Idée De Nation A T Elle Encore Un Sens

Français Histoire (Période coloniale) Dates importantes : 1992 C. Colomb 1534 Jacques Cartier Traite de la fourrure Église a une place très importante dès le début de la Nouvelle-France dans le but de convertir les Amérindiens dis sauvages. Colons : Habitants cultivent (terre, sédentaires) Bon Canadien Français il cultive sa terre. Nomades : mobiles (coureurs des bois ceux qui font la traite des fourrures et d’autres nomades, les explorateurs qui arrivent en nouvelle France et veulent régner

L’Etat-nation et la démocratie sont-ils inséparables en Europe du début du XXème siècle à nos jours ? Selon Ulrich Beck, l’Etat-Nation serait aujourd’hui devenue une « notion zombie ». Ilaffirme donc par cette formule la fin de l’Etat-Nation tel que nous le connaissons. L’Etat-Nation apparaît comme la juxtaposition d’une notion identitaire (l’appartenance à un peuple, à un groupe) et une notion juridique, c’est-à-dire une forme de souveraineté, des institutions, un Etat. Le constat d’Ulrich Beck

individus ; contrat de travail ≠ dissolution constitution Le droit constitutionnel est une branche a part. Ex : facteur et président de la république. Tout les deux assurent une activité étatique. Les règles sont des règles de droit public. Le facteur est un fonctionnaire tandis que le président est un gouvernant, c'est-à-dire une personne qui exerce le pouvoir politique. Seul le président a un droit au niveau constitutionnel. Le droit constitutionnel est la science des règles juridiques et s’impose

citoyenneté a eu mauvaise presse. Elle était, pour les plus indulgents, désuète, surannée, insuffisante en tout cas pour organiser la « vraie » démocratie. La « citoyenneté bourgeoise », liée, pour les Français, à la grande Révolution, était soumise à une critique radicale, elle n’était que « formelle » et non « réelle », pour reprendre les termes classiques d’une tradition qui a longtemps imprégné le monde intellectuel. Mais, depuis l’échec politique, des grandes idéologies, c’est-à-dire des grands

mutations importantes ces deux derniers siècles Un monde fini … Aujourd’hui nous assistons à un monde fini dans le sens où il n'y a plus rien à découvrir. On sait où on en est, il n'y a plus de nouvelles terres à gagner. L'espace maritime approprié Avant les mers n'étaient qu'un espace et un droit militaire. Aujourd’hui nous avons soif de ressources, elles font donc objet d’intérêts économiques. On assiste à un processus d'appropriation. Des accords internationaux via l'ONU ont été mis en place :

Introduction : Objectifs du cours : L’HPC n’a pas vocation à nous apporter un vernis de culture générale. HPC = donner des clef de compréhension, issue du siècle des lumières, de la révolution française et aussi l’héritage de la construction impérial de napoléon bonaparte. 2 - Qu’est ce que l’HPC : Il faut décrypter un certain nb de choses Histoire = ce terme renvoie pour nous essentiellement au pb de la chronologie. Nous entamerons notre aventure dans l’Europe des années 1750 jusqu’en 1870-75

sociales avant le XIXe. Science synonyme de connaissance. Lat. sciencia. On ne classe pas la politique dans le domaine des sciences car elle n'est pas fiable. Les grecs utilisent la dialectique pour les choses humaines, telles que la politique. A. La science politiques dans la Grèce antique. Mot science n'est pas adapté. On parle de la politique comme connaissance, pas comme action. La politique c'est le social. Grec:politicon. Dérivé du mot polis, la cité. Étude des soc humaines, elles ont

population. Le mot « étranger » lui même n’avait d’ailleurs pas encore dans l’imaginaire collectif sa signification d’aujourd’hui. L’année 1860, qui marque une ouverture nouvelle des frontières du territoire, vint changer la donne, ouvrant la porte à un nouveau type d’immigration, beaucoup plus prolétaire et très majoritairement en provenance des nations frontalières que sont par exemple l’Italie ou la Belgique. Dès lors on assista à de profonds bouleversements des relations entre autochtones et étrangers

mémoire ? Ce texte reproduit une intervention prononcée lors du colloque "Quelle histoire pour quelle mémoire?" qui s'est tenu à Chateauroux le 31 mars 2001. Puisqu’il m’appartient d’ouvrir cette journée consacrée aux rapports entre l’histoire et la mémoire, je dois d’abord m’expliquer sur le titre donné à mon intervention. Un discours largement répandu nous fait le devoir, à nous professeurs, de "fabriquer de la citoyenneté". Sans doute parce que le citoyen est devenu plus que jamais un être problématique

Rousseau discute avec Hobbes notamment et Hobbes apparaît comme une cible de polémique. La vie de Rousseau (1712-1778) bascule le jour où il tombe sur la question posée par l'académie de Dijon : le progrès des sciences et des arts contribue t il a corrompre ou a épurer les mœurs ? Il va rendre un discours sur les sciences et les arts et remporte le prix de l'académie de Dijon. L'homme est bon naturellement et les institutions le rendent mauvais. 
Il s'agit de comprendre d'où vient l'inégalité entendu