Il était Un Fois

l’heure. Et qui lui a sûrement coûté pas loin de trois briques. Il est plein aux as à présent. Ça le change. Avant, quand il était à la maison, c’était rien qu’un vrai écrivain. Il a écrit des nouvelles, ce bouquin terrible La vie cachée d’un poisson rouge, au cas où vous sauriez pas. L’histoire la meilleure, justement, c’était La vie cachée d’un poisson rouge, il était question d’un petit gosse qui voulait laisser personne regarder son poisson rouge parce qu’il l’avait acheté tout seul, avec ses

n’était même pas dans son lit. En effet, il était tête en bas sur la banquette arrière d’une voiture de police. Il se dit un moment qu’il n’était que dans un mauvais rêve, mais des douleurs plus ou moins intenses qu’il ressentait partout sur son corps le ramenèrent à la réalité, ainsi qu’un étrange mal de tête. Il parvint non sans mal à se dégager de la voiture renversée, en luttant contre les morceaux de verre et autres débris qui jonchaient le sol. Une fois debout, il s’appuya contre cette voiture

flottant au vent, qui était en fait un grand foulard enroulé autour du cou d'une femme assise dans le sable, accompagnée sûrement de sa servante, elle avait des cheveux de feu, qui tombaient en cascade sur sa robe blanche, on aurait dit une flamme dansante sur l'écume. Quand elle me vit, elle se leva brusquement et s'en alla d'un pas rapide, comme si elle se sentait menacée. Cette vision ne dura que trop peu à mon goût, et trop de question tournaient dans ma tête, qui était-elle, pourquoi s'était-elle

J'ai souffert,alors j'avais décidé de plus m'attacher. J'avais tout prévu,t'en fait pas cette fois c'étais à moi de jouer. J'te promet,j'étais heureuse,à nouveau. Dès que je commençait à m'attacher ,je partait. Je répondait plus aux sms,et ça marchait.Je me croyais invulnérable,intouchable. Je pensais que plus jamais je tomberais amoureuse. C'étais plus moi le jouet,moi je me contentait juste de prendre ce qui venait. Je faisait n'importe quoi,mais je ne souffrait pas. Et puis t'es arrivé,et t'as

câbles glissant sur deux rouleaux aux deux bouts de l’embarcation. Et le bateau, dérivant sous le vent et le courant, tire avec lui cet appareil qui ravage et dévaste le sol de la mer. Javel avait à bord son frère cadet, quatre hommes et un mousse. Il était sorti de Boulogne par un beau temps clair pour jeter le chalut. Or, bientôt le vent s’éleva… » Consignes à respecter : - respecter les caractéristiques d’un récit bref (peu de personnages, schéma narratif, dénouement rapide…) -adopter les registres

totem n’était pas qu’un simple volatile orgueilleux. Il est parti le premier pour montrer que les Diop était courageux mais il en a perdu sa vie.VIII.A. ne pouvait pas tuer M. parce que on avait l'impression qu'il tuait 2 fois en effet la première fois c'est le fait qu'il est parti se battre parce que A. s'était moqué du totem de M. et la 2e fois c'est quand il devait l'achever ça serait une 2e fois qu'il le tuerait.A l'impression d'être plusieurs dans son corps et il essaie de prendre le dessus.A ne

l’embrasser. Elle ne souhaitait que ça. Arrivés chez elle, elle lui proposa de passer la nuit avec lui. Il était fatigué, de l’avoir veillé, et demanda à faire une sieste. Elle lui montra un petit lit une place. Il enleva sa chemise, laissant paraitre ses muscles. Elle rougit, et partit ranger son petit chez soi, et prendre une douche. Une fois toutes ses choses faites, elle retourna le voir, il était magnifique. Semblable à un ange. Ses cheveux bouclés, blonds, sa bouche charnue, mais pleine de charme

Barbe bleueIl était une fois  un homme qui avait de belles maisons à la ville et à la Campagne, de la vaisselle d'or et d'argent, des meubles en broderie, et des carrosses tout dorés ; mais par malheur cet homme avait la Barbe bleue : cela le rendait si laid et si terrible, qu'il n'était ni femme ni fille qui ne s'enfuît de devant lui. Une de ses Voisines, Dame de qualité, avait deux filles parfaitement belles. Il lui en demanda une en Mariage, et lui laissa le choix de celle

nouveau, ce qui renforce son irrésponsabilité. Au point du meurtre mon client était étrange à lui même, en n´ayant plus conscience de ses propres gestes, ce qui lui dominaient c´étaient ces besoins physiques et ses sentiments. Vous, les jurés, vous rendez sa conscience coupable d´un crime, dont le premier responsable est le soleil, qui lui a aveuglé son visage. Durant le procès une question est posée plusieurs fois et c´est une question très important à repondre pour soulager la déclaration

engagé à l'armée et qui avait participé à de nombreuses guerres. Mon grand frère le percevait comme un héros et avait toujours désiré lui ressembler plus grand. Pascal était courageux, brave, insouciant mais surtout sûr de lui. Il m'avait toujours soutenu et me disait toujours de ne jamais abandonner ce que j'entretenais. Il était très déterminé et très engagé, il nous contait très souvent ses combats de guerre à son retour des pays du nord. Cela me déplaisait très fortement, je n'aimais pas aborder