Idéologie Don Juan Scene Du Pauvre

l’acculturation 4. Une nation en construction (1810 – 1880) 4.1 L’ère révolutionnaire (1810 – 1829) 4.1.1 L’indépendance (1810 – 1816) : une période charnière 4.1.2 Guerres civiles et début d’expansion territoriale (1816 – 1829) 4.2 La tyrannie de Juan Manuel de Rosas (1829 – 1852) 4.2.1 Le Restaurateur des lois 4.2.2 La campagne de 1833 4.2.3 Rosas et Calfucurá 4.3 Le libéralisme au pouvoir (1852) 4.3.1 Alberdi : gouverner, c’est peupler 4.3.2 Sarmiento : civilisation et barbarie 4.4 L’Argentine

L’exaltation de la monarchie absolue : Isocrate et Xenophon Tyrannie : individu qui arrive au pvr illégalement et s’y maintient avec l’assentiment populaire. Homme capable de refaire l’unité de la nation = Etat Hellénique. ►Isocrate : précurseur de cette idéologie. Le ph. de la monarchie passe de la spéculation à la réalité politique. La Grèce construit son unité en dépassant la cité. = Pan-héllenisme. Or impossible de faire voter tt le monde. Discours sur la paix : pas d’idée précise sur la monarchie. ►Xénophon

collective) b) Le mal moral (innocence de l'homme, culpabilité de l'homme) Marcel J. Mélançon, Albert Camus. Analyse de sa pensée (1976) 10 B. La condition historique I. II. « L'Histoire » Les idéologies 1. 2. 3. 4. La raison faussée La logique historique L'intelligence légitimatrice Une idéologie-type III. Le contenu de l'Histoire 1. 2. 3. 4. Le meurtre La peine de mort Le mensonge La violence a) La violence légitimée b) La dictature c) La guerre Chapitre III. La révolte contre la condition

rejet de la culpabilité collective) b) Le mal moral (innocence de l'homme, culpabilité de l'homme) B. La condition historique I. « L'Histoire » II. Les idéologies 1. La raison faussée 2. La logique historique 3. L'intelligence légitimatrice 4. Une idéologie-type III. Le contenu de l'Histoire 1. Le meurtre 2. La peine de mort 3. Le mensonge 4. La violence a) La violence légitimée

rien ». Socrate dira plus précisément encore que seul celui qui se sait non sage peut désirer atteindre la sagesse. Platon (428-348 av J-C), son illustre disciple est le « père » de la philosophie occidentale à travers ses dialogues qui mettent en scène Socrate. Or, ces dialogues sont souvent aporétiques (sans issue) car la pensée platonicienne suppose une limite à la connaissance humaine. Pour lui l’être humain a perdu sa connaissance originelle à cause de la chute des âmes dans les corps d’où leur

compréhension de la période. Nous avons eu le privilège de pouvoir consulter les archives entreposées dans la section du Parti Communiste d’Alicante. Beaucoup d’exemplaires n’ont pas été transmis à la BNE ou aux Archives de la Démocratie car ils ont été donnés plus tard, au fur et à mesure, par des militants qui les avaient conservés. Malgré la crainte des militants de les laisser sortir du local de peur qu’ils ne s’abîment, nous avons pu disposer d’un droit de consultation libre des documents et de la

mythes sont d’après la définition donnée par les historiens « des histoires sacrées  ; ils relatent un événement qui a eu lieu dans le temps primordial, le temps fabuleux des commencements ». Qu’ils soient populaires ou littéraires ils mettent en scène des êtres surnaturels, surhumains dans des actions imaginaires. Au cœur du récit sont transposés des évènements historiques, réels ou souhaités ou dans lesquels se projettent certains complexes individuels ou des structures sous adjacentes des rapports

s’exprimaient. C’est à cette époque que le genre des Caractères, connut son apogée avec le moraliste Jean De La Bruyère (Les Caractères), le fabuliste Jean De La Fontaine (Les Fables) et le dramaturge Molière (L’école Des Femmes, L’avare, Le Misanthrope, Dom Juan…etc.) Expression de la décadence de la société et des mœurs, ces œuvres ont dû préparer l’aspect révolté des écrits du siècle des Lumières. L’exemple le plus saisissant est celui de Denis Diderot à travers son œuvre Jacques Le Fataliste dont le

remboursement de la dette publique au F.M.I. comme une mesure permettant de reconquérir une autonomie qui aurait été perdue au profit des instances financières internationales. L'Argentine renoue ainsi avec une volonté de trouver une place propre sur la scène internationale, option qui avait été mise à l'écart sous la présidence de Carlos Menem (1989-1999) en faveur d'une alliance économique et stratégique avec les États-Unis. Mais cette place propre s'articule désormais avec une politique d'intégration

................................................... 28 Européanisation du monde .......................................................................................................... 31 Chapitre 7 - D'une Guerre à l'Autre, guerres, crises, idéologies ...........................................32 Les conséquences de la 1ère Guerre Mondiale ........................................................................32 1. A) B) C) D) E) F) 2. Le Traité de Versailles ............................