Idéal De Gervaise

Renard « Dès qu’une vérité dépasse cinq lignes, c’est du roman ». Chez Emile Zola dans l’assommoir, Zola dénonce la fatalité du milieu dans lequel on vit. En effet, pour lui on ne peut échapper à la déchéance de son milieu. Cette idée est incarné par Gervaise Macquart qui au fil du roman est entraînée vers la paresse, la gourmandise et l'alcoolisme. Choses qu’elle n’acceptait pas au début du roman. C’est donc que le personnage ordinaire et malheureux et porteur d’idée et dénonce la société dans laquelle

emblématiques et symboliques puis nous montrerons que le personnage médiocre peut très bien convenir à un certain type de roman. Le roman a besoin de héros exemplaires incarnant la perfection ou la sagesse car ils permettent d’exposer des idéaux, d’élaborer des aventures et intrigues hors du commun qui ne pourraient pas être réalistes si elles étaient vécues par des personnages ordinaires, et de transmettre au lecteur des valeurs morales. Les héros de roman peuvent avoir des destins exceptionnels

présentés par Hugo ou Dumas. Ce motif est utilisé très souvent dans son époque, le plus connue des œuvres atteint par lui est « La Dame aux camélias ». Celles- là sont d’après Zola trop idéalisées, sentimentales et la réalité se cache et donc cet ideal est dangereux pour les mœurs des filles jeunes. Zola dit qu’il faut pas cacher la vérité et fuir devant les problèmes comme cela. Son but est d’avertir. La morale d’après lui est établie à montrer les factes et par cela instruire. L’introduction

d’une Italie rêvée, où les personnages côtoient grandeur d’âme, danger, beauté des paysages… Les évènements rocambolesques font indubitablement penser aux romans du XVII siècle, tel que l’Astrée d’Honoré d’Urfé. L’aventure est mise au service d’un idéal poétique et littéraire ; Fabrice est un héros comme on n’en fait plus et comme Stendhal n’en a plus fait par la suite. Les auteurs réalistes tels que Balzac ou Zola ont, eux, peint des personnages principaux communs, appartenant à diverses classes

la société qui l'entoure. Il est à notre temps ce que le démon était au Moyen âge. | Le criminel psychopathe dans la littérature : « La bête humaine » ( 1890 ), Émile Zola. Le mécanicien Jacques Lantier , l'un des trois fils de Gervaise , dans « La Bête Humaine » ( 1890) d' Émile Zola et l'un des premiers criminels psychopathes paru dans la littérature. En effet , on peut le considéré comme le tous premier voir le prédécesseur ( avec quelques nuances ) de tous ces grands criminels

absolue, impératif. modèle > pour le lecteur / l’auteur ? héros vertueux La littérature a-t-elle un impératif moral ? I. Thèse : le personnage de roman doit être un modèle Le personnage doit représenter un idéal. La littérature veut instruire/édifier. Cf la devise Placere et docere de l’Antiquité. A- Le héros moral: Le roman doit présenter comme personnages des êtres exceptionnels, dont le comportement témoigne de cette volonté morale. On peut

basée sur les théories du grand scientifique Claude Bernard, dans Le Roman expérimental. Dans L’Assommoir, qui connaît un fulgurant succès dès sa parution en 1867, il peint « la déchéance fatale d’un famille ouvrière » et montre comment le couple Gervaise-Coupeau est trop influencé, d’une part par les générations précédentes d’alcooliques, et d’autre part par leur milieu social pour échapper à la malédiction de l’alcool malgré leur volonté. Ce roman présente une fonction naturaliste d’explication

des antiques épopées, par la lenteur puissante, le large courant, l'accumulation tranquille des détails, la belle franchise des procédés du conteur. Il ne se presse pas plus qu'Homère. Il s'intéresse autant (dans un autre esprit) à la cuisine de Gervaise que le vieil aède à celle d'Achille. Il ne craint point les répétitions ; les mêmes phrases reviennent avec les mêmes mots, et d'intervalle en intervalle on entend dans le Bonheur des dames le "ronflement" du magasin, dans Germinal la "respiration

Séverine venait avec Mlle. Barthe, la fille de Grandmorin, prendre le train à Paris. Ils sont ensemble depuis trois ans. Chapitre II, à la Croix-de-Maufras. Jacques Lantier est un mécanicien. Il a deux frères Étienne et Claude et sa mère se nomme Gervaise. Tante Phasie est sa marraine elle a épousé en second mariage un garde barrière, Misard et vit avec une seule de ses deux filles Flore, Louisette est morte. Grandmorin a une sœur Mme. Bonnehon qui habite à Doinville. Jacques rend visite a sa

but d’un personnage réaliste, tout comme le prince Fabrizio dans le Guépard, n’est pas la gloire ou l’argent : leur motivation élémentaire est un bonheur simple, une vie tranquille, un travail acceptable. Ainsi le lecteur ne le ressent pas comme un idéal ou un modèle à suivre, mais le sent proche de lui-même, et c’est ici l’enjeu du réalisme : permettre l’identification du lecteur aux personnages, par la mise en valeur du réalisme des personnages. L’auteur tend à réduire au maximum la distance entre