Image Femme Dans Spleen Et Idéal

de violence, alcool· Epouse Mathilde Mauté, une jeune fille de la haute bourgeoisie parisienne en 1870 · La même année, rencontre Rimbaud de 10 ans son cadet et ils vont partir en Belgique puis en Angleterre : Verlaine quitte donc sa femme restée à Paris. Pendant ces voyages, Verlaine écrit Romances sans paroles (1874) · Verlaine tire sur Rimbaud lors d’une dispute, le blesse, va en prison pendant 2 ans · En prison, Verlaine se convertit

sont la beauté, l’engouement, le voyage. Le serpent qui danse, poème extrait de la partie Spleen et Idéal, est un éloge de la femme aimée. Le poème peut être lu comme un voyage sur la mer mouvementée du désir. C’est dès le troisième vers, avec « Comme une étoffe vacillante » que les comparaisons avec la mer apparaissent ; en effet, tout au long du poème se développe la métaphore filée qui relie la femme à la mer. Ce sera dans la deuxième strophe seulement que le mot « mer » apparaîtra. Ainsi

l’image originale de la femme contenue dans le poème, et la signification spirituelle que le narrateur confère à cette « épiphanie de la Beauté ». 1° AXE : UNE SCENE ROMANESQUE (Etude du mouvement du texte) a) Un récit en deux grandes parties, correspondant à l’opposition traditionnelle quatrains/tercets dans le sonnet . Il s’agit de la rencontre entre le narrateur et une mystérieuse passante : une première partie (v.1 à 9) est consacrée à l’apparition de la femme ; la seconde (v.9 à

l’image originale de la femme contenue dans le poème, et la signification spirituelle que le narrateur confère à cette « épiphanie de la Beauté ».   1° AXE : UNE SCENE ROMANESQUE  (Etude du mouvement du texte)   a)      Un récit en deux grandes parties, correspondant à l’opposition traditionnelle quatrains/tercets dans le sonnet .   Il s’agit de la rencontre entre le narrateur et une mystérieuse passante : une première partie (v.1 à 9) est consacrée à l’apparition de la femme ; la seconde (v.9 à

ici une promesse adressée à une femme qu’il aime. L’invitation au voyage est un poème extrait de la section Spleen et Idéal des Fleurs du Mal, un recueil composé de six parties qui fonctionnent comme un « voyage organisé ». L’invitation au voyage est inscrit dans la partie liée à l’Idéal et notamment au cycle de la femme, celui de Marie Daubrin, une jeune actrice « aux yeux verts » que Baudelaire rencontrera en 1856. Si le poème est composé de trois parties, la femme prend toute sont importance et

condamné en 1857 pour « outrage à la morale publique » avait un objectif novateur : Atteindre la beauté poétique même par le biais du mal comme suggère le titre. « Une charogne », poème de la section « Spleen et Idéal » se situe après une série de pièces dans lesquelles il est essentiellement question de la femme et la beauté qui exerce sa fascination et répulsion su le poète et est un des poemes qui a le plus scandalisé part une description trop réaliste.Baudelaire dans ce poeme fait une parodie de la galanterie

I – Spleen (« Quand le ciel bas et lourd ») de BaudelaireIntro :· Baudelaire (1821-1867) : poète de la modernité, se situe au carrefour de toutes les influences du 19s (romantisme, symbolisme, parnassien)· Spleen : 1857, poème, extrait du recueil Les Fleurs du Mal (la plus grande œuvre de sa vie, et aussi la plus connue), section Spleen et Idéal, dernier des 4 Spleen, poème angoissant et mélancolique, parle d’une des périodes la plus sombre de la vie du poète (dépression), associe la beauté de son

Canzoniere il célèbre une femme pendant tout le poème -« plaisir qui tue » vient de Petra -« fugitive beauté » femme, symbole de la beauté -thème : éloge de la femme → tradition lyrique (expression d’un sentiment amoueux) Éloge et dédicace -registre épidictique -statue : oeuvre d’art -éloge de la femme : beaucoup de qualificatifs mélioratifs -rythme du V2 : cadence majeur (les mots deviennent de plus en plus longs) -rythme + cadence = suggèrent la grâce et la beauté de la femme -yeux associés à

littéraire et critique d’art. Notre extrait vient du Spleen de Paris. On va l’analyser en trois parties: La femme aimée et la passion amoureuse, ensuite La passion des mots et enfin Un poème en prose. Maintenant je passe à la lecture. Analyse: 1.La femme aimée et la passion amoureuse -dans le premier paragraphe la famme aimée est présentée comme une femme des rêves -apparition perdue (l.2 „apparue“ „fui si vite“, l.4 „disparu“) -la femme n’est plu présente -le portrait physique est

Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier (page blanche ?)que la blancheur défend(inspiration absente ?du poète) Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai ! ( Steamer balançant ta mâture, Lève l'ancre pour une exotique nature ! Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs ! Et, peut-être, les mâts, invitant les orages, Sont-ils