Il Y A D Ailleurs Un Autre Principe Que Hobbes

Sujet : La liberté consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît ?   Il est fréquent de penser que la liberté consiste essentiellement à faire ce qui nous plaît. C’est ainsi que l’on pense le temps libre, celui des loisirs, de la détente. Ne rien faire peut même passer pour l’essentiel. Et pourtant comment admettre que c’est dans le simple fait que la vie s’écoule paisiblement que résiderait l’essentiel de la liberté ? N’est-on pas d’autant plus libre que l’on fait volontairement ce qui déplaît 

JUSTICE) A L'IMAGE DE DEUX GRANDS PROCES POLITIQUES Thèse présentée à la Faculté des sciences économiques et sociales de l'Université de Neuchâtel Pour l'obtention du grade de docteur ès sciences sociales Par Milena Mateva Acceptée sur proposition du jury: Prof. Franz Schultheis, Département de sociologie de L'Université de Genève, directeur de thèse Prof. Pierre-Henri Bolle, Faculté de droit de l'Université de Neuchâtel, rapporteur Prof. Jacques Commaille, Ecole normale supérieure à Paris

Thomas HOBBES (1651) Léviathan Traité de la matière, de la forme et du pouvoir de la république ecclésiastique et civile Première partie : DE L’HOMME Chapitres I à XVI disponibles. Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 23 novembre 2002. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: folliot.phil@wanadoo.fr Site web: http://perso

Lorsque l’on parle de science politique, cela implique 2 choses, qu’il s’agit d’une science et qu’elle a un contenu. La science politique se rattache aux sciences sociales (science qui étudie la réalité humaine) mais qui dit science dit neutralité elle ne se place pas d’un point de vue politique, Max Weber a défini cette neutralité comme une neutralité axiologique qui doit être nécessairement conservé à l’esprit. Ces sciences sociales sont souvent opposées aux sciences dures qui reflètent une réalité

droit mais à quoi doit être. Le mot droit est un idéal du droit, cad ce qu’il doit être, ce à quoi il est censé servir, sa finalité. Il y a des mauvaises lois, des gens se servent du droit pour commettre des crimes. Ex : statut des juifs avec le maréchal Pétain. Le droit est un rabâchage de formules codifiées. Ce qui permet de distinguer ce qui est du droit de ce qui ne l’est pas est un type de formules. Ex : Pour qu’un mariage soit établi, il faut respecter des règles de forme : on va à la mairie

contentement extrême qui peut se fonder sur différents éléments. Le plaisir tout d’abord, même s’il existe des états de plaisir où l’on est pas heureux, voire même où l’on reste malheureux. Il serait donc peut-être réducteur de réduire l’idée de bonheur à une simple accumulation de plaisirs qui restent plus ou moins éphémères. Le bonheur suppose surtout un sentiment plus profond et plus durable d’être en accord avec soi, avec le monde, d’avoir réussi ce que nous souhaitons faire. Disons d’une manière

Philosophie A-t-on rendu justice quand on a recours à son intime conviction ? A défaut de pouvoir dire sans erreur ce qui est juste, on peut, du moins semble-t-il dire ce qu'est l'injustice, ne serait-ce que parce qu'elle est ressentie par chacun. Si, comme dirait Pascal, « l'homme est incapable de trouver le Juste », il y a à coup sûr de l'injustice, et cela notre intuition ne peut le démentir. Chacun a ressentit l'injustice, à découvert l'injustice de façon précoce. Il n'est pas exagéré

natures du territoire ou du peuple en question dont les qualités ne conviennent que rarement à l’établissement du meilleur régime chez Platon, alors que pour Machiavel « c’est du mode de vie réel des hommes qu’on doit partir » il faut donc abaisser l’objectif final. La conséquence de cette proposition pour Léo Strauss est la ré-interprétation du rôle de la moralité dans la vie politique : la vie politique à proprement parler n’est pas dépendante de la moralité puisque la moralité n’est pas possible

ensemble de notions qui résume le politique. Dans cet ensemble on retrouve deux catégories de notions, une première catégorie de notions comporte des institutions, des principes invariables. L’état est un concept invariable quant à son existence car autrement, il n’y aurait ni ordre, ni justice mais variable quant à sa constitution. Le principe de la séparation des pouvoirs est un fondement démocratique pour améliorer le fonctionnement des institutions. Chapitre 1er : Notion d’Etat L’Etat est une

la simplification du droit GUILLAUME DU PUY-MONTBRUN ET RAPHAËL LEONETTI Doctorant et Allocataire-Moniteur à l’Université Paris I – Panthéon-Sorbonne ’ « accès au droit », auquel se trouve consacré ce premier numéro de Jurisdoctoria, trouve dans l’actuelle entreprise de « simplification du droit » un remarquable écho. On entendra par simplification du droit l’expression qui renvoie à diverses actions des pouvoirs publics sur le droit, dans le but de lui ôter certaines complications inutiles