Illusion Comique Baroque

Sonnets pour Hélène (1578) -Du Bellay, Les regrets (1558) | XVIIe | Le Baroque | Les écrivains Baroques ont un goût pour l'illusion, les apparences, les jeux de miroir qui expriment toute la complexité du monde. Ils refusent la condition du genre, en mêlant le sublime et le grotesque, revendiquent la liberté et l'imagination, et expriment l'intensité des sensations éprouvées au contact de la nature. | -illusion de l'instabilité, les métamorphoses du monde et des êtres -les déguisements

Situer le passage - 1ère moitié XVII° siècle: époque baroque (Corneille, Théophile de Viao, Honoré d’Urfé, Tristan l’Hermite) - sonnet écrit dans un cabaret à la Belle-Ile - méditation sur la précarité des rêves A. ambigüité espérance/désespoir - “Du jour au lendemain”/”premier état”: alternance espoir désespoir 1. Désespoir - Attitude: “assis” v. 1, “accoudé” v. 2, “les yeux fixés” v. 3 à résignation, tristesse, immobilité - Atmosphère: “cheminée” v. 2 : saison morte, froid; “pipe”

sc5. 4ème importun de la soirée (1 M. Dimanche/2.Dom Louis/ 3. Done Elvire/ 4 La Statue) Pour replacer dans le contexte : Diversité ou Cohérence ? Au niveau de l’Acte : Noter dans cet ordre d’apparition la gradation du léger au surnaturel, du comique de mœurs au drame sérieux, et la déclinaison de 4 thématiques existentielles : Argent/ Honneur/ Amour/ Religion, unifiées par le cadre général du souper de Dom Juan, toujours reporté jusqu’à la clôture de l’acte. La symbolique du Souper n’est pas

Introduction L’illusion comique a été écrite en 1635 par Pierre Corneille, écrivain du XVIIème siècle. Cette tragi-comédie connaît un grand succès à cette époque mais ne respecte guère les règles du théâtre classique. Les cinq actes ont une longueur, des tons et des sujets très divers et le premier s’apparente plutôt à un prologue. En quoi cette scène n’est pas une scène d’exposition classique ? Nous verrons tout d’abord comment est présentée l’intrigue de la pièce puis de quelle façon est

illusionL’Illusion comique Acte II scène 2 Introduction : ( quelques mots sur l’auteur, la pièce et le mouvement baroque –voir Acte I scène 1) 1/ Situer la scène : Deux personnages entrent en scène : Matamore et Clindor. Les discours de Pridamant et Alcandre ont préparé leur venue au premier acte. Une seconde scène s’ouvre sur le théâtre, et une autre représentation débute dont Alcandre est le metteur en scène et Pridamant le spectateur privilégié : enfin celui-ci revoit son fils, mais sous la

Le Baroque Principes du mouvement -modernité : refuse la tradition humaniste (étude et imitation) des anciens auteurs. Valorise l’originalité. -liberté : préfère l’improvisation. C’est un désordre plus exaltant qu’un ordre qu’il trouve froid. -virtuosité : utilise les hyperboles, métaphores, antithèses. + la figure est recherchée, + elle frappe l’esprit Thèmes principaux -univers en mouvement : transformations incessantes modifient les apparences. Facination pour la puissance du devenir. -solitude :

INTRODUCTION « Le premier acte n’est qu’un prologue, les trois suivants sont une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie » : telle est la manière dont Corneille définit son Illusion Comique, qu’il qualifiera aussi d’ « étrange monstre ». Puisque le monstre est d’ordinaire celui qui, hors norme, est montré du doigt par autrui, pourquoi qualifier ainsi cette pièce en 5 actes racontant l’histoire d’un père (Pridamant) à la recherche de son fils

Dissertation : Le Baroque A la charnière des XVIe et XVIIe siècles naît le baroque en Italie à Rome, Mantoue, Venise et Florence et se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe. Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture et musique . Il se caractérise par l’exagération du mouvement, la surcharge décorative, les effets dramatiques, la tension, l’abondance et de la grandeur et parfois pompeuse. Le style baroque débute aux alentours de 1580.

L’illusion comique (1635) Résumé : L’illusion comique est une comédie de Corneille qui a été rédigée au début de sa carrière. Cette pièce est à la rencontre de plusieurs genres théâtraux puisque Corneille l’annonce lui-même dans le prologue : «Le premier acte n’est qu’un prologue, les trois suivants font une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie». En réalité, cette pièce relève plus de la tragi-comédie et elle pose la question fondamentale

L'illusion comique est définie par Corneille lui-même d'étrange monstre. Écrite en 1635, cette pièce se joue des codes du théâtre classique mêlant tragédie et comédie. Écrite en Alexandrins, cette pièce prend la forme d'une tragédie, pourtant les cinq actes de la pièces forment un ensemble hétérogène où la longueur, le ton et les sujets varient d'un acte à l'autre. Le premier acte joue le rôle de prologue et la scène étudiée ici, la première, est une scène d'exposition.Problématique : Nous nous