Il Y A Dans Les Hommes Plus De Choses à Admirer Que De Choses à Mépriser

LA PESTE – ALBERT CAMUS - La fin de la Peste. Après neuf mois, l'épidémie recule et est vaincue. Les portes d'Oran s'ouvrent. Rieux monte à la nuit sur une terrasse qui surplombe la ville d'un point de vue privilégiée, sur Oran libéré. Le narrateur est bien le docteur Rieux. Voici les centres d'intérêts de cet extrait: I) « Une ville joyeuse, libéré » II) « La méditation solitaire de Rieux » (La décision de témoigner) III) « Le dénouement d'un récit allégorique » Question peut-être

maladie II/ l’apogée IV/ la décrue V/ la disparition Resituer les personnages importants évoqués dans ce passage : • Rieux, médecin luttant contre la peste, parmi les premiers à avoir constaté la maladie • Tarrou, personnage au grand cœur qui aide à la lutte mais succombe dans les dernières pages au roman à la maladie • Cottard, personnage profitant de la peste pour s’enrichir et faire disparaitre un mystérieux crime derrière les préoccupations engendrées par la maladie. Lire le passage

Texte bac 2 : La Peste : Albert Camus, 1947 : Intro : Camus, dans ce roman raconte comment les hommes ont réagis à une épidémie de peste qui c’est déroulé à Oran. C’est le médecin Rieux qui fait face à cette épidémie et c’est à travers lui qu’in va découvrir les différents comportements humains vis-à-vis de ce fléau. Le témoignage de Rieux s’achève quand la peste aura disparu. Lecture Le roman se finit par une note joyeuse. Même si sa se termine bien, il faudra toujours se battre. Camus pose

que l’existence a de pas « si bon » (Maupassant). Ce peut être la mort d’un être cher : la mère de « l’enfant » « est morte » ; Kyo a été « arraché » à son père qui constate amèrement qu’il ne faut qu’« un seul jour pour […] tuer » un homme ou que l’homme « n’est plus bon qu’à mourir » ; Rieux, le héros de Camus, pense à « ceux et celles qu’il avait aimés et perdus » dans Oran ravagée par la peste, « l’injustice et la violence » qui peuvent renaître à tout www.annabac.com © H A T I E R 2009 moment

la passation de richesses d’une génération à l’autre ne résulte absolument pas de la loi naturelle mais uniquement de la bonne volonté des législateurs, nous n’aurions aucune légitimité à nous plaindre si les biens possédés par les pères étaient restitués à la nation à leur mort Tout le titre par lequel on possède un bien n’est pas un titre de nature, mais d’un établissement humain. MAIS, il n’est pas permis à un autre de ravir nos biens car Dieu a permis aux sociétés d’établir des lois pour les

mais d'après les carnets de Tarrou, le médecin a 35 ans, une taille moyenne, épaules fortes, un visage presque rectangulaire, des yeux sombres et droits, des mâchoires saillantes. Surtout décrit par son activité de médecin tout au long du roman et c'est la première fois qu'il va trouver son métier de médecin aussi difficile : « Jamais Rieux n'avait trouvé son métier aussi lourd. Jusqu'à là, les malades lui facilitaient la tâche, ils se donnaient à lui. Pour la première fois, le docteur les sentait

On vient d’apprendre que Rieux était le narrateur. La scène se situe en ville (similaire à la première page du roman), avec une situation particulière du narrateur, parce qu’il est en recul par rapport à la foule. Il s’est mis en hauteur donc il domine la situation et c’est pour cela qu’il peut réfléchir. Il y a une très nette opposition entre le bruit de la foule et le silence du narrateur. D’une part la vision d’une foule en liesse et d’autre part la solitude du personnage. Celle de Rieux tout

que l’exis- tence a de pas « si bon » (Maupassant). Ce peut être la mort d’un être cher : la mère de «l’enfant» «est morte»; Kyo a été «arraché» à son père qui constate amèrement qu’il ne faut qu’« un seul jour pour [...] tuer » un homme ou que l’homme « n’est plus bon qu’à mourir » ; Rieux, le héros de Camus, pense à « ceux et celles qu’il avait aimés et perdus » dans Oran ravagée par la peste, « l’injustice et la violence » qui peuvent renaître à tout www.annabac.com © H A T I E R 2009 264

développement de la maladie II/ l’apogée IV/ la décrue V/ la disparition Resituer les personnages importants évoqués dans ce passage : Rieux, médecin luttant contre la peste, parmi les premiers à avoir constaté la maladie Tarrou, personnage au grand cœur qui aide à la lutte mais succombe dans les dernières pages au roman à la maladie Cottard, personnage profitant de la peste pour s’enrichir et faire disparaitre un mystérieux crime derrière les préoccupations engendrées par la maladie. Lire le passage Annoncer

(1913-1960) « Il y avait un mystère chez cet homme, et un mystère qu’il voulait éclairer » : cette phrase est l’une de celles qui devaient entrer dans le texte du livre qu’Albert Camus a laissé inachevé quand sa vie a été interrompue par un accident de voiture. Le manuscrit de cet ouvrage, intitulé Le Premier Homme, a été retrouvé dans sa sacoche, le 4 janvier 1960. Etabli par sa veuve, Francine Camus, publié par sa fille, Catherine Camus, et par les éditions Gallimard en 1994, ce texte contient aussi