Illusion Ou Savoir Qui Rend Heureux

notre jugement, elle est une privation de connaissance. Exemple : 2 + 2 = 5 Illusion : elle consiste à prendre ce que l’on voit pour la réalité (illusion d’optique, le bâton brisé dans l’eau) ou encore à prendre ses désirs pour la réalité. Si l’erreur peut être détruite par un jugement droit (apprendre à calculer, c’est saisir que 2 + 2 = 4), l’illusion peut résister à la connaissance. Ainsi il ne suffit pas de savoir que le bâton n’est pas brisé dans l’eau pour le voir droit. L’illusion peut donc

l’évidence une parodie humoristique. La mise en place du cadre spatio-temporel est faite à la manière traditionnelle du conte “il y avait (...) on le nommait Candide”. L’ironie est omniprésente dans ce récit. Voltaire met de la distance entre une illusion et le réel à l’aide d’antiphrases. “Monsieur le baron était l’un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d’une tapisserie.” Chap. 1 L’antiphrase se prète donc

seulement en 1962 a la suite d’une guerre remporté contre la France. C/ Le roman met en scène un personnage narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste à la mise en bière et aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé. Meursault, est un modeste employé de bureau, à Alger. Meursault décide d’aller

Philosophie ESSENTIEL A SAVOIR DEFINIR : absolu/ relatif abstrait/ concret cause/ fin contingent/ nécessaire/ possible en fait/ en droit expliquer/ comprendre identité/ égalité/ différence légal/ légitime objectif/ subjectif obligation/ contrainte persuader/ convaincre principe/ conséquence en théorie/ en pratique universel/ général/ particulier/ singulier Les auteurs : • Platon ; Aristote ; Épicure ; Lucrèce ; Cicéron ; Sénèque ; Épictète ; Marc Aurèle ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ;

propres erreurs. On doit en tirer nous-mêmes des leçons. On doit continuer à remettre les choses au lendemain jusqu'à ce qu'on ne puisse plus le faire, jusqu'à ce qu'on comprenne par nous-mêmes ce que Benjamin Franklin voulait dire. Qu'il vaut mieux savoir que rester dans le doute. Qu'il vaut mieux être éveillé que dormir. Et que même le plus gros fiasco, même la pire, la plus grave erreur vaut cent fois mieux que de ne jamais rien tenter. -La plupart du temps on peut gérer la douleur , mais

entrevue avec le directeur de l'asile, qu'il écoute d'une oreille distraite. Ce dernier lui indique que sa mère n'était pas malheureuse à l'asile. Il lui annonce également que l'enterrement religieux est fixé au lendemain matin. Puis Meursault se rend dans une salle blanchie à la chaux où se trouve entreposé le corps de sa mère mais il refuse de voir le corps. Il a une conversation avec le concierge. Cet homme bavard lui raconte sa vie et lui propose de dîner au réfectoire. Meursault, décline l'invitation

elle est en fait dotée d'une certaine sensualité. Dans l'acte 1, scène 2, elle est touchée par le portrait de sa grand-tante et s'exclame sur la beauté de son habit religieux. Elle arrive rapidement après une lente révélation des sentiments, ce qui la rend injuste. Perdican aussi a peur de se laisser emporter par ses sentiments, il répond à l'indifférence de Camille de la même façon.Les deux héros sont obsédés par leur idéal, qu'il soit religieux ou amoureux, mais cet idéal est corrompu par leur corps

appelait au plaisir de la Vertu , fruit d’une vie sage et philosophique. L’homme n’a pas à dénaturer le naturel, le plaisir relève du sensible, du sensitif, de l’émotif , domaines sur lesquels la raison n’a aucun pouvoir. Etre capable de jouir, c’est savoir savourer le moment avant qu’il ne file entre les doigts car « on ne peut se baigner deux fois dans le même fleuve » comme le disait Héraclite . Au fond, ce débat éthique est bon gré mal gré , guidé par la grande question de la « bonne vie » ; c'est-à-dire

uns aux autres par les chocs violents qu’ils se donnent. Le repos même de l’heureux, s’il est aperçu, peut 1 passer pour être forcé, et tous les autres sont intéressés à n’en pas prendre une idée plus avantageuse. Ainsi l’existence de l’homme heureux pourrait être assez facilement contestée. Admettons-la cependant, ne fût-ce que pour nous donner des espérances agréables : mais il est vrai que, retenus dans de certaines bornes, elles ne seront pas chimériques. Quoi qu’en disent les fiers Stoïciens

se fie au sens commun, on pourra alors penser que le bonheur consiste dans l’assouvissement intégral des besoins et désirs. Le bonheur est ce qui nous comble. Si nous acceptons une telle définition, n’allons-nous pas être condamné à ne jamais être heureux ? En effet, la satisfaction complète des désirs semble impossible dans la mesure d’une part où l’assouvissement d’un désir est très souvent l’origine d’un nouveau désir de telle manière que la quête du bonheur serait sans fin, et que, d’autre part