Ide Et Taux De Change

Le Maroc pourrait être affecté de "manière relativement limitée" par le ralentissement de l'économie mondiale, issu de la crise qui secoue le système financier international et dont l'impact sur l'économie nationale devrait "au maximum réduire le taux de croissance du PIB de moins d'un point de pourcentage en 2009", estime le gouverneur de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri. Dans un entretien accordé à la MAP, M. Jouahri précise que les dernières prévisions révisées du gouvernement pour l'année

[pic] Introduction : Croissance, développement et changement social [pic] La croissance et le développement sont deux notions proches, mais distinctes La croissance, qui se mesure par le taux de variation du PIB réel, renvoie à l’accroissement des ressources dont disposent les membres d’une société. Le développement renvoie à une transformation des structures qui favorisent durablement le bien-être. Le développement a donc une composante économique, mais aussi une composante sociale et culturelle

et sorties de capitaux et de devises et ainsi, la gestion des créances et dettes extérieures pour assurer l’équilibre financier du pays ; IV. Contribuer à l’élaboration de politiques budgétaires conjoncturelles, commerciales et de contrôle de change ; de programmes économiques. CHAPITRE II : ETABLISSEMENT ET STRuCTURE DE LA BALANCE DES PAIEMENTS Etant donné son importance. Il est capital de définir les règles principales d’élaboration de la balance des paiements ainsi que ses différentes

LES PAIEMENTS INTERNATIONAUX : LE CHANGE Les paiements internationaux concernent les règlements des dettes contractées en devises et en monnaies nationales lors des échanges de biens, de services et de capitaux. Pouvoir échanger des devises entre elles est nécessaire dès lors que n’existe pas une monnaie unique à l’échelle internationale. C’est le marché des changes qui permet de résoudre ce problème. La conversion d'une monnaie en une autre s'effectue à l'occasion du règlement des transactions

services au moindre coût + diversification de l'offre.  Pour les épargnants (les offreurs de capitaux) : accès aux placements les plus rémunérateurs (en fonction du taux d'intérêt*).  Pour les débiteurs (les demandeurs de capitaux) : diversification des sources de capitaux (épargne mondiale) accessibles au moindre coût (en fonction du taux d'intérêt).  Pour les entreprises spécialisées : accroissement de l'efficacité productive grâce à l'extension de leurs marchés à l'échelle mondiale (notion d'effet

en Algérie. Sommaire Introduction 2 I) Présentation de L’Algérie 2 A. Sa Géographie 2 B. Démographie 4 1) Population 4 2) Langues et religions. 5 3) Climat politique 6 4) Contexte Général. 6 II) L’Environnement pour les IDE en Algérie 7 Introduction : 7 A. Environnement économique 7 1) Conjoncture économique 7 2) Secteur d’activité 8 A. Infrastructures et services publics 8 3) Alimentation et traitement de l’eau 8 4) Transports 8 B. Cadre législatif

statistiques commerciales et de production. 1) Indicateurs basés sur les seules statistiques de l’échange (pour les formules, cf. poly) • X = exportations M = importations i = les pays  j = les produits • Le taux de couverture : il permet de voir si un pays a une spécialisation dans un produit. Si TCij > 1 on peut supposer d’un avantage comparatif ( spécialisation Si TCij < 1 on peut supposer d’un désavantage comparatif ( déspécialisation

sont d’ordres financiers, ceux-ci peuvent ne pas être spéculatifs tels que les IDE qui ont pour but de produire contrairement aux investissements de portefeuille. Les flux peuvent être également ceux d’informations : en 2000 il y avait moins de 10% de la population mondiale reliée à internet. Le processus de mondialisation a 2 buts fondamentaux : * Le développement des échanges : intensification calculé par le TAUX D’OUVERTURE : [(X+I)/2]/PIB x 100. Dès qu’un pays est en crise cela touche les

Dépenses gouvernementales. Taux de croissance : vitesse à laquelle un pays s’enrichit Taux d’inflation : augmentation générale des prix Taux d’investissement : I/PIB Taux de chômage (u) : U (chômeurs)/ L (actifs) « U » pour Unemployed et « L » pour Labor force PA = N ou L + U Taux de participation : PA ou L/ pop. en âge de travailler IPC = Indice des prix à la consommation La loi Okun établit une relation emploi/ taux de croissance : quand la croissance ä, le taux de chômage æ et inversement

et du S. LIMITES DE L'ANALYSE RICARDIENNE : Le commerce international = commerce intrabranche, remise en cause du ppe de spécialisation. Couts unitaires de pd0 (des facteurs,pdté des facteurs), marge des entreprises(niveau de concurrence), taux de change. Compétitivité hors prix (Innovation,qualité des produits,capacité à s'adapter à la D.) Politique de dévaluation (action volontaire) compétitive : Malgré ces limites, l'ouverture du commerce international est facteur essentiel à la croissance