Il ne faut jurer de rien

la rencontrer et se marier avec lui avant son vrai mariage n’est pas moral. Elle ne peut pas aimer librement Nemours sans avoir des remords envers Nemours. Avec la pression social elle se contente de rester avec un homme pour lequel elle ne ressent rien de plus que de la sympathie et du respect. Elle s’empêche de voir l’homme qu’elle aime pour ne pas que ses sentiments envers lui ne se développe encore plus et qu’elle ne puisse plus se retenir face à un des plus grand péchés, la tromperie. Elle en

déshérités et introduit une définition neuve de la pauvreté. »4 − Ivan Illich est un intellectuel curieux, un polyglotte et un « dévoreur d’idées5 ». Nous remarquons qu’il a un intérêt tout naturel pour le savoir. « Un véritable système éducatif n’impose rien à celui qui s’instruit, mais lui permet d’avoir accès à ce dont il a besoin. »6 1 2 Introduction de Illich, I. (1971) Une société sans école. Paris : éd. du Seuil. Illich, I. (1971) p.27. 3 Illich, I. (1971) pp.27-28. 4 Illich, I. (1971) p.14

mon cœur s’y refuse, plus il me prouve la nécessité de m’y soumettre »). La réponse de Mme de Rosemonde l.103 nous montre que celle-ci est tout à fait lucide à propos des sentiments de « sa chère belle » envers son neveu : « Vous ne m’avez rien ou presque rien appris par votre lettre » p.291. La présidente dévoile tous ses sentiments à Madame de Rosemonde (l.114 p.331 = « une tristesse qui m’effraie » + l.124 p. 354 = « ma faute ou mon malheur est de m’être refusée trop longtemps à cette vérité »)

amie - elle m'a dit un secret, et je ne supporte plus de le garder. Je suis très en souci pour elle, je ne sais pas ce que je dois faire pour l'aider. - De quoi s'agit-il ? - Elle m'a dit qu'elle est boulimique, et en même temps elle m'a fait jurer de garder le secret. - Voilà les réponses concernant les risques que court ton amie. Maintenant tu as le choix difficile d'en parler ou de garder le secret. - J'ai envie de garder son amitié et sa confiance, mais si elle meurt de ça... - Tu es

techniques spécifiques (perspective, anamorphose, enregistrement, etc.). Le portrait de Napoléon : 1- Napoléon le petit  Que peut-il ? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien.  Avec cette pleine puissance,  en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France, de l'Europe peut-être.  Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire. Dieu sait pourtant que le Président se démène :  il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète ; il cherche

reprenant le discours de la supplique Excusez-nous puisque sommes transis. L'auteur semble y faire l'unique vraie concession du poème. D'ailleurs le verbe est faible et l'excuse un truisme. Le « nous » devient martyr et c'est peut-être là qu'il faut trouver le vrai sens du vers16 Envers le fils de la vierge Marie. Que le pardon soit accordé au nom du Christ, pompeusement et religieusement périphrasé, ne peut être fortuit et ne peut s'expliquer par la seule facture religieuse du poème. Nous sommes

contraire. L'esprit a besoin d'une méthode pour enseigner le sublime. La nature ne se laisse pas conduire au hasard même dans un récit sublime et pathétique. Il ne faut pas abandonner le sublime à la nature téméraire et ignorante. 2. 3 Démosthène dit que ce qui peut nous arriver de plus impirtant dans la vie est d'être heureux. Mais il faut aussi savoir se conduire avec prudence. L'art prend soin de conduire la nature dans les discours. 3.1 Les phrases alambiquées troublent le discours plus qu'elles

animale et brève." Cependant cette méfiance constante d'autrui et également présente dans une moindre mesure dans nos civilisations (recherche de sécurité pour protéger ses biens ou de tout temps les rois entre eux). -dans une telle guerre rien n'est injuste: rien bon ou mauvais, juste ou injuste car pas de puissance commune ni de loi. force et tromperies = vertus L'homme est donc misérable il peut sortir de cet état grâce à ses passions ou sa raison. -les passions qui poussent les humains à la paix

vent hélas je l’entendrai encore nègre nègre nègre depuis le fond du ciel immémorial AIMÉ CÉSAIRE, Corps perdu. (…) lorsque tout est achevé, on répond avec l’ensemble de sa vie aux questions que le monde vous a posées. Les questions auxquelles il faut répondre sont : Qui es-tu ? Qu’as-tu fait ?… A qui es-tu resté fidèle ? SÁNDOR MÁRAI, Les Braises. I UNE LOINTAINE ODEUR DE CHIENNE Extrait de la publication Moi, Josephine Linc. Steelson, négresse depuis presque cent ans, j’ai ouvert

Monsieur Ibrahim et les fleurs du CoranÉric-Emmanuel Schmitt Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran Albin Michel 2001Pour Bruno Abraham-Kremer.À onze ans, j’ai cassé mon cochon et je suis allé voir les putes. Mon cochon, c’était une tirelire en porcelaine vernie, couleur de vomi, avec une fente qui permettait à la pièce d’entrer mais pas de sortir. Mon père l’avait choisie, cette tirelire à sens unique, parce qu’elle correspondait à sa conception de la vie : l’argent est fait pour être gardé, pas