Il Y Avait Au Couvent Une Vieille Fille

lèvres des siennes. L a jeune femme détourne un peu le visage. Ce n’est pas vraiment un refus, plutôt de la crainte : elle regarde vers la porte de l’autre salon d’où pourrait venir le danger. Aucun problème pour donner un nom à cette gracieuse jeune fille, c’est sûrement Cécile Volanges. Pour l’homme, selon les préférences, et selon l’issue qu’on voudra bien donner à cette scène, ce pourrait être le chevalier Danceny, Gercourt ou le vicomte de Valmont. - Le titre. Sur son manuscrit, Laclos a

Georges Duroy était un sous-officier durant la guerre d'Afrique. Il décide de revenir à Paris, une fois celle-ci terminée. Il n'a malheureusement qu'un travail assez mal payé et doit se passer de dîner les fins de mois. Il rencontre, dans la rue, son vieil ami Forestier qui lui propose de devenir journaliste avec lui à "La Vie Française". Duroy acceptant, il va vite devenir un éminent journaliste mais non avec facilités... Il va avoir une maîtresse, avec laquelle il aura deux ou trois disputes. Lorsque

exemple quand il tombe dans lexcs en parodiant le tragique (III, 5). Quant Agns, sa navet est tellement exagre quelle fait sourire, notamment quand elle fait le rcit de sa rencontre avec Horace, ou quelle prend au sens premier le discours de la vieille entremetteuse. Comique de situation Le comique de situation est la base mme de lintrigue de la pice, avec les confidences dHorace sur ses projets, dues au quiproquo sur son double nom. Arnolphe tente en vain de le combattre chaque prcaution se retourne

acceptent de garder le silence : sans éducation, elles n’ont pas d’autre choix. Parfois même elles sont satisfaites de leur condition car, à l’époque, c’est le mariage ou le couvent. Les hommes, eux, pensent qu’il est bénéfique d’épouser de jeunes filles naïves : ils auront plus facilement de l’autorité sur elles. Ainsi les couvents se chargent de les rendre les plus innocentes possible. Au moment de leur mariage, elles savent le plus souvent à peine lire et écrire ; de la sorte elles peuvent être soumises

LETTRE II LA MARQUISE DE MERTEUIL AU VICOMTE DE VALMONT AU CHATEAU DE ... Revenez, mon cher Vicomte, revenez: que faites-vous, que pouvez-vous faire chez une vieille tante dont tous les biens vous sont substitués? Partez sur-le- champ; j'ai besoin de vous. Il m'est venu une excellente idée, et je veux bien vous en confier l'exécution. Ce peu de mots devrait suffire; et, trop honoré de mon choix, vous devriez venir, avec empressement, prendre mes ordres à genoux: mais vous abusez de mes bontés

des deux jeunes. Cela le bouleverse profondément. Plus tard, Oronte, le père d’Horace, veut unir son fils à la fille d’Enrique, venu d’Amérique. Coup de théâtre : On apprend alors qu’Agnès est la fille d’une union cachée avec une paysanne. Les deux jeunes amants s’unissent donc, au grand désarroi d’Arnolphe. En premier lieu, le fait qu’Arnolphe fasse éduquer Agnès dans un couvent la coupa de toutes réalités extérieures et à une foule de sentiments qu’on peut éprouver quand on rencontre quelqu’un

Volanges, qui va sortir du couvent pour être mariée par sa mère, Mme de Volanges, à un certain Gercourt. Or Mme de Merteuil, parente de Mme de Volanges, apprenant ce projet de mariage, décide de se venger de Gercourt, ancien amant qui l’a quittée pour une autre femme. Pour cela, elle propose à son ami et ancien amant, le Vicomte de Valmont, de pervertir la jeune Cécile afin de ruiner le mariage de Gercourt. Mais Valmont refuse l’offre, car il est retenu chez sa vieille tante Mme de Rosemonde, par

échantillon de tous les types de femmes dans la haute société de son temps. Ainsi peut-on les classer : par âge : jeune fille (Cécile, 15 ans), jeune femme (Tourvel, 22 ans), femme jeune (Merteuil, moins de 30 ans), femme mûre (Mme de Volanges), vieille femme (Mme de Rosemonde, 80 ans) ; par situation sociale : fille à marier, femme mariée, mère, veuves (jeune et vieille) ; par « caractère » : la tête (Merteuil, femme de calcul), le cœur (Tourvel, femme sensible), le corps (Cécile

s’établir entre les personnages bien plus dirigés par leurs sentiments que par leurs raisons. Cependant, dans ce microcosme, un personnage semble se détacher de ces différents rédacteurs, la tante du libertin Valmont, madame de Rosemonde. Cette vieille femme semble en effet à part de l’ensemble des personnages qui composent l’œuvre, étant plutôt spectateur que acteur mais apparaissant comme ayant une place assez privilégiée face aux événements qui se déroule. On peut alors se demander en quoi est-elle

pour un vol de trente sols, qu'elle n'avait pas commis » (l.38) et est engagée dans une autre ferme comme fille de basse-cour. Ses patrons l’apprécient. Elle tombe amoureuse de Théodore, « un jeune homme d’apparence cossue » (l.43) à dix-huit ans (cf. « (elle avait alors dix-huit ans) », l.40) mais il se marie avec une autre : « Pour se garantir de la conscription, Théodore avait épousé une vieille femme très riche » (l.73-74). Elle part alors pour Pont-l’Évêque (l.76-77). La même année (« au bout du