Ideologie Lafontaine

pouvoir être complètement soi-même, donc enfin pouvoir être libre. D’après moi, nous pensons que nous sommes libres dans la société, car nous pensons avoir la chance de devenir ce que l’on veut. Nous ne réalisons pas que la société et ces idéologies, règles et dogmes sont bien incrustés dans nos vies et nous affectent. Si on prend par exemple le fait que je veux devenir médecin. Le simple désir de vouloir le devenir n’est plus assez, car nous devons nous conformer au système scolaire et tout

proposées pour cette séquence sont : Quelles sont les différentes phases et les caractéristiques de la croissance économique du milieu du XIXè siècle jusqu’à nos jours ? Quels sont les facteurs de la croissance et de la crise ? Pourquoi les idéologies justifiant le capitalisme et la mondialisation sont remises en cause aujourd’hui ? Comment l’Angleterre affirme-t-elle son statut de première puissance mondiale ? Pourquoi le XX ème siècle est un siècle américain ? Quel nouveau paysage économique

beaucoup plus forte. Afin de cerner encore plus précisément la notion de totalitarisme, on peut utiliser la grille de lecture de Carl Friedriech et Zbigniew Brzezinski. Selon eux, un régime totalitaire combine 6 caractéristiques fondamentales: une idéologie officielle à laquelle tout les membres de la société ont vocation a adhérer, un parti unique de masse et dirigé par un seul homme, un système de terreur généralisée et orchestrée par les organes du mouvement totalitaire, le monopole étatique absolue

travail qui touche les sociétés industrielles du XIXème siècle en période de croissance industrielle et qui conduit les individus à se soumettre toujours plus au dur labeur des usines. La question est donc de savoir quelle valeur accorder à cette idéologie productiviste des « temps modernes » qui glorifie le travail. Selon Nietzsche, cette survalorisation du travail a pour finalité secrète de conditionner les individus et de les soumettre à la discipline collective: la glorification du travail serait

proximité et contrôle de l’ensemble par la propriété du maître et l’église ( Affirmation des lieux de pouvoir dans le paysage Manifestation de la puissance : gigantisme des usines, demeure familiale = un château, lien église et industrie 2. Idéologies : - Paternalisme : doc.2 (l.1-16) et doc.3 (réalisations dans le domaine sanitaire et social) ( Définir la philosophie du paternalisme et montrer en quoi elle est vivante ici ( Pas de volonté de lutter contre les inégalités, rôle de protecteur

La production de l'idéologie dominante de Pierre Bourdieu et Luc Boltanski initialement publié en 1976 explique la façon dont la classe dominante met en œuvre des mécanismes qui lui permettent d'imposer et de maintenir sa doctrine auprès de l'ensemble des autres acteurs sociaux. L'idée principale des auteurs tient à la pérennisation de la domination d'un groupe sur les autres grâce à un système dont la force relève du tacite, aboutissement d'un processus idéologique évoluant depuis la veille de

fraternité. D’ailleurs Etienne Gruillot face à la misère et à la menace révèle le désir du confort et de la sécurité. Le constat est repris par Bauman : on veut le bien-être comme sécurité, préférable à tout, d’où une simple vision, au risque d’une idéologie simpliste. L’imagerie révolutionnaire présentée par Antoine de Saeque a pour signification inconsciente ce retrait sur soi : l’aliment, le chez-soi et la filiation forment le fond sur lequel se détachent les luttes pour l’égalité des Français devant

regroupement de militants partageant la même idéologie politique. Bien que les caractéristiques de ce dernier type d'organisation aient déjà été analysées, elles n'ont pas été logiquement mises en relation les unes avec les autres. D. Gaxie explique que sans l'analyse des mécanismes de rétribution de l'activité politique, il n'est pas possible de comprendre les « lois d’organisation et de fonctionnement des partis de masse ». Le partage de la même idéologie politique favorise le recrutement et l'activité

négation du socialisme et du communisme. »[6] Pratiques staliniennes [modifier] Manifestation en République démocratique allemande, en 1952 : portraits de Wilhelm Pieck et Joseph Staline. Le concept de stalinisme, n'étant pas véritablement une idéologie, est associé à des pratiques de terreur organisée par l'État. Il a laissé sa marque dans : * l'élimination systématique de tous les opposants réels ou potentiels (voire imaginaires), à l'intérieur comme à l'extérieur. Staline fait assassiner

la recherche des origines des institutions est tout autant imprégnée de « l'illusion » qui consiste à justifier l'état actuel par les suites (chaînes causales) dégagées par l'intelligence de l'historien.une idéologie, par exemple, se construit aussi par rapport à des idéologies concurrentes. En d'autres termes, il ne garde que les faits qui corroborent son postulat (exemple : Durkheim et l'interdit de l'inceste) origines du christianisme on peut trouver dans la pensée allemande