Illusion Ou Savoir Qui Rend Heureux

« L’homme qui voulait être heureux » Laurent GOUNELLE Personnage : Narrateur : Julian, Origine Occidentale, 1m90, cheveux blonds, enseignant, loue un bungalow en bordure pdt 1 mois de plage, voisin avec un couple d’Hollandais, habitude de se baigner tous les soirs. Maitre Samtyang : Âgé de 70 à 90 ans, malformation sur l’oreille droite. Couple d’Hollandais : Hans (cheveux gris foncé, visage peu expressif, lèvres mince) et Claudia(femme douce, gentille, 40taine, visage rond, cheveux blond ondulés)

de l’instinct de destruction seront abordés et vont peu à peu développer la théorie psychanalytique de Freud. Enfin, il nous apprend que pour échapper à l’agressivité, la civilisation a trouvé un moyen : retourner cette agressivité contre le Moi, à savoir lui faire éprouver un sentiment de culpabilité, provenant du complexe d’Œdipe. Ce livre est divisé en 8 parties et chaque paragraphe feront ci-dessous l’objet d’un résumé de chacune de ces parties. Le premier raisonnement dont nous fait part Sigmund

professeurs «de gauche», syndicats de parents d'élèves s'affrontent. Émile Mosca heurte les uns, charme les autres, dupe tout le monde ; une seule chose lui importe : monter cette pièce qui, avec la confiance et l'amitié de ses jeunes comédiens, lui rend une nouvelle jeunesse, une nouvelle vie. Tous croient bien fort au projet et il est même question d’une tournée. Mais trop d'intérêts antagonistes, trop de passions mesquines font échouer le projet : le soir de la première, la pièce est boycottée :

à l’intelligence humaine et à son développement. Dans l’avenir d’une illusion, Freud se saisit au fait religieux. Il l’interprète comme une sorte de refoulement hallucinatoire, un trésor de représentations nées du besoin de rendre supportable le désaide humain (= la solitude humaine devant les surpuissances de la nature qu’il faut dépasser). L’édification d’un créateur (= religion) n’est pas une erreur mais une illusion. L’illusion religieuse révèle d’un investissement psychologique, c-à-d

il faut qu’ils vivent et qu’ils meurent ensemble, sans ça, ils s’aiment pas. » Tout comme les noms des personnages, cette affirmation évoque le monde de l’enfance et de la naïveté (donc de l’illusion) selon lequel les amoureux s’aiment et vivent heureux jusqu’à la fin des temps. En somme, l’illusion tient une place déterminante dans cet extrait, surtout chez Ciboulette. Cependant, Dubé laisse place à une grande lucidité, notamment à travers le personnage de Tarzan. Tout d’abord, on comprend dès le

exemple le bouddhisme, alors s’agit-il d’un rite collectif unissant des croyances et des pratiques ? Au-delà de l’aspect sociologique, nous sommes en présence d’une affirmation duale : sacré-profane, affirmation qui procède d’autres voies que le seul savoir rationnel. Par exemple la foi, l’expérience mystique, l’extase, l’accès direct – sans médiation - à Dieu. C’est l’institution d’une transcendance : ce qui est au-delà de l’expérience sensible, une sorte d’acte ou d’engagement gratuit. L’étymologie

on aime, plus on souffre. 37 - Peut être que c'est le destin, ou encore le hasard. Mais au fond, je crois que c'était juste écrit. 38 - L'amitié : Donner sans rien espérer, se réjouir devant la gaieté, ne penser qu'à épauler, savoir garder les secrets & surtout savoir écouter. 39 - J'ai pas besoin de toi , Pas besoin de tes bras , Ton image reflete ce que j'aime pas ... 40 - L'actualité ça n'existe pas, ça ne veut rien dire. L'actualité, ce sont des gens. Des milliards de gens qui rient,

objet du désir ». 3 INTRODUCTION : Le désir est une notion qui traverse toute notre existence et traverse toute la philosophie qui pense cette existence. Mais ce désir traverse mystérieusement notre existence, puisqu’il nous constitue sans bien savoir ce qu’il est et où il nous emmène. D’où une grande variété de noms pour désigner ce désir : « Eros » chez les grecs, « concupiscence » chez les chrétiens, « appétit » chez un Descartes ou un Spinoza par exemple, « tendance ou pulsion, comme la libido

juste milieu, l'équilibre, y compris dans la richesse : « Je ne veux être, si je le puis, ni malheureux, ni heureux ; je me jette et me réfugie dans la médiocrité. » (VI, 47). Il respecte sa classe et les bienséances ; il est érudit mais pas pédant. C'est pourquoi les portraits qui sont des contre-modèles d'honnêtes hommes permettent à LB de les attaquer. EX : Arrias (V, 9) qui étale un savoir encyclopédique inutile gonflé jusqu'à l'excès ou Cléante (V, 43) défini très ironiquement comme «

mal, elle ne pense pas » disait Bachelard. Toute idée qui ne peut ou ne veut pas se soumettre au contrôle de l’expérience rigoureuse (quantitative) doit être bannie du domaine de la connaissance. Si elle se prétend une vérité, elle est alors une illusion et c’est l’illusion et non l’erreur qui est le plus grand obstacle de la recherche de la vérité. 1-4 Transition : Mais y a t-il une vérité morale et politique, ce que déjà contestait Aristote ? et dans ce domaine, dans ce cas, toutes les idées