept (faiblesses et limites de la domination) ; préfère parler de « pouvoir charismatique »   Enzo Traverso (Italien) : concept incontournable (« garde-fou de la pensée » : conserver une attitude responsable face au passé

officiellement le 8 mai 1945 que l'Allemagne capitule, ce qui met fin à la guerre en Europe. Il est communément admis que la signature a lieu peu avant minuit (peu après à l'heure de Moscou)[31] ; néanmoins, certains[Qui ?] historiens comme Ian Kershaw la situent peu après minuit, antidatée du 8 mai, afin de se conformer à ce qui a été signé à Reims[32]. Articles détaillés : Bataille d'Okinawa, Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki et Invasion soviétique de la Mandchourie. En

manière plus précoce le courant national socialiste dès les années 20 c'est nourrit de cette tradition autoritariste de la société pour assurer sa domination et c'est notamment la référence absolue sur le totalitarisme et le régime hitlérien, Sir Ian Kershaw, il insiste sur le fait que des 1918 c'est une précondition du succès hitlérien que cette déférence pour l'autorité martiale, Hitler s'appuiera sur les « néofolkish », les culottes de cuir bavaroise, on se replonge sur le folklore allemand pour

charisme en politique Documents vidéo : Coupez le son ! Le charisme politique de Thierry Berrod d’après les études du professeur René Zayan de Psychologie Politique, Université Catholique de Louvain/Belgique Youtube.fr Livres / Magasines Ian Kershaw, Hitler. Essai sur le charisme en politique Frederic Baquet : Gandhi Max Weber : Le savant et le politique Le Monde Le Nouvel Observateur Sites http://www.en-quete.net http://www.journaldunet.com http://soifdumonde.over-blog

Viols de guerre Article connexe : Femmes de réconfort. Toutes les troupes belligérantes de la Grande Guerre avaient commis ou laissé commettre de nombreux viols de guerre[50]. Le phénomène ne se reproduisit pas autant en 1939-1945. Les historiens Ian Kershaw et Rees rapportent que contrairement à la propagande de la Wechmacht qui défendait le mythe d'une armée saine, des viols à grande échelle ont été commis par l'armée Allemande[51]. En revanche, plusieurs milliers de viols perpétrés pendant la campagne

risque-t-on pas de brouiller le sens historique des ces phénomènes, voire de « banaliser » le nazisme allemand responsable de la Deuxième Guerre mondiale et de la Shoah ? Toutes ces questions sont l’objet de nombreux débats. L’historien britannique Ian Kershaw, spécialiste de l’Allemagne nazie et biographe de Hitler, publia en 1995 un article retentissant qu’il choisit d’intituler « L’introuvable totalitarisme »…