Idh Et Pnb Ou Pib

Qu’est-ce que le PIB ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 La croissance fait-elle le bonheur ? 3 2.1 Les paradoxes de l’abondance. . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 2.1.1 Le “paradoxe d’Easterlin”. . . . . . . . . . . . . . . . 4 2.1.2 Les comparaisons internationales. . . . . . . . . . . . 4 Explication des paradoxes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 2.2 3 Critique comptable du PIB. 3.1 3.2 4 6 Le PIB ne comptabilise

-Données économiques Le PNB de la Corée du Sud s’élève à 1.206 milliards de dollars en 2008 (14ème rang mondial). Le taux d’inflation en 2008 était de 2,5%, ce qui est relativement moyen. La monnaie coréenne s’appelle le won. 1 KRW=0,0006 EUR. La monnaie du pays est donc faible, le taux de change est favorable aux entreprises françaises. En ce qui concerne le niveau de développement économique, la Corée du Sud a un taux d’alphabétisation de 97,4/100, un IDH de 0,94 en 2008 (ce qui est au

compte du sous-développement et de la hiérarchie des nations. Ainsi, pour la Banque mondiale, les « économies en développement » correspondent aux économies à faibles revenus et à revenus intermédiaires. Ces catégories sont constituées en fonction du PNB par tête. En 2010, le Rapport sur le développement dans le monde distinguait les catégories suivantes : économies à faibles revenus : < à 975 $ par habitant avec des pays comme Madagascar, Mali, Afghanistan, Bangladesh, Népal, Yémen, Haïti, etc. économies

829 millions d'habitants, au début du XXIe siècle, l'Afrique subsaharienne est la partie du continent la plus démunie, notamment en matière économique, et la plus mouvementée politiquement : en effet, disposant d'un PIB par habitant très faible (environ 1000 dollars PPA/an) et d'un IDH de 0,465. Le nombre de mal nourris a augmenté de 37 millions sur les dix dernières années.[] Comment ces pays en sont-ils arrivés là ? Et Pourquoi peut-on parler d’un espace qui a des difficultés pour s’affirmer et

Croissance par S. Kutznets : Amélioration du niveau de vie. Pour lui, cette croissance est surtout mesuée par le PNB/hab. F. Perroux estime que la définition de S. Kutznets définit le progrès. Pour Perroux, le progrès est ce qui donne un sens à la croissance. - Niveau de vie : Ressource matérielle moyenne pour la consommation possible d’une population. Le PIB/hab. est la mesure habituelle. - Pays développés : Pays dont l’activité économique, industrielle et tertiaire est

10 Md $ par an. Biens informels http://www.internetworldstats.com/top20.htm 3. Des marges en développement ? Introduction rapide de la notion (datée) de « Tiers-monde » inventée par Alfred Sauvy. Riches et pauvres : le critère controversé du PNB/hab.) En 1999, le RNB/hab . allait de 100 $ EN Ethiopie à 42 930 $ au Luxembourg, soit un rapport de 1 à 429. Il RNB/Hab 03($) Luxembourg RD Congo Rapport est vrai que Luxembourg 55100 600 92 ce critère de en parité de pouvoir d'achat (source CIA factbook

car cela implique un progrès, de meilleures conditions de vie. D’autre part, la croissance est un phénomène quantitatif. Pourquoi peut-il y avoir croissance sans développement ? C’est le problème de la répartition du Produit Intérieure Brute (PIB)1, de son utilisation. Il se peut qu’il y ait croissance avec le développement si les fruits de la croissance sont mis à disposition du plus grand nombre. La croissance permet de développer les infrastructures qui offriront de meilleures conditions

comptabilité nationale 3. La comptabilité nationale ou la mesure de l’activité économique d’une nation 3.1. La valeur ajoutée (VA) 3.2. Le produit intérieur brut (PIB) 3.3. Le produit national brut (PNB) 3.4. Le produit national brut au coût des facteurs (PNBcf) 3.5. Du PNB au revenu national brut (RNB) 3.6. La consommation nationale (C) 3.7. Du PNB au produit national net (PNN) 3.8. Les investissements nets (Inet) et bruts (Ib) 3.9. Conclusion 4. Limites de la comptabilité nationale 5. Synthèse 6. Questions

relève Mauricio Vicent, le correspondant à La Havane du quotidien madrilène El País. Le ministre de l’économie Marino Murillo a reconnu, le dimanche 20 décembre, devant le Parlement cubain la gravité de la crise économique. Le taux de croissance du PIB n'aura été que de 1,4 % en 2009, soit largement au-dessous des 6 % prévus ; les investissement ont diminué de 16 % et les exportations de 22 % par rapport à 2008, et la situation a été aggravée par la crise financière internationale, l'embargo américain

(Strauss-Kahn, Stieglitz). Ce qui distingue un Strauss- Kahn d’un keynésien est que ce ne sont pas des économistes qui sont prêt à aller au delà des dépenses actuelles. Laffer : « Trop d’impôt tue l’impôt » La mesure de la croissance : Définition : Le PIB mesure la somme des valeurs ajoutées pour une économie nationale au cours d’une année civile. C’est donc un indicateur statistique. D’abord, il faut prendre en considération qu’une partie des valeurs ajoutées ne sont pas pris en compte (travail au noir)