Idéal Maîtresse

La Bête Humaine Emile Zola I. Personnages Jacques Lantier, personnage principal, conducteur de train, amant de Séverine et fils de Gervaise, habite à Paris. Pecqueux, chauffeur de train avec Jacques. Séverine, femme de Roubaud, maîtresse de Jacques, abusée dans sa jeunesse par Grandmorin. Roubaud, mari de Séverine,habite au Havre. Grandmorin, juge connu,mais qui a des attitudes repehensibles avec des jeunes filles,possede une maison a la Croix de Maufras réputée sinistre,mysterieuse

à s’intégrer dans sa nouvelle vie professionnelle, elle est victime des avanies de ses collègues et de ses supérieurs. Heureusement, Pauline, une collègue de travail, la console même si Denise connait des problèmes d’argent. Mme Desforges est la maitresse d’Octave et elle a un rôle important dans le grand magasin. Quant à Octave, il négocie avec un riche baron pour financer les agrandissements du grand magasin. Cependant, à la saison-morte, les employés craignent pour leur place et Denise

« trois cent cinquante livres » qu’elle pèse. • Le fils du baron Thunder-ten-tronckh, jésuite entiché de sa noblesse. • Cunégonde, fille du baron Thunder-ten-tronckh, cousine et amoureuse de Candide. Peut-être imaginée à partir des deux maîtresses de Voltaire : sa nièce Marie Louise Mignot Denis et la scientifique, Émilie du Châtelet. • Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde. Peut-être imaginé à partir de la duchesse de Saxe-Gotha

qu’elle lui a cédé, le poète s’est bien vite lassé d’elle. Le troisième cycle est consacré à Marie Daubrun. On ne sait pas grand-chose d’elle et de sa relation avec Baudelaire. Juste qu’elle fut sa muse mais que Baudelaire, bien qu’elle soit sa maîtresse, l’aimait plus d’un amour fraternel, comme une sœur. Enfin, le dernier cycle est considéré au reste des femmes… Pas une en particulier. Plusieurs femmes l’ont inspiré mais elles n’ont pas eu autant d’importance que les trois précédentes dans la

Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Charles Baudelaire (1821 - 1867) Le Balcon Mère des souvenirs maîtresse des maîtresses O toi, tous mes plaisirs ! O, toi, tous mes devoirs ! Tu te rappelleras la beauté des caresses, La douceur du foyer et le charme des soirs, Mère des souvenirs maîtresse des maîtresses, Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon, Et les soirs au balcon, voiles de vapeurs roses. Que ton sein m'était doux ! Que ton cœur

personnage Verdurin, survient un bref flash, une image révélatrice qui va confirmer les observations constatées à propos des « fidèles » mais faire naître également dans l'esprit du lecteur quelques hésitations concernant la personnalité réelle de la maîtresse de maison. Mme Verdurin trône au-dessus de ses invités et la proposition principale qui la présente met en valeur l'allitération en [ s ] « assise sur un haut siège suédois en sapin ciré » sonorités sifflantes qui accréditent la tentation de

l'existence que Baudelaire exprime dans plusieurs de ces poèmes dans son recueil Les Fleurs du Mal ; c'est le taedium vitae du poète latin Lucrèce. Le Spleen est dû à : L'impossibilité d'atteindre l'idéal : Baudelaire est toujours à la recherche d'un idéal qu'il sait inatteignable. Cet échec provoque un spleen qui lui emprisonne l'âme et coupe son élan. La maladie : la syphilis est l'une des causes du Spleen Baudelairien. Dans le sonnet « La muse malade » Mais surtout la fuite du temps avec les poèmes

activitées apparait une grande richesse de la cité. Les habitants de l'île d'Ogygie sont semble-t-il très riche. Aussi ils ne manquent pas de nourriture, c'est le cas de Nausicaa et de ses servantes qui sont satiètes (l.1). L'abondance est donc maîtresse dans cette île où même les servantes semblent ne manquer de rien, comme le montre leur "mantilles" (l.2). Ulysse lui même est succeptible de jouir de ses richesses puisqu'il ne manquera de rien (l.33), que se soit de vêtements ou même d'une escorte

victimes. Les hommes se sentent solidaires devant la misère, la sottise, la lâcheté, l'ennui et le mal. Les Fleurs du mal sont alors une sorte de voyage qui comporte six étapes. « Spleen et Idéal », constitué de quatre-vingt cinq poèmes, exprime la déchirure du poète entre une aspiration vers un « Idéal » et le « Spleen », c'est-à-dire l'ennui (angoisse). Cette section montre la misère et la grandeur de l'homme, vu comme le combat éternel de l'homme, sans issue : « Il y a dans tout homme, à tout

toujours avec de fausses informations, comme ''lointaine'', montrant quelle est difficile à entendre et ici encore, elle n’est pas tellement saisissable. Cependant, cette femme reste omniprésente dans le poème. 2- Une femme omniprésente -Cette femme idéale est présente dès le 2eme vers; ''une femme inconnue''. Elle est désignée tout au long du poème par le pronom anaphorique ''elle''. -Elle est de plus désignée par des possessifs tel ‘’son ‘’, ''sa'', car elle est l’objet du poème; c’est elle que