Idée Principale Du Texte Du Spinoza

ensemble de règles ne se conçoit que dans un tel cadre car suppose l'intervention initiale d'une autorité. Le droit et sa création constituent la base de l'agir politique. Il apparaît comme le « signe » de la puissance suprême car il constitue le principal moyen de déterminer globalement la conduite des sujets et de réaliser les fins propres de l'Etat. Raison ou volonté. « Création du droit » par l'autorité publique. Le droit est-il donné à l'homme ou posé par lui ? Est-il découvert par la raison

toute philosophie est par essence dogmatique ? 2/La question du doute porte sur la fondation de la connaissance, une autre question porte sur l’accroissement des connaissances. Descartes/Spinoza (Traité de la réforme de l’entendement : n’importe quelle idée vraie convient pour commencer à connaitre. La première idée n’est pas très importante c’est l’accroissement qui compte.) 3/Qu’est-ce qu’on fait du probable ? Les sceptiques ne trouvent jamais le vrai. Est-ce que le sceptique suit le probable ?

législatifs : au niveau de la Constitution (1), des Lois (2) et des ordonnances (2bis). II. Règlement : deux types : décret (3) et arrêté (4), ce sont des décisions prises par le gouvernement. On fait accomplir la Loi par le décret. Ces 5 types de texte sont les seuls dont on peut parler devant les tribunaux. Il y a une sous-catégorie : les textes hiérarchiques, c’est-à-dire les textes internes par lesquels le chef donne à ses subordonnés des règles, comme le circulaire (ou instruction, règlement

(philosophia). Il se décompose en philo- (verbe philein : aimer, chercher) d'une part, et, d'autre part, -sophie (nom sophia : connaissance, savoir, sagesse). Littéralement, la philosophie est l'amour de la sagesse ou du savoir. Nous pouvons nous faire une idée plus précise de la signification des composants du mot grec « philosophia » simplement en consultant un dictionnaire, bien que tous les sens ne nous serviront sans doute pas. Le verbe philein a ainsi le sens de donner un baiser et avoir coutume. Si

aux discussions éristiques durant l'Antiquité, à l'intérêt que portent les philosophes à la logique depuis Aristote, mais aussi, au Moyen Âge, au souci de donner à la philosophie la rigueur démonstrative des mathématiques (comme chez Descartes ou Spinoza) ou à l'importance qu'accorde la philosophie analytique de nos jours à la rigueur et à la clarté argumentatives. Malgré cette tendance profonde, la philosophie contemporaine a vu se développer une critique radicale de la raison, que ce soit chez Nietzsche

manière ») et leur style est très différent des œuvres tardives plus élaborées et plus narratives, telles que les Chroniques romanesques et le Cycle du Hussard (œuvres dites de « seconde manière »). La nature est d'une certaine façon le personnage principal des premiers livres, tandis que l'Homme est celui des seconds. Soldat durant la Première Guerre mondiale, Jean Giono n'aborde objectivement cette période de sa vie que dans Refus d'obéissance, c'est-à-dire bien après ses premières publications

(complémentaire et antagoniste) entre le Yin et le Yang. Au XVIIème siècle, fang Yizhi (1619–1692), philosophe chinois, formule un véritable principe de complexité. A l’âge classique, Pascal est le principal penseur de la complexité. Plus tard d’autres penseurs et philosophes tels que E. Kant, Spinoza, Leibniz, Hegel ou encore Marx vont apporter des idées liées à la complexité. C’est au XIXème siècle qu’est vraiment révélée la complexité humaine. La pensée complexe se construit et s’élabore à partir

réalité la traductrice de l'œuvre de Newton, Émilie Du Châtelet, maitresse et collaboratrice de Voltaire. Les Lumières sont un mouvement culturel et philosophique qui émerge dans la seconde moitié du XVIIe siècle sous l'impulsion de philosophes comme Spinoza, Locke, Bayle et Newton, avant de se développer dans toute l'Europe, notamment en France, au XVIIIe siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom de siècle des Lumières. Par leur engagement contre les oppressions religieuses et politiques

place. II. Critique des philosophes des lumières : Vers la fin de l’ancien régimes il y a deux nouvelle tendance intellectuel : le rationalisme et le libéralisme. Le rationalisme se développe a partir du 17eme siècle avec Descartes Hobbes et Spinoza. Le rationalisme critique toutes les institution de l’ancien régime et en premier lieu la tradition et l’autorité. Il n’était pas opposé a un pouvoir royale et a l’absolutisme mais au 18eme siècle la philosophie rationaliste va évoluer et va s’opposer

analyserons la philosophie politique de notre auteur. Dans le troisième, chapitre nous évaluerons la philosophie machiavélienne, surnommée « le machiavélisme », à la lumière de l’agir politique classique, médiéval, moderne et contemporain. Ici, notre principal but sera de détecter les gouvernants dits « machiavéliens », et ceux appelés « machiavéliques », et voir en dernier lieu, s’ il est possible, comme le suggère le recteur de l’Université Saint Augustin de Kinshasa, le professeur Willy M. Okey, dans