Illusion Du Masque Au Théâtre

autres écrivains par Stéphane Mallarmé, Paul Valéry, Jules Renard, Paul Claudel, Edmond de Goncourt, Tristan Bernard, Anatole France... Pour sa part, Schwob leur rend hommage en dédiant à un grand nombre d'entre eux les textes de son recueil du Roi au masque d'or[2] ; l'œuvre de Cœur Double[3] est dédiée à Robert Louis Stevenson, l'auteur de L'Ile au trésor, Le cas étrange du Dr. Jekill et de Mr. Hyde. Nous devons probablement à Stevenson les recueils de nouvelles, qu'elles soient histoires ou biographies

enveloppes et le fichier des éditeurs parisiens. Après quelques années consacrées au théâtre (il joua Sartre, mit en scène Beckett, Anouilh, Ionesco) et une brève carrière de critique littéraire pour enfants à FR3 Côte-d'Azur, il finit par trouver un éditeur qui s'intéressa à lui, en 1981, après treize ans de traversée du désert. On comprend donc son agacement lorsqu'on lui attribue une réussite rapide. Au théâtre, il a reçu le Molière 97 du meilleur spectacle musical pour son adaptation du Passe

| Topaze | Marcel Pagnol | | Topaze Marcel Pagnol (1895 - 1974) Références du livre Titre : Topaze Auteur : Marcel Pagnol Écrit en 1928 Edition : Le livre de poche, 1969 Pièce de théâtre en 4 actes Résumé du livre Albert Topaze, professeur à la pension Muche, est un homme intègre, consciencieux, dévoué et naïf. Il enseigne à ses élèves des valeurs morales qui sont, pour lui, les bases de la société. Il est amoureux de la sournoise Ernestine Muche, la

mais observe « au centre du carreau médian, l'image réfléchie de la voiture bleue » et sa vision est gênée et déformée par « un défaut du verre » ou « les irrégularités de la vitre » et par son angle de vue (« La silhouette de Franck, plus massive, masque entièrement celle de A… »). Dans tous ces cas, la vision est difficile et a nécessité de la part de l’homme un effort, voire une transgression : Nemours a progressé de nuit dans le domaine pour trouver le pavillon (on peut penser à certains épisodes

nouveau mouvement. Ce dernier s’y consacre après avoir fait de brillantes études, il trouve d’abord sa voie dans le théâtre. Puis commence a écrire des drames romantiques inspiré de sa liaison tourmentée et passionnée avec George Sand (1833-1835) ce qui donne a son génie une forme de maturité douloureuse. En effet les jeunes romantiques redécouvrent avec un plaisir certain, le théâtre de Shakespeare qui joue sur le modernisme et les démesures des pièces (1564-1616). En 1827, Hugo donne avec son

accord, il s’installe pour deux ans dans un petit appartement de la rue Lesdiguières (quartier de l’Arsenal), subventionné à hauteur de 1 500 francs annuels (entre 30 000 et 40 000 francs d’aujourd’hui). Comme d’autres à cette époque, c’est dans le théâtre et à propos de la « Révolution » anglaise du xviie siècle que Balzac fait sa première tentative : son Cromwell de 1820, jugé unanimement désastreux, le détourne vers la « littérature marchande », mais la scène dramatique restera pour toujours un modèle

lyrisme - la fuite du temps, la mélancolie - exaltation du sentiment amoureux - mythologie - l’immortalité de la poésie -l’instabilité -l’apparence -l’illusion -les motifs de l’eau, la fumée, le miroir, les bulles, les déguisements, les masques - le mouvement - les métamorphoses du monde et des êtres -séparation des genres -respect des règles: les trois unités, ainsi que vraisemblance, et bienséances) ; équilibre, mesure, ordre; simplicité, naturel dans le style - la peinture des

(vers 1374-1400) de Jean Froissart. Une vocation satirique. Si le Roman de Renart recourt au masque des animaux, Antoine de La Sale, dans Le Petit Jehan de Saintré (1456) constitue une parodie des romans de chevalerie et de l’amour courtois. © HATIER 2009 2 Les métamorphoses du roman : XVIIe-XVIIIe siècles Un espace de liberté. Si le XVIIe siècle, marqué par le classicisme, voit le genre du théâtre, et en particulier celui de la tragédie, s’épanouir, le roman, déconsidéré parce que frivole

d’esprit’), est bien décidé à prouver que s’il manque de génie, il peut en revanche se montrer ennuyeux. Et comme il y réussit !» Il réserve néanmoins son admiration à Balzac : «La différence qu’il y a entre un livre tel que L’Assomoir de M. Zola et Illusions perdues de Balzac est celle qui différencie un réalisme sans imagination d’une réalité pleine de fantaisie.» Le réalisme signe l’arrêt de mort de l’Art : en voulant montrer de plus en plus la réalité à travers l’Art, celui-ci ne devient que le

Promettez-moi de ne jamais vous fier aux apparences. Le visage que présente chaque personne et surtout chaque femme dans Paris n’est autre qu’un masque. Ce masque s’avère toujours trompeur, mais avant que vous ne vous en aperceviez, il est déjà trop tard et vous êtes déjà pris au piège. Vous aurez beau vous en débattre, la vérité est que vous serez tombé amoureux de ce masque. Croyez-en mes nombreuses expériences! Identifiez chacune de ces femmes que vous rencontrerez à une sirène qui vous capture par leur beauté