Ian Kershaw

société ; Mussolini, Hitler : rivalité entre élites traditionnelles et nvelle bureaucratie du Parti-Etat). + Modèle d’autorité (fasciste, nazi : charismatique ; communiste : bureaucratique  « Le nazisme et son idéologie sont inséparables d’Hitler » Ian Kershaw, interdiction de se reproduire). ( Effets du pouvoir : terreur à gde échelle (plus faible pour fascisme). Terreur nazie surtout hors d’Allemagne. Elle est nature du régime(répression, persécution, élimination), a prévisibilité idéologique en divisant

parti nazi par pur vengeance. Bibliographie Ouvrages généraux : Ian Kershaw, Qu’est-ce que le nazisme ? Problèmes et perspectives d’interprétation, Foliohitoire 2008 Richard J.Evans, Le troisième Reich, l’avènement, Flammarion 2009 Marc Ferro, Nazisme et communisme, Hachette 1999 Ouvrages spécialiés : Fabrice Bouthillon, Nazisme et révolution, Fayard 2011 Pierre Ayçoberry, la question nazie, Point Ian Kershaw, Hitler, Flammarion 2008

déjà le terrain fertile en Allemagne, pendant la première moitié du 20eme siècle, en regardant aussi la diffusion de l’ antisémitisme en Europe (cette théorie a été déjà présentée par un des plus influent biographes du dictateur, c'est-à-dire par Ian Kershaw). En réfléchissant sur ce fait, on peu bien comprendre comme une calamité pareille aie pu s’abattre sur l’Europe, et comme, à la fin, Hitler ne soit que l’expression la plus terrible et dramatique de ‘quelque chose’ qui existait déjà dans la société ;

gouvernement stalinien, la terreur et le système des camps, les historiens ont pu confronter nazisme et stalinisme même si les conclusions qu'ils en tirent donnent encore lieu à de nombreux débats. Entre le nazisme et le stalinisme par exemple, Ian Kershaw explique dans Retour sur le totalitarisme, le nazisme et le stalinisme dans une perspective comparative qu'il existe une différence qui tient à la nature de l'autorité des deux régimes. Ainsi, il insiste sur le charisme d'Hitler à mi-chemin entre

une forte opposition à la gauche. C’est aussi l’installation d’un puissant appareil répressif, un parti unique (qui mobilise les masses qui met en place une liturgie politique dans une communauté de destin), un chef charismatique (Duce, Führer (Kershaw) Caudillo) garant du régime et de la Nation. Des associations sportives, étudiantes, professionnelles encadrent les masses. Le chef charismatique est paternaliste, protecteur, un homme providentiel de la nation dominante. Economiquement, il y

communisme français « 1789 / 1989, allers et retours » Le concept de totalitarisme ne dit pas grand-chose, sinon rien, sur les origines, pas plus qu’il ne cherche à expliquer les bases sociales différentes sur lesquelles s’appuyaient les régimes. Ian Kershaw1. La question des origines du communisme français intéresse au premier chef l’histoire du socialisme français. Ouvert par la thèse pionnière d’Annie Kriegel en 1964 ( Aux origines du communisme français), ce questionnement s’enrichit aujourd’hui

donc officiellement le 8 mai 1945 que l'Allemagne capitule, ce qui met fin à la guerre en Europe. Il est communément admis que la signature a lieu peu avant minuit (peu après à l'heure de Moscou)28 ; néanmoins, certains[Qui ?] historiens comme Ian Kershaw la situent peu après minuit, antidatée du 8 mai, afin de se conformer à ce qui a été signé à Reims29. Articles détaillés : Bataille d'Okinawa, Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki et Invasion soviétique de la Mandchourie. En Asie

donc officiellement le 8 mai 1945 que l'Allemagne capitule, ce qui met fin à la guerre en Europe. Il est communément admis que la signature a lieu peu avant minuit (peu après à l'heure de Moscou)29 ; néanmoins, certains[Qui ?] historiens comme Ian Kershaw la situent peu après minuit, antidatée du 8 mai, afin de se conformer à ce qui a été signé à Reims30. Articles détaillés : Bataille d'Okinawa, Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki et Invasion soviétique de la Mandchourie. En Asie, si

concepts d’idéocratie et de religion séculière a été « de déshistoriser le fait totalitaire, qui ne sera pas étudié comme résultat d’un processus social et politique mais réduit à l’incarnation d’une idée.[51] » Dans un article au titre éloquent, Ian Kershaw marque ses fortes réticences à l'égard de la théorie du totalitarisme[52]. Concernant le Troisième Reich, l'historien anglais conteste l'atomisation de la société civile, premier des traits du totalitarisme selon Hannah Arendt. Son étude sur la

Complexe, Collection Questions au XXème siècle, 1990, 341p. Fredj Jacques (directeur), Les archives de la Shoah, Paris, Editions l’Harmattan, 1998, 361p. Gilbert Martin, Atlas de la Shoah, Bruxelles, Editions de l’Aube/Samuelson, 1992, 265p. Kershaw Ian, Qu’est-ce que le nazisme ? Problèmes et perspectives d’interprétation, Paris, Gallimard, Collection Folio/Histoire, 2008, 529p. Kogon Eugen, Langbein Hermann et Rückerl Adalbert, Les chambres à gaz secret d’Etat, Paris, Les Editions de minuit