Il est né le divin enfant

ne se réduit pas à l’union de soi avec un autre soi-même jusque dans la mort, mais révèle justement au contraire une aspiration à un au-delà de soi, de la mort, à l’immortalité et au divin (l’immortalité étant le propre des dieux). L’amour, selon Platon, permet en effet de réaliser (au moins en partie) le désir du divin ou de l’immortalité qui est en nous : l’accouplement entre un homme et une femme rend possible la perpétuation (l’immortalité) de l’espèce ; et l’amour entre deux êtres inspire et féconde

idoles antiques, Et comme elles je veux me faire redorer ;     Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe, De génuflexions, de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un cœur qui m'admire Usurper en riant les hommages divins !     Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main ; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu'à son cœur se frayer un chemin.     Comme un tout jeune oiseau qui tremble

1537, l’humanité des Indiens et leur filiation divine. Pourtant Sepúlveda reprend deux arguments traditionnels. Celui de la révélation primitive d’abord : comment se fait-il que ces peuples lointains n’aient pas été instruits du christianisme, puisqu’il est dit, dans les Évangiles, que les apôtres s’en sont allés convertir toutes les nations ? Ensuite, comment ne pas voir la main de Dieu dans l’extermination des Indiens ? Si c’étaient vraiment ses enfants, permettrait-ils ces massacres ? En réalité

matériels pour amorcer une reconquête partielle des régions acquises aux différentes Églises protestantes et à amorcer une profonde renaissance religieuse. Le nouveau testament Annonciation : l'annonce faite à la Vierge Marie[1] de sa maternité divine par l'archange Gabriel. La nativité : La Nativité rassemble Marie, Joseph, l'Enfant Jésus, les Bergers, les Anges et les Rois Mages le jour de l'Epiphanie. Les représentations de la naissance du Christ. Le baptême du Christ : Les noces

est la transition d’un état d’âme à un autre, établissant les circonstances d’une finalité spirituelle. Ainsi seront traversées les représentations de la féminité et l’imaginaire corporel qu’elle inspire. La féminité est dans La confession d’un enfant du siècle comme dans René est empreinte d’une abstraction à la réalité. D’abord l’esquisse faite de Brigitte, sa psychologie autant que sa physionomie s’ancrent dans un imaginaire surpassant le matériel et s’élevant vers une dimension spirituelle

Marque aussi par ses études sur le droit et les justes manières de gouverner un état.S’oppose à Sir Robert Filmer, plus précisément à « Écritures » et sa thèse qu’il va qualifier d’absurde (celui-ci prônait et justifiait la monarchie absolue de droit divin).Locke prouve que la loi a toujours fait partie des relations entre les hommes, avant que l’état soit créé.Liens humains ont toujours été régis d’une manière ou d’une autre par des lois explicites ou implicites, écrites ou orales pour organiser la

une malédiction divine. La pièce relate l’histoire d’une jeune fille d’origine incestueuse qui s’oppose aux lois de l’état en accordant à son frère Polynice des rites funéraires. Cette transgression de la loi va engendrer quatre scènes d’affrontement entre Antigone et sa sœur Ismène, entre Créon le roi et Antigone, entre Hémon le fils du roi et le roi même et finalement entre Tirésias le devin et Créon. Le texte se situe au moment où Tirésias entre dans le palais guide par un enfant annonçant une

- Bastet : Déesse chatte vénérée à Bubastis dans le delta. - Bès : Génie familier qui éloignait les mauvais esprits et protégeait les femmes en couche. - Geb (ou Gheb) : Divinité personnifiant la terre et appartenant au deuxième couple divin avec Nout. - Hâpy : Personnification de la crue du Nil garante de la fertilité des terres cultivables d’Egypte. - Hathor : Déesse de la beauté, de la joie et de l’amour représenté sous forme de vache ou de femme coiffée de cornes enserrant

chrétienne : « Je te baptise au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ». Quoi de plus clair ? Le corps est baigné – baptiser veut dire baigner –, l’être total est purifié par l’Esprit, il renaît d’une vie nouvelle, justifié, christianisé, adopté pour enfant de Dieu, frère du Christ et temple du Saint-Esprit. C’est ainsi. Il faudrait toutefois ne pas s’enfermer dans l’exacte détermination actuelle, quoique séculaire, de la matière et de la forme du sacrement, pour demeurer attentifs et ouverts à ce qui

d’Hermès (chant V) : « ces belles sandales divines, toutes d’or qui le portent en lieux humides et sur la terre sans limite avec la vitesse du vent. » v.44 – 46 Et la baguette ou verge ( chant V - v.47-49 et chant X - v.277) - Le Moly (chant X p. 168) : plante donnée par Hermès à Ulysse (antidote contre les sortilèges de Circé) - Le voile d’Ino-Leucothée qui sauve Ulysse de la noyade pendant la tempête racontée au chant V (« ce voile divin » p. 93) - L’outre des vents d’Eole