Ideologie De Descartes

que c’est bien moi qui parle quand je dis « je ». Pour parler à la première personne « je », il faut d’abord prendre conscience de soi, comme l’enfant énoncé par Kant, qui avant se sentais et maintenant se pense. Une unité pleine est définie par Descartes : nous savons que nous doutons, et le sachant, nous avons l'intuition immédiate et claire que nous ne sommes pas rien : tandis que je doute, je sais que j'existe, car s'il y a un doute, c'est qu'il y a nécessairement quelqu'un qui est là pour douter

de Berlin, les experts et autres essayistes, ont annoncé "l'arrivée du monde à la fin de l'histoire" ( F. FUKUYAMA ) ou "la fin des idéologies". Cette ère nouvelle, n'est en fait que le triomphe d'une "idéologie" vieille de plusieurs siècles se dénommant libéralisme et de ses avatars économiques que sont la loi du Marché ( stylisé ) et la rationalité. Cette idéologie ( se basant sur le modèle d'un Marché virtuel parfait ) perçoit la société comme un ensemble d'agents libres et rationnels dont les

des philosophes comme Socrate, Aristote, et Platon qui ont déclenché cette nouvelle science de l'être. Puis, au fil des siècles, de nouveaux philosophes commencent à se révéler et ceux-ci se positionnent différemment, par exemple, Saint-Augustin, Descartes, Kant, Marx, Husserl et les noms continuent à se rajouter à cette liste infinie. La grande question qui fut défendue par certains de ces philosophes: Est-il possible de parvenir à la vérité? La vérité est étroitement liée à toutes les questions philosophies

ne se connaît pas misérable ». Cet arbre n'est pas capable de penser comme l'homme et cela fait de cet arbre un simple objet qui subit son existence car il n'existe que parce que l'homme décide de le faire exister. Ce qui nous ramène au cogito de Descartes, « je pense donc je suis ». Être un homme, c'est donc être un sujet pensant de par la conscience. C'est ce qui fait de lui un être hors du commun. Nous pouvons aussi ajouter que sans la conscience, le monde n'existerait pas. C'est notre conscience

de la vérité, du bien,du beau, à celle du sens de la vie, et du bonheur, mais plus largement, la perpetuelle recherche de la réflexion. Réfléchir, penser, confronter ses opinions à celles d'autres personnes c'est sa la philosophie. Comme disait Descartes «  Par sagesse on n'entends pas seulement la prudence dans les affaires, mais une parfaite connaissance de toutes choses que l'homme peut savoir. ». Ainsi contrairement aux sciences un débat n'est jamais clos, en effet un prof de physique n'enseigne

L’art du roman Kundera, romancier contemporain qui écrit en tchèque puis en Français. PREMIERE PARTIE : « L’HERITAGE DECRIE DE CERVANTES » Husserl a fait une critique aux Temps modernes : les nombreux progrès scientifiques (portés par Galilée et Descartes) ont focalisé l’attention sur des détails abstraits et des généralités au points d’en oublier le monde vécu de l’individu, c’est-à-dire une crise de l’identité « européenne » (en tant que sentiment d’appartenance à l’air de civilisation occidentale

artistique de Raymond Queneau. 1- L’INDIVIDUALISME La raison pour laquelle nous abordons le sujet de l’individualisme est que la plupart des écrivains non-conformistes partageait plus souvent qu’autrement les principes prônés par cette idéologie. L'individualisme est un mode de pensée qui est axé sur la valeur de l'individu et non d'une communauté ni d'un groupe. On peut donc affirmer qu'il protège les droits et intérêts de chacun. Cette philosophie refuse d’imposer à l'individu des devoirs

conscience de soi-même. Descartes s’y intéresse il cherche à découvrir une vérité "entièrement indubitable", et il tente en vain de se débarrasser de tous les préjugés qui nous poursuivent depuis notre enfance. C'est de cette manière qu'il en vient à mettre en opposition ce qu'il a conscience d'être spontanément, avant sa méditation philosophique, et ce qu'il est vraiment, dont il ne prend conscience qu'au terme de sa méditation. 1) La conscience spontanée de soi. Descartes déclare avant sa méditation

inquiètent les savants de l’époque tous formés plus ou moins à la Scholastique, c'est-à-dire ce mélange permanent de science inspirée d’Aristote et Ptolémée d’une part et de théologie chrétienne d’autre part. Par exemple, le chantre de la Raison, Descartes renonce à sortir la même année son propre traité sur l’héliocentrisme …et il va plutôt plonger dans la philosophie, poser le principe du doute comme méthode et comme par hasard aboutir à l’existence de Dieu, et comme par hasard du Dieu de la Chrétienté…

qu'on appelle «âme» n'est rien d'autre que la faculté, pour le corps, de sentir et d'agir. La mort étant l'anéantissement total de cette faculté, nous n'avons nulle vie future à espérer ou à craindre. Le courant rationaliste Ce courant, dont Descartes est considéré, à juste titre, comme l'initiateur, s'accomplit avec Spinoza (Éthique) et Hegel (la Logique). Selon ces philosophes, il existe en l'homme un pouvoir indépendant de l'expérience: la raison. Celle-ci consiste en principes a priori, irrécusables