Iconographie

Cnide dans un paysage. », en passant par « Shocking », le parfum rose de Schiaparelli dont il réalisa la publicité. Les fantastiques bijoux que Gala, grande admiratrice du bijoutier mythique Fabergé, l’invita à dessiner à partir de ses propres iconographies. La publicité pour les entreprises de mode américaine, comme la célèbre campagne de publicité pour les bas Bryans que Vogue publia. Les déguisements pour les danses de carême, en commençant par la polémique sur la tenue de Gala dans

l'écriture, simple détonateur de son imaginaire métaphorique. Il en ira de même pour les compositions de Gustave Moreau, ou bien pour les personnages de Fernand Khnopff. Symboles et symbolisme Le mouvement pictural symboliste s'exprime grâce à une iconographie originale, opposée à l'approche réaliste et également éloignée de celle des impressionnistes. Il n'existe aucune tentation sociale ou naturaliste dans les thèmes symbolistes, et rares sont les peintres qui s'intéressent aux variations lumineuses

(Mémoires, manuels de dévotion, œuvres littéraires…) sont d’un apport considérable, et témoignent de la grande diversité des documents utilisés dans ce livre. L’auteur lui-même avoue que pour aborder un tel sujet « tout est source », statistiques et iconographies comprises. Mais l’ouvrage accorde avant tout une place prépondérante aux textes de l’époque que Vovelle commente au fur et à mesure. A partir de ces sources, nous pouvons affirmer que la mort est un objet historique dans une triple mesure. Ainsi

« motif » (du latin motivus, « ce qui meut ») est souvent employé comme homonyme de sujet. Je l’emploie ici dans le sens de Panofsky d’«expérience pratique ». Il est pris aussi dans le sens de Cézanne qui allait peindre « sur le motif ». [12] Le mot iconographie (d’iconikos et graphein), dans sa signification large désigne ce qui est représenté dans l’image. Chez Panofsky, elle se rapporte plus précisément à ce qui renvoie au « dire », de la tradition orale ou écrite, ce qu’il appelle « images, histoires

affaire à une histoire événementielle pourtant expliquée dans le temps long. Annexes : Avant-Propos : l'idée de G. Duby concernant cette œuvre Cartes Chronologie Bibliographie Autres documents (Chroniques, poèmes, chants, annales, théâtre) Iconographie importante : - photographie de fresques murales - photographie d'un heaume - photographies d'un coffret de mariage - sceaux - miniatures - vitrail - couronne - tableau - vignettes - numérisation d'un cahier d'écolier Georges

artistique occidentale des années 1980. Il s’est développé en Europe et aux États-Unis en réaction contre l’art conceptuel et minimaliste. Les néo-expressionnistes reviennent à la peinture figurative, en adoptant un style violemment émotif, et une iconographie volontiers provocatrice. Il s’agit d’affirmer une expression subjective, renouant avec la matérialité et la gestualité de la peinture. En France, le néo-expressionnisme est parfois désigné comme figuration libre alors que l’on parle de Nouveaux Fauves

unes des autres au sein de ce mouvement culturel. Le charme du style baroque se transforme consciemment, passant de la finesse, des qualités intellectuelles de l’art maniériste du xvie siècle au charme viscéral visant les sens. Il emploie une iconographie directe, simple, évidente et dramatique. L’art baroque s’inspire dans une certaine mesure des tendances héroïques d’Annibale Carracciet de son cercle, et trouve l’inspiration à travers d’autres artistes comme Le Corrège et Le Caravage et Federico

qui touche, on dirait, à sa tension interne limite. » * « Il ne suffit pas qu'un roman soit porté par la chaleur d'une émotion sincère ; il faut que cette émotion sache ranimer les images élues, emmagasinées et sommeillantes, toute cette iconographie intime, secrète qui représente – elle seule et non les documents, les « petits faits vrais », collectionnés à l'extérieur – les réelles archives dont un romancier étoffe ses livres. Le mauvais romancier – je veux dire le romancier habile et indifférent

Murakami est un artiste de son temps. « Avatar japonais du pop art américain »[1], le japonais puise son inspiration dans l’imagerie populaire manga, combinée à un kitsch pop warholien : son travail est un véritable hub. L’hyperbole anime une iconographie légère et gaie, avant tout ludique, où chaque élément prend plaisir à vivre, des statues monumentales aux couleurs flashy, en passant par les fleurs au sourire psychédélique, sans oublier le jeune homme éjaculant sous forme de lasso (« My Lonesome

⁃ En plus, Pharaon est maître des deux terres, du double pays. Le terme pharaon vient de Per âa ( palais royal, pharaon Nouvel Empire ; Pharao en grec ). ⁃ ⁃ Le terme de Roi – Nesou – Héka ( souverain ), Hem ( majesté ). B- Iconographie : Elle est très codifié, couronne et coiffure => être divin empreint de magie, porteurs de pouvoirs. Il y a de nombreuses couronnes : ⁃ couronne rouge : Hedjet ( basse Égypte ) ⁃ couronne blanche : Desheret ( haute Égypte ) ⁃ double