Iconographie Byzantine

La méthode byzantine de la damnatio memoriae L’histoire de Byzance, au moins jusqu’à la prise de Constantinople par les Latins (1204), pourrait être considérée comme étant la première partie d’un manuel traitant les hérésies européennes (la deuxième partie commencerait par la propagation des grandes hérésies dans le monde chrétien latin du XIIe s.). Même si unе constatation pareille semble un peu exagérée, en effet, les évènements des huit premiers siècles de l’histoire byzantine (325–1111)

un mélange de ce qui sera plus tard l'art Byzantin et l'art Paléochrétien. Étant donné son origine et ce qu'elle représente nous pouvons nous demander en quoi cette mosaïque en apparence si simple est-elle si différente des mosaïques de cette même époque? Pour répondre à cette question nous allons la diviser en trois différents parties suivant le plan suivant : I)° Description de l’œuvre en faisant ressortir les différents attributs de l'art Byzantin. II)° La mosaïque de Sainte Agnès vue

Riboud, Marc / Guillebaud, JeanClaude Istanbul Rondeau, Daniel Tsirkas, Stratis Istanbul Cités à la dérive Yerasimos, Stéphane / Auzépy, Marie-France / Ducellier, Alain Istanbul Ennemi (L'), n° 1 (1991) Constantinople : 19e-20e siècle EMPIRE BYZANTIN Kaplan, Michel Arrignon, Jean-Pierre Barbe, Dominique Barbero, Alessandro Bloy, Léon Brändle, Rudolf Bréhier, Louis Butor, Michel Cesaretti, Paolo Chaliand, Gérard Chastel, André Chevallier, Béatrice Cheynet, Jean-Claude Cheynet, Jean-Claude Cormack

L’image de ce passé mouvementé se lit ainsi dans la ville à la fin du XVIIIe s, avec la superposition des cultures. • Tout d’abord la basilique géante Sainte-Sophie, construite par les architectes Antemius et lsidoros, sur la demande de l’empereur Byzantin Justinianus à la place de la basilique incendiée en 532, manifeste l’ambition de devenir une Nouvelle Rome, cœur de l’orthodoxie. • Mais les visiteurs sont également attirés par la réputation de la l’église Saint-Sauveur-in-Chora, connue pour la

Voir, pour un état récent de la question, J. MoORHEAD, Théodoric in Italy, Oxford, 1992, p. 232 sq., qui rappelle qu'on reprochait à Boèce aussi bien la défense de l'orthodoxie catholique, dans un royaume arien, que des relations avec l'empire byzantin ; en outre, un débat était ouvert autour de la succession de Théodoric, et la rectitude parfois sévère de Boèce dans ses fonctions de magister officiorum avait dû lui attirer envie et haine chez les parvenus de la cour. 2. Voir Par. 10, 121-9

Tableaux de Claus: I. « Force vitale » qui est: (1) diminué, ou détruite par des blessures corporelles (2) « usé » par l’effort physique (3) restauré ou satisfait par la nourriture et les boissons (4) rafraichie par la fraîcheur, la baignade, etc II. « La force vitale » qui est le siège de (5) la concentration physique et la force pour combattre (5a) le courage et l’audace (6) le désir ou la peur du combat; ou la crise physique (6a) la rage III. La « force-vitale » ou « la force vitale » personnifiée

aprés J-C) elle a rayonné sur une étendue géographique de plus en plus vaste jusqu'à embrasser tout le pourtour de la Méditerrannée. Pendant un autre millénaire (+500 à 1500) elle a subsisté autour de la ville de Constantinople (Byzance et Empire Byzantin). Les villes romaines : Tout d’abord, il est important de noter que peu de villes ont été crées par des romains. Elles ont plutôt été conquises. Malgré la diversité de cultures au sein de l’empire, les romains encourageaient la construction

1ere journée Histoire-Géographie, juillet 1996 mise en place des nouveaux programmes d'histoire de 2de Le libellé de la question mise au programme de seconde pousse à considérer non pas trois ensembles isolément (chrétienté occidentale, Empire byzantin, Islam), mais les contacts qui se nouent, de façon pacifique ou violente, entre ces trois aires de civilisation. Il est toutefois nécessaire de définir chacune d'entre elles avant de montrer les influences réciproques. Je proposerai comme thème unificateur

est caractérisé comme civilisé. * La ville de Constantinople va être envahie par les Turcs vers 1453 (brèche dans la ville). L’empereur est tué. Constantinople devient Istanbul, la capitale de l’Empire turc. 2. Les acteurs * L’Empire byzantin est le résultat de la séparation de l’Empire romain. Cette ville est construite par Constantin, comme pendant de Rome. Elle reste puissante jusqu’aux 11e – 12e siècles. En 1204, elle est confrontée à des difficultés majeures dues à la 4 e croisade

Méditerranée, trois ensembles politiques et religieux se côtoient. Au Nord-Ouest, l’Occident chrétien est installé sur un territoire hérité de l’Empire romain d’Occident et sur des terres marquées par le christianisme romain. Au Nord-Ouest, l’Empire byzantin se situe sur un territoire hérité de l’Empire romain d’Orient et sur des terres marquées par le christianisme orthodoxe. Au Sud, le monde musulman occupe un vaste espace (allant de la péninsule ibérique au Moyen-Orient) construit par des conquêtes