Il est né le divin enfant

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ministérielle de la musique sacrée dans le service divin. C’est pourquoi la musique sacrée sera d’autant plus sainte qu’elle sera en connexion plus étroite avec l’action liturgique, en donnant à la prière une expression plus agréable, en favorisant l’unanimité ou en rendant les rites sacrés plus solennels. Mais l’Église approuve toutes les formes d’art véritable, si elles sont dotées des qualités requises, et elle les admet pour le culte divin. Le saint Concile, conservant donc les normes et les

mal ou pénible ; il s’agit de le supporter pour le réformer ou le supprimer. C’est ce que fait Dieu. Il n’aime pas le mal ; mais il le permet pour le bien qu’il en retire. Le mal, comme toute réalité, est un instrument merveilleux entre les mains divines. Nous serons émerveillés un jour – là-haut – quand nous verrons ce que la souffrance devient dans les âmes courageuses qui savent l’accepter et la porter par amour. Elle est la plus profonde source de la vraie paix. On ne nous souhaite pas de souffrir

qui s’oppose aux religions instituées. C’est une religion sans temples, autels ni rites. Elle est Sainte, sublime et véritable et les hommes, enfants du même Dieu, se reconnaissent tous pour frères, et la société qui les unit ne se dissout pas même à la mort. Dans un passage de l'Émile ou De l'Éducation il écrit : « Conscience ! Conscience ! Instinct Divin immortelle et céleste voix ! Juge infaillible du bien et du mal » et donne au terme « instinct » le sens de pulsions soit une action qui est provoquée

n'arrive pas que les femmes accouchent tantôt d'une “ vaine apparence ”, tantôt d'un “ fruit réel ”. Toute naissance se situe sur le même plan du réel corporel. Un enfant peut se présenter de multiples manières, il relève toujours du même genre de réalité. Il n'y a pas de “ vrais ” et de “ faux ” enfants, des enfants “ réels ” et des enfants “ apparents ”. On peut le confirmer a contrario : s'il n'y avait pas ces différences, l'art d'accoucher et la maïeutique socratique seraient rigoureusement identiques

avait un enfant celui-ci tuerait son père & épouserait sa mère. Laïos voulut répudier sa femme Jocaste. Un soir après un repas Jocaste enivra Laïos &… . A se naissance Laïos s’empara de ‘enfant lui creva les pieds pour qu’il ne puisse pas marcher & le confia à l’un de ses gardes pour l’abandonner sur la montagne qui domine Thèbes : le Cithéron. . Le garde lui noua les pieds & le suspendit à un arbre afin que les bêtes sauvages ne vinrent pas le dévorer, mais que la divine chance

La religion est en effet un caractère qui se situe hors de portée de l’expérience et de la pensée humaine. Les croyances trouvent tout d’abord origine dans la conscience de l’homme. Religare évoque l’idée d’un « lien » soit entre les hommes et le divin, soit entre les hommes eux-mêmes. Le phénomène religieux semble impliquer de son étymologie un lien social et une dimension collective. La religion a-t-elle un rôle dans la société ? Quelle est sa fonction pour la communauté ? Est-il légitime que la

charge de fournir et servir l'ambroisie à la table des Immortels, il préside aux jeux, aux assemblées, écoute les harangues, y répond soit par lui-même, soit d'après les ordres qu'il a reçus. Il conduit aux Enfers les âmes des morts avec sa baguette divine ou son caducée ; il les ramène quelquefois sur la terre. On ne pouvait mourir avant qu'il eût entièrement rompu les liens qui rattachent l'âme au corps. Dieu de l'éloquence et de l'art de bien dire, il était aussi celui des voyageurs, des marchands

uniforme. L'effet dans le village fut foudroyant. A l'école, les filles se rangèrent sous la cornette de la bonne soeur, les garçons sous le chapeau de l'instituteur, un bel homme qui représentait ; et l'on partit en attaquant un cantique. Les enfants mâles en tête allongeaient leurs deux files entre les deux rangées de voitures dételées, les filles suivaient dans le même ordre ; et tous les habitants ayant cédé le pas aux dames de la ville par considération, elles arrivaient immédiatement après

mythologie elle-même, est une pensée essentiellement religieuse. Dans l’univers mythique, chaque chose, chaque être a une origine et un sens divins. Les éléments sont des sécrétions des dieux, les phénomènes naturels, orages, volcans, tremblements de terre sont dus à des colères divines, les brusques changements de climat sont des signes, des messages divins qu'il faut interpréter. On ne s’étonnera donc pas que dans un tel monde les devins, les oracles et les astrologues, soient des personnages