Idéal De Gervaise

toujours des juristes qui sont choisis. Pourtant les révolutionnaires de 1789 avaient été d’un avis totalement différent. En effet, puisqu’ils étaient méfiants vis à vis des juridictions, ils avaient considéré l’arbitrage comme une sorte de justice idéale. Il l’avait rendu obligatoire pour régler les litiges familiaux. C’est totalement utopique puisque l’arbitrage ne peut être efficace que s’il existe un minimum de consensus entre les parties. Ce consensus peut se trouver entre deux entreprises par

laïcité, civilisation, progrès, Empire, …) - des institutions politiques en adéquation avec les 2 points précédents : République laïque, Régime parlementaire, représentatif, SU (mais quid des femmes ??? voir débats des années 20 et 30....) - une société idéale tendant vers le progrès pour tous : progrès graduel, action combinée du mérite individuel et de la promotion sociale assurée par la République, accès à la propriété pour tous……Un levier : l’ECOLE ! - un discours codé, des rites, des lieux et des symboles

partie choisi même si il sort de son rôle). ⎝ Manque de compétence juridique de l’arbitre (pas toujours un juriste en théorie). Avis différents des révolutionnaires de 1789 : méfiance vis-à-vis de la juridiction = arbitrage donc mode de justice idéal = arbitrage obligatoire pour régler les différents litiges. Utopie = arbitrage ne marche que si il existe un minimum de consensus entre les deux parties (deux entreprises voulant continuer à travailler ensemble malgré le litige). 1806 CC : arbitrage

Discours de la servitude Conclusion Ce texte provoque le lecteur en 1563), resté dans les mémoires volontaire, édition de 1836 © Gallica. inversant le rapport de responcomme l’ami de Montaigne ; sabilité qui justifie l’existence d’une tyrannie. Cet même idéal de tolérance. • L’œuvre : dans cette œuvre de jeunesse, La Boétie extrait est caractéristique de l’esprit humaniste par réfléchit sur la tyrannie. Elle ne repose, à ses yeux, le souci accordé à la dignité humaine. que sur le consentement du peuple

jour du document unique ........................................... 175 15.1 Planifier la mise à jour du document unique ....................... 15.2 L’évaluation des risques ....................................................... 15.3 Un système idéal .................................................................. 176 180 182 AF_GuideSecurite_1res.fm Page X Lundi, 28. avril 2008 8:55 08 X Le guide de la sécurité au travail ! – Les outils du responsable 15.4 15.5 15.6 15.7 15.8 15.9 15.10

grand banquet. Le damoiseau, la damoiselle tout près de vous…Peut-être tout à l’heure, la nuit est belle…En attendant, vous écoutez le jongleur chantant, et vous comptez : 1, 2, 3… 10 ! Les vers sont de dix syllabes, le décasyllabe est la longueur idéale pour la chanson de geste, même si plus tard vous trouverez des chansons en vers de douze syllabes – les alexandrins. Lorsque Ronsard reprend le genre au XVIe siècle, il n’hésite pas : il écrit son très long poème épique La Franciade en décasyllabes

rôle de la confidente de théâtre, la « suivante » qui ne quittera pas sa « Victorine » éducative, aboutissant à une impasse narrative : les deux personnages auront simplement servi de contrepoint, chargés de présenter au héros une image féminine idéale qu’il ne peut rencontrer dans le monde. »13 Quant à sa protégée, la jeune Victorine Taillefer, elle a un physique quasi maladif comme le montre son « visage pâle »14et ses « joues déjà légèrement creusées »15. Dès lors, il est évident ‫ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــ‬

grand banquet. Le damoiseau, la damoiselle tout près de vous…Peut-être tout à l’heure, la nuit est belle…En attendant, vous écoutez le jongleur chantant, et vous comptez : 1, 2, 3… 10 ! Les vers sont de dix syllabes, le décasyllabe est la longueur idéale pour la chanson de geste, même si plus tard vous trouverez des chansons en vers de douze syllabes – les alexandrins. Lorsque Ronsard reprend le genre au XVIe siècle, il n’hésite pas : il écrit son très long poème épique La Franciade en décasyllabes

sensations/sentiments, éveillent notre imaginaire. Parfois, nous nous identifions aux héros que nous rencontrons. Nous ne sommes pourtant pas stupides. Nous savons qu’un roman, par exemple, est une œuvre de fiction or nous pouvons être ému par la destinée de Gervaise, vivre de grandes aventures avec D’Artagnan et ses amis mousquetaires, faire l’expérience de la solitude avec Robinson… 2. Pourquoi expliquer un texte ? Cet exercice est bien plus ambitieux qu’on ne l’imagine et il dépasse même le cadre scolaire

d’eux. 7. Savoir = objet de quête pour chacun d’entre nous, il nécessite la présence d’un guide permettant le développement de notre esprit critique. Chez Voltaire, auteur et gouverneur = contre-exemples, anti-modèles. Chez Fénelon, Mentor = guide idéal, repère intellectuel et moral. Prolongement : effectuer des recherches sur les différents personnages et sur la suite des aventures de Télémaque. Qu’arrive-t-il à Télémaque ? Dans quelle mesure son parcours est-il exemplaire pour le duc de Bourgogne