Imad Lahoud

examen pour "recel de vol et d'abus de confiance". Philippe Camus, ancien coprésident d'EADS témoigne. Il livre des informations compromettant Dominique de Villepin. De Villepin ni en bloc toute implication dans cette affaire. Les accusés : d'Imad Lahoud et de Jean-Louis Gergorin L’ancien ministre des affaires étrangères mis en examen en 2007 pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol et d'abus de confiance, complicité d'usage de faux". De Villepin implique Jacques Chirac et Jean-Pierre

avaient été trafiqués, le juge Van Ruymbeke a fermé le dossier, innocentant ainsi Sarkozy[3]. L’attention des magistrats se porte sur un informaticien d’EADS, Imad Lahoud. Il aurait été recruté chez EADS par Jean-Louis Gergorin, sur recommandation du général Philippe Rondot, vétéran des services de renseignements français. Début 2003, Imad Lahoud a collaboré avec la DGSE pour identifier les réseaux financiers d’al Qaïda. À cette occasion, il s’est informé sur le fonctionnement des comptes de Clearstream

note indiquant que Villepin et Chirac auraient demandé à celui qui a créé les faux listings de balancer à la justice Nicolas Sarkozy pour lui nuire. {draw:rect} Les principaux acteurs de la manipulation : Jean-Louis Gergorin et Imad Lahoud Jean-Louis Gergorin était vice-président d'EADS, spécialiste de l'armement et de la géo-stratégie . Au départ de l'affaire, il y a la mort de Jean-Luc Lagardère. Le vice-président d'EADS pense que Jean-Luc Lagardère a été assassiné

dénonciation calomnieuse pour lequel il était renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris dans l'affaire Clearstream. L'ancien vice-président d'EADS Jean-Louis Gergorin a été déclaré "coupable de dénonciation calomnieuse", le mathématicien Imad Lahoud "coupable de complicité de dénonciation calomnieuse" et l'ex-auditeur Florian Bourges "coupable d'abus de confiance". Pour le tribunal, il est cependant "établi" que Dominique de Villepin "s'est prévalu de propos du président de la République"

auraient fait transiter l'argent des frégates. Il est rapidement apparu qu’il s’agissait d’une tentative de manipulation visant le juge. Les 4, 5 et 6 juillet 2007, Dominique de Villepin est mis en cause par Philippe Rondot et Imad Lahoud. En particulier, des notes retrouvées sur l'ordinateur du général Rondot indiqueraient qu'il aurait donné instruction à Jean-Louis Gergorin « de « balancer » Nicolas Sarkozy ». Malgré les accusations de l'avocat de Nicolas Sarkozy envers Dominique

Gebrane Nabih Gédéon Michel Ghazal Afif Hammoud Ibrahim Hanna-al-Daher Aïda Hallit Bachir Hilal Rodrigue al-Houeiss Muhammad Kalache Aïda Kanafani-Zahher Ziad al-Khoury Ibrahim Fadlallah Nadim Hasbani Bachir Hilal Wolfgang Jalil Marwan Lahoud Elie Maakaroun Joseph Maïla Rita Mazen Hachem Mouawieh François Moubarac Ghassan Mourad Ibtissam Nasr Maged Nehmé Maged Nehmé Myra Prince Bahjat Rizk Badawi Rohban Edmond Sadaka Ghassan Salamé Maurice Saliba Georges Sassine Samar

d’Hussein Moussaoui, "Ad-daoua" (Daawa) du cheikh Hussein Fadlallah et Ragheb Harb, les "Gardiens de la Révolution islamique" du cheikh Soubhi Toufeyli, auxquels viennent s'ajouter "Al Tawhid" du cheikh Saïd Chaabane ainsi que le jihad islamique de Imad Moughniyah et l’ambassadeur la République Islamique en Syrie: Ali Akbar Mohtashamipur. C- Le Hezbollah dans la guerre civile libanaise : 1982 - 1990 Les premières actions connues du Hezbollah remontent à janvier 1983 où une grenade fut lancée contre

utilise les listings de Denis Robert comme base de crédibilité pour sa manipulation. Au cours de deux auditions comme témoin en octobre 2005 et en mars 2003, Denis Robert a déclaré avoir remis à Imad Lahoud deux cédéroms recensant plus de 33 000 établissements clients de Clearstream. A l'époque, Imad lahoud travaillait pour la DGSE sur le financement des réseaux terroristes islamistes qui aurait pu transiter par Clearstream. Les comptes de personnes physiques En tant que chambre de compensation

novembre faute de preuve. Dominique de Villepin relaxé dans l’affaire Clearstream. Dominique de Villepin a été relaxé le 14 septembre par la cour d’appel de Paris dans l’affaire Clearstream. L’ancien vice-président d’EADS, Jean-Louis Gergorin, et Imad Lahoud ont eux été condamnés. “Quand il y en a un ça va...” : Brice Hortefeux relaxé. La cour d’appel de Paris a relaxé le 15 septembre l’ancien ministre de l’intérieur Brice Hortefeux, qui avait été condamné en juin 2010 pour “injures raciales” après

complice Imad Lahoud, et quatre mois avec sursis contre l’auditeur Florian Bourges, qui a détourné les listings originaux. La relaxe a été demandée pour le journaliste-écrivain Denis Robert. « Je garde la main ouverte vis-à-vis de Nicolas Sarkozy » Hier, l’avocat du « corbeau », qui a transmis les listings truqués — où figurait notamment le patronyme de Sarkozy — à la justice entre mai et octobre 2004, a estimé que Jean-Louis Gergorin s’est fait piéger par sa source, Imad Lahoud, qui l’a entraîné