Imagination Et Erreur

Motif : soit elle est mystique (imagination) et donc son objet demeure mystérieux. Soit elle est rationaliste et alors elle est insuffisante : l’entendement ne peut pas comprendre l’absolu. Seule la philosophie dialectique peut comprendre un objet qui comprend en lui-même toutes les déterminations de l’être. ABSOLU = tout ce qui est (y compris la contradiction !!!) L’entendement (des rationaliste) = ne comprend pas la contradiction. Contradiction = erreur pour l’entendement classique.

mots nous mètre devant les yeux la réalité avec tous ses changements qu’elle occasionne. Il nous fait passer des avertissements à prendre au sérieux et à ne pas ignorer. Raymond voudrai que tout être humain quel qu’il soit, ne cesse de part sont imagination d’innover, de surprendre, d’imaginer, de créer sans a avoir recourt a « des plans » tous fais. Il nous faut entretenir notre réflexion. E n effet nous passons énormément de temps devant des écrans relier aux quatre coins du monde nous interpelant

sont les jugements que nous ajoutons aux sensations, au lieu de nous contenter de les éprouver. Ainsi, pour Epicure, la sensation est le critère premier de la vérité, mais ce sont nos jugements qui sont en dernier lieu la cause de nos erreurs. Quelles sont ces « présomptions fausses » de la foule ajoutées aux sensations qu’elle éprouve des dieux ? La foule se représente les dieux sur un modèle humain, reproduisant notre « idéal » de justice : récompenser

nous ne pouvons rien changer, et que nous n'avons qu'à en recevoir l'empreinte. Ce sont les fous seulement, selon l'opinion commune, qui verront dans cet univers étalé des objets qui n'y sont point ; et ceux qui, par jeu, voudraient mêler leurs imaginations aux choses sont des artistes en paroles surtout, et qui ne trompent personne. Quant aux prévisions que chacun fait, comme d'attendre un cavalier si l'on entend seulement le pas du cheval, elles n'ont jamais forme d'objet2 ; je ne vois pas ce

préoccupations et valeurs purement matérielles c) Un personnage qui se sent victime de son destin : - pas à sa place car mal née « comme par erreur du destin » : pt de vue interne à Mme Loisel ou pt de vue du Nr et ironie sur le personnage qui met en évidence la fausseté de son jugement Elle impute sa naissance au sein d’une famille d’employés à « une erreur du destin ». - mariée à un petit commis comme par fatalité alors que le « se laissa marier » exprime sa passivité et un fatalisme inconscient

possible que dieu ait volontairement mal conçu notre esprit (en mode en vrai 2+3= 6 mais nous on pense que = 5) = Distinction entre le rationnel et le vrai Dans ls faits nous nous trompons mais sommes nous trompés= sommes nous responsables de notre erreur —> soit Dieu est tout puissant et veut que nous nous trompions mais donc pas bon soit dieu n’est pas puissant mais donc notre faillibilité reflète son imperfection Descartes choisit la 1ere option mais les conventions ne permettent pas d’accepter

jugement ; je ne doute point, si vous daignez prendre tant de soin de cet écrit, que de vouloir premièrement le corriger ; car ayant connaissance non seulement de mon infirmité, mais aussi de mon ignorance, je n’oserais pas assurer qu’il n’y ait aucunes erreurs, puis après y ajouter les choses qui y manquent, achever celles qui ne sont pas parfaites, et prendre vous- mêmes la peine de donner une explication plus ample à celles qui en ont besoin, ou du moins de m’en avertir afin que j’y travaille, et enfin

la science révélatrice, puisque nous avons la poésie créatrice ! Nous sommes les inventeurs d’idées, les inventeurs d’idoles, Les faiseurs de rêves. Nous conduirons toujours les hommes en des pays merveilleux, peuplés d’êtres étranges que notre imagination enfante. » Eh bien, non. Les hommes ne vous suivront plus, ô poètes. Vous n’avez plus le droit de nous tromper. Nous n’avons plus la puissance de vous croire. Vos fables héroïques ne nous donnent plus d’illusions ; vos esprits, bons ou méchants

liberté : Voltaire se bat contre l’intolérance et les questions de religion lorsqu'ils estiment qu'il y a abus. Notamment lors de l'affaire Callas où Voltaire invente l'opinion publique dans le but de dénoncer, dans toute l'Europe les erreurs judiciaires. Lors de cette affaire il dénonce l’infâme, qu'il caractérise comme une lutte contre l’intolérance. La Tolérance : C'est le fait de respecter les libertés d'autrui, ses opinions sociales, religieuses et politiques Voltaire

La Vie Française dont il dirige les Échos. Cependant, à la suite d'attaques diffamatoires d'un concurrent, il est contraint par son directeur, Walter, de défendre « l'honneur » de son journal. Après une veillée d'armes où se sont multipliées les imaginations morbides engendrées par la peur ou la peur de la peur, l'alcool lui donne la force nécessaire pour terminer dans l'inconscience le duel dont dépend son avenir. Après avoir évoqué la nature hostile de ce matin d'hiver, Maupassant rapporte le